Trois dernières lectures du moment (il va falloir que j'accélère le mouvement si je veux tout lire avant la date de retour à la bibliothèque ) :
- une BD, le tome 2 de Violette Morris, à abattre par tous les moyens par Bertrand Galic, Javi Rey, Kris et Marie-Jo Bonnet. J'aime bien l'angle choisi, que je trouve très pertinent, les dessins sont sympa, c'est globalement une bonne lecture, mais même pour une BD, j'ai trouvé ça un peu court, on reste un peu sur sa faim. Après, c'est un tome 2, je n'ai pas lu le tome 1 (j'avais pas vu que c'était un n°2 ) et il y a un dernier tome encore non paru, donc c'est normal que ça paraisse "pas fini", mais j'ai quand même trouvé ça trop rapide.
- La ferme du crime, par Andrea Maria Schenkel. Ayant toujours été fascinée par les meurtres et mystères de ce genre, je connaissais déjà l'histoire de Hinterkaifek que j'ai reconnu sans peine dans le résumé malgré les modifications apportées par l'autrice. Le changement d'époque apporte quelques éléments intéressants en plus, et de planter un décor plus familier pour les lecteurs. C'était une bonne lecture, très rapide, je l'ai lu dans le train. J'ai bien aimé le style, très oral, les personnages interrogés. On les entend vraiment parler, c'est très vivant.
- un roman policier, La ferme aux poupées de Wojciech Chmielarz. Je n'ai vraiment pas du tout aimé. Je l'avais pioché parce qu'il attirait l'oeil avec sa couverture vert pomme sur l'étagère de la bibliothèque, et que j'aime bien lire des romans policiers de pays différents, mais c'est raté pour moi ! Je n'ai pas de chance avec les policiers polonais, deuxième auteur que je tente avec un résumé qui me plaisait bien, deuxième fois que je m'ennuie terriblement ! Il n'y a pas vraiment de suspens, on peut deviner le coupable mais uniquement parce qu'on ne voit pas grand monde donc les possibilités sont restreintes. J'ai dû me forcer un peu pour finir, parce que je voulais voir où ça allait, mais pfff... Non seulement je me suis fait chier, mais j'ai trouvé le bouquin assez sexiste (avec une touche de racisme en plus, et un passage d'homophobie banale complètement gratuit), et c'est le genre de cas où on se demande si c'est volontaire et que ce sont juste les personnages qui sont sexistes, ou si c'est l'auteur. Je penche pour : les deux. Sérieusement, c'est très masculin comme histoire. Quasiment aucun personnage féminin, juste les filles de..., les femmes de... et les victimes. Victimes dont on ne nous dit RIEN. On les trouve morte et c'est tout. On ne sait même pas le nom de toutes, les enquêteurs ont l'air de se foutre royalement de qui elles étaient, y'en a pas un qui fait son boulot correctement... Le personnage principal est l'éternel pauvre divorcé qui s'occupe pas de ses enfants, vit tout seul, chouine sur son ex, baise la première jeunette venue sans réfléchir et est pathétique. IL FAIT FAIRE SA LESSIVE PAR SA VOISINE. ELLE LUI APPORTE LE PETIT DEJ SUR LE PALIER. SA VOISINE. Genre le gars aurait pas pu résoudre l'affaire parce qu'il serait mort de faim et en slip si sa voisine avait pas un faible pour lui.
Ah, et puis à un moment, quelqu'un a peur d'avoir été contaminé par le VIH, du coup c'est parti pour des pages de "ma femme va m'interdire de faire un câlin à mes enfants de peur que je les contamine" et autres "ah, j'espère que t'as pas bu dans mon verre !". On a aussi un petit passage où le seul perso féminin qui participe vaguement à l'enquête nous dit "je suis pas féministe, hein, promis !".
Bon, on peut toujours dire que c'est une ambiance réaliste, mais bon, c'est vraiment pas passionnant à lire quand tout le monde est un couillon et qu'on se fait chier.
- une BD, le tome 2 de Violette Morris, à abattre par tous les moyens par Bertrand Galic, Javi Rey, Kris et Marie-Jo Bonnet. J'aime bien l'angle choisi, que je trouve très pertinent, les dessins sont sympa, c'est globalement une bonne lecture, mais même pour une BD, j'ai trouvé ça un peu court, on reste un peu sur sa faim. Après, c'est un tome 2, je n'ai pas lu le tome 1 (j'avais pas vu que c'était un n°2 ) et il y a un dernier tome encore non paru, donc c'est normal que ça paraisse "pas fini", mais j'ai quand même trouvé ça trop rapide.
- La ferme du crime, par Andrea Maria Schenkel. Ayant toujours été fascinée par les meurtres et mystères de ce genre, je connaissais déjà l'histoire de Hinterkaifek que j'ai reconnu sans peine dans le résumé malgré les modifications apportées par l'autrice. Le changement d'époque apporte quelques éléments intéressants en plus, et de planter un décor plus familier pour les lecteurs. C'était une bonne lecture, très rapide, je l'ai lu dans le train. J'ai bien aimé le style, très oral, les personnages interrogés. On les entend vraiment parler, c'est très vivant.
- un roman policier, La ferme aux poupées de Wojciech Chmielarz. Je n'ai vraiment pas du tout aimé. Je l'avais pioché parce qu'il attirait l'oeil avec sa couverture vert pomme sur l'étagère de la bibliothèque, et que j'aime bien lire des romans policiers de pays différents, mais c'est raté pour moi ! Je n'ai pas de chance avec les policiers polonais, deuxième auteur que je tente avec un résumé qui me plaisait bien, deuxième fois que je m'ennuie terriblement ! Il n'y a pas vraiment de suspens, on peut deviner le coupable mais uniquement parce qu'on ne voit pas grand monde donc les possibilités sont restreintes. J'ai dû me forcer un peu pour finir, parce que je voulais voir où ça allait, mais pfff... Non seulement je me suis fait chier, mais j'ai trouvé le bouquin assez sexiste (avec une touche de racisme en plus, et un passage d'homophobie banale complètement gratuit), et c'est le genre de cas où on se demande si c'est volontaire et que ce sont juste les personnages qui sont sexistes, ou si c'est l'auteur. Je penche pour : les deux. Sérieusement, c'est très masculin comme histoire. Quasiment aucun personnage féminin, juste les filles de..., les femmes de... et les victimes. Victimes dont on ne nous dit RIEN. On les trouve morte et c'est tout. On ne sait même pas le nom de toutes, les enquêteurs ont l'air de se foutre royalement de qui elles étaient, y'en a pas un qui fait son boulot correctement... Le personnage principal est l'éternel pauvre divorcé qui s'occupe pas de ses enfants, vit tout seul, chouine sur son ex, baise la première jeunette venue sans réfléchir et est pathétique. IL FAIT FAIRE SA LESSIVE PAR SA VOISINE. ELLE LUI APPORTE LE PETIT DEJ SUR LE PALIER. SA VOISINE. Genre le gars aurait pas pu résoudre l'affaire parce qu'il serait mort de faim et en slip si sa voisine avait pas un faible pour lui.
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Bon, on peut toujours dire que c'est une ambiance réaliste, mais bon, c'est vraiment pas passionnant à lire quand tout le monde est un couillon et qu'on se fait chier.