j'ai repris la lecture d'inoubliables expression de grand-mère. du coup, mes pauses caca s'allongent.
je suis à la fin des cieux pétrifiés de nk jemisin. il y a eu un gros passage à vide, mais c'est à nouveau passionnant, et toujours aussi bien écrit. de la fantasy qui se déguise en sf.
j'ai bien entamé deestiny's conflict de janny wurts, 10e et avant-derner tome de the wars of light and shadow. je sens vraiment que j'ai progressé en anglais ces dernières années, car malgré le vocabulaire soutenu, je suis complètement happée par ma lecture, malgré une liseuse en fin de vie. bon, au bout de 10 tomes on commence à voir les ficelles de l'autrice, mais j'avale ce livre comme du petit lait. et ce n'est pas aussi manichéen que ce que le titre de la série laisse accroire.
j'ai repris la lecture de histoie des larmes de anne vincent buffaut. le prologue est plus intéressant que le corps du bouzin, mais je passe un bon moment quand même..
j'ai fini dans la douleur le slavoj zizek (tarrying with the negative), qui est peu accessible si on n'est pas familier avec lacan et heidegger. la troisième partie parlant du cas très concret du capitalisme des trente dernières années, de l'effondrement du bloc de l'est, du libéralisme politique et économique et de la montée des racismes était du coup plus intelligible, et m'a permis d'apprécier la fin de ma lecture.
j'ai fini provincialiser l'europe de dipesh chakrabarti. le début était pénible à avaler, mais à partir du milieu, quand il pose enfin ses définitions, la lecture est plus abordable. n'empêche, il pose de bonnes questions sur l'historicisme (histoire eurocentrée en gros) et la modernité post-coloniale.
en pipou, j'ai fini le manga le diable s'habille en soutane 2, qui était nettement en deça du premier tome. mais il paraît que c'est habituel chez l'auteurice.
et enfin, j'ai commencé, toujours en manga, le premier tome de beyond the clouds, d'une mouqetterie à se damner.