@Khyra c'est marrant, c'est mon tome préféré avec le 3.
fini spinning silver de novik. un pur bonheur, avec des personnages féminins forts.
fini dior et ses décorateurs, de maureen footer. beh c'est à dire que leurs goûts sont datés. en même temps, ils sont morts depuis plue de 50 ans.
finie entre art et thérapie. réflexions partagées, dirigé par déa ^évêquoz-wälti. c'était dense, mais m'a presque de donner envie de faire de l'art-thérapie, moi qui n'ai pas aimé mon expérience en la matière.
fini black feminist thought: knowledge, conciousness and the politics of empowerment. alors déjà c'est pas noir, mais afro-américain, avec cette démarche que tous les noirs sont descendants d'esclaves et partagent la même expérience. et les bourgeois noirs sont des traîtres. je ne dis pas qu'il ne faut pas penser aux personnes précaires, j'en suis une, mais ce livre, qui date du début des années 2000, impliquerait presque qu'être noir, c'est être nécessairement pauvre, sans éducation et avec un milliard d'enfants parce qu'on n'a pas fait d'édcation sexuelle. c'est une réalité, certes, mais ce n'est pas celle de toutes les noires. bref, j'ai été très agacée pendant ma lecture, et je n'ai pas appris grand chose. ca reste quand même une bonne base pour comprendre une part du racisme à l'américaine.
le chat murr, d'e.t.a. hoffmann. le pitch est l'autobiographie d'un chat entrecoupée d'un autre récit, parce que l'éditeur s'est planté. un véritable bonbon littéraire. ce chat a une plume transcendantale.
imperial leather: race, gender and sexualty in the colonial context. alors cette fos j'ai appris des choses, mais au compte-goutte. ce livre part dans tous les sens, veut traiter de toutes les dimensions du colonialisme, et partant, du capitalisme, sur les femmes blanches, les femmes noires, les prolos, etc. le cas d'étude est l'angleterre du 19e s. ainsi que l'afrique du sud.
en manga: le diable s'habille en soutane 3, qui m'a bien décue.
en ce moment je lis: invisible blues: from pop to theory, un recueil de textes de michele wallace. les chapitres sont courts, c'est une bonne réflexions, mais certaines choses en changé depuis. le racisme américain ne porte plus tout à fait le même masque. mais les premiers textes datent de 1975, donc c'est normal.
les voleurs d'épée, tome 1-2 des chronique de ryiria de michael j sullivan. ca se laisse lire.
a shadow bright and burning de jessica clues. c'est limite young adult comme genre de fantasy. ca se laisse lire aussi, mais je ne sais pas si je vais acheter les tomes suivants, et ils ne sont dans aucune de mes biblio.
fini spinning silver de novik. un pur bonheur, avec des personnages féminins forts.
fini dior et ses décorateurs, de maureen footer. beh c'est à dire que leurs goûts sont datés. en même temps, ils sont morts depuis plue de 50 ans.
finie entre art et thérapie. réflexions partagées, dirigé par déa ^évêquoz-wälti. c'était dense, mais m'a presque de donner envie de faire de l'art-thérapie, moi qui n'ai pas aimé mon expérience en la matière.
fini black feminist thought: knowledge, conciousness and the politics of empowerment. alors déjà c'est pas noir, mais afro-américain, avec cette démarche que tous les noirs sont descendants d'esclaves et partagent la même expérience. et les bourgeois noirs sont des traîtres. je ne dis pas qu'il ne faut pas penser aux personnes précaires, j'en suis une, mais ce livre, qui date du début des années 2000, impliquerait presque qu'être noir, c'est être nécessairement pauvre, sans éducation et avec un milliard d'enfants parce qu'on n'a pas fait d'édcation sexuelle. c'est une réalité, certes, mais ce n'est pas celle de toutes les noires. bref, j'ai été très agacée pendant ma lecture, et je n'ai pas appris grand chose. ca reste quand même une bonne base pour comprendre une part du racisme à l'américaine.
le chat murr, d'e.t.a. hoffmann. le pitch est l'autobiographie d'un chat entrecoupée d'un autre récit, parce que l'éditeur s'est planté. un véritable bonbon littéraire. ce chat a une plume transcendantale.
imperial leather: race, gender and sexualty in the colonial context. alors cette fos j'ai appris des choses, mais au compte-goutte. ce livre part dans tous les sens, veut traiter de toutes les dimensions du colonialisme, et partant, du capitalisme, sur les femmes blanches, les femmes noires, les prolos, etc. le cas d'étude est l'angleterre du 19e s. ainsi que l'afrique du sud.
en manga: le diable s'habille en soutane 3, qui m'a bien décue.
en ce moment je lis: invisible blues: from pop to theory, un recueil de textes de michele wallace. les chapitres sont courts, c'est une bonne réflexions, mais certaines choses en changé depuis. le racisme américain ne porte plus tout à fait le même masque. mais les premiers textes datent de 1975, donc c'est normal.
les voleurs d'épée, tome 1-2 des chronique de ryiria de michael j sullivan. ca se laisse lire.
a shadow bright and burning de jessica clues. c'est limite young adult comme genre de fantasy. ca se laisse lire aussi, mais je ne sais pas si je vais acheter les tomes suivants, et ils ne sont dans aucune de mes biblio.