Depuis la 4ème, j'ai su que je voulais me tourner vers l'architecture.
Très intéressée par les arts et la culture en général (et dégoutée des maths), j'ai choisi de faire L et vous ne pouvez pas imaginer le nombre de gens qui m'ont dit que ce n'était pas la chose à faire. Lors d'entretien personnels, mon prof principal de 1ère m'a clairement dit "Tu n'y arriveras, tu es en L, ce n'est pas fait pour toi" blablabla. Ma mère avait même voulu que je prenne option maths mais ma passion penchait vers l'histoire des arts.
Avant de prendre cette décision d'orientation, j'ai pris soin d'aller rencontrer des étudiants en architecture, de discuter avec eux de leurs enseignements, de leur parcours et de leur série au lycée. On m'a appris que, même si la population venant de S y était plus nombreuse, elle n'était pourtant pas unique. Et pourtant, quand j'allais voir la conseillère d'orientation, elle me disait ne connaitre personne ayant fait L et s'étant retrouvé en archi.
Face à tous ces gens qui n'y connaissaient finalement pas grand chose, je suis devenue encore plus déterminée à réussir, pour leur prouver qu'ils avaient tord d'essayer de me bloquer le chemin.
Sur ma liste de voeux APB, j'ai mis trois écoles : grâce à mon dossier scolaire j'ai été convoqué aux concours d'entrées (qui contenaient bien moins d'épreuves de mathématique que de rédaction, dessin, expression et culture de l'architecture). J'étais été prise à mon premier voeu à l'ENSA Lyon et j'en suis ravie depuis bientôt deux ans. Dans ma promo, une moitié vient de S, les autres de ES, L, STI2A, Arts Appliqués, Design ... C'est vachement varié !
Très intéressée par les arts et la culture en général (et dégoutée des maths), j'ai choisi de faire L et vous ne pouvez pas imaginer le nombre de gens qui m'ont dit que ce n'était pas la chose à faire. Lors d'entretien personnels, mon prof principal de 1ère m'a clairement dit "Tu n'y arriveras, tu es en L, ce n'est pas fait pour toi" blablabla. Ma mère avait même voulu que je prenne option maths mais ma passion penchait vers l'histoire des arts.
Avant de prendre cette décision d'orientation, j'ai pris soin d'aller rencontrer des étudiants en architecture, de discuter avec eux de leurs enseignements, de leur parcours et de leur série au lycée. On m'a appris que, même si la population venant de S y était plus nombreuse, elle n'était pourtant pas unique. Et pourtant, quand j'allais voir la conseillère d'orientation, elle me disait ne connaitre personne ayant fait L et s'étant retrouvé en archi.
Face à tous ces gens qui n'y connaissaient finalement pas grand chose, je suis devenue encore plus déterminée à réussir, pour leur prouver qu'ils avaient tord d'essayer de me bloquer le chemin.
Sur ma liste de voeux APB, j'ai mis trois écoles : grâce à mon dossier scolaire j'ai été convoqué aux concours d'entrées (qui contenaient bien moins d'épreuves de mathématique que de rédaction, dessin, expression et culture de l'architecture). J'étais été prise à mon premier voeu à l'ENSA Lyon et j'en suis ravie depuis bientôt deux ans. Dans ma promo, une moitié vient de S, les autres de ES, L, STI2A, Arts Appliqués, Design ... C'est vachement varié !
Professeur n'est pas forcément un débouché aussi évident que pour la LLCE mais je pense par rapport à mon expérience qu'aucune de ces deux licences ne ferme de porte. ^^
. La licence lettres modernes m'a apporté une solide culture générale : on avait des cours d'histoire de l'art, de musique, de cinéma, de géopolitique. C'était cool!
. On s'en fait une montagne, on galère comme des porcs pour ce dire qu'on aura une mention (ou juste le Bac) enfin voilà mais en fait maintenant ce diplôme n'est qu'une formalité.
" mais ça devrait plutôt être "ah tu es intéréssé(e) par se domaine ? Eh bien écoute très bien mais sache que tu auras tout ça de possible à la sortie du lycée ".
).
