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Membre supprimé 177132
Guest
@Sophie L : le mot grognasse est dans une phrase entre guillemets. Je pense pas avoir à plus expliquer.
En quoi est-ce "anti féministe" de ne pas vouloir gérer les problèmes d'autrui ? Qu'on parle d'égoïsme, oui, de toute façon, tout le monde l'est, mais parler d'anti féminisme...@RaccoonJesus J'ai été heurtée par le fait que tu parles d'un regard trop expressif parce que c'est hyper violent dans ces moments-la, même si tu dis l'avoir fait involontairement. Également dégoûtée par ton "nope" simple et net au sujet d'aider une mère (pas un simple "non", ce qui s'entend, mais un "nope" comme "non merci jamais de la vie"). Je fais partie des personnes qui pensent qu'en effet, ce n'est pas féministe toutes ces réactions. C'est même carrément anti-feministe pour moi.
Mais soit, chacun.e a le droit de ne pas aider une mère, de ne pas vouloir bouger à un instant T. Là n'est pas mon propos.
J'ai mal interprété ton "grognasse", je le reconnais. J'ai mis le motif "misogyne". Là dessus j'ai eu tort, j'ai lu trop vite.
Pour le reste je persiste, c'est selon moi violent pour les mères.
@RainyMood Mon postérieur t'embrasse.
Tout à fait d'accord avec ton message. Le seul problème que j'ai avec les renforcateurs positifs, c'est qu'il faut prévoir la sortie et ça, c'est plutôt ce que savent faire les professionnels. Les parents ne sont pas formés (et tant mieux, les parents n'ont pas à se professionnaliser).Je me permets juste de rajouter un truc que j'espère pas trop maladroit: Quand on croise un enfant qui tape une monstre crise, on a peut être aussi à faire à un enfant avec des besoins spécifiques et pas juste capricieux ou mal élevé.
Certains troubles sont invisibles et font que la régulation émotionnelle/l'apprentissage de la vie en communauté prend plus de temps et s'avère plus périlleux.
Quoi que déjà de base, même pour un enfant neurotypique, ces apprentissages là peuvent s'avérer compliqués et abstraits.
(des mauvais souvenirs de m'être faite engueulée par un.e inconnu.e parce que "mon" enfant était sur'ex, heureux entrain de sautiller sur le banc de l'arrêt de bus à matter les voitures passer) (et encore je ne suis pas la parente, j'imagine difficilement les parents affronter, quotidiennement le regard des gentes)
Après je suis pas choquée de l'utilisation de renforçateurs positifs, si ça permet à l'enfant d'être motivé à apprendre à dépasser les frustrations qu'il va endurer quotidiennement
(moi même je fonctionne un peu comme ça finalement, je range mon linge/fais mon ménage blablabla, et ensuite je m'occtroie un truc cool)