A
AnonymousUser
Guest
Niourk niourk niourk, mon rêve c'était du grand n'importe quoi cette nuit...
J'étais à mes fiançailles, et avec les invités pour aller sur le lieu de la fête, devions monter via un sentier dans la montagne. Ça ressemblait à une sortie du collège, on était tous habillés en scouts (en kaki et avec une écharpe rouge). On arrive à l'endroit, un genre de chalet avec une grande terrasse, je me mets à une table pour trois avec deux amis de collège justement, L & A. Comme si on ne s'était jamais quitté, on a ri comme des baleines, et on s'est mis à parler de Napoléon, et mes deux compères ce sont levés, et ont chanté un hymne à la gloire de l'empereur, avec des voix pures, claires et haut-perchées. J'étais sous le charme.
Plus tard, on se retrouve contre un mur du chalet, il me vient une douleur horrible dans le cou, près de l'oreille. J'y mets ma main, en tire une pièce de 50 cents. Un homme en short jaune et chemise à fleurs (oui, oui) me dit que c'est lui qui les lance, mais que si j'arrêtais de bouger ça me ferait moins mal. Ça déclenche une crise de panique chez les invités qui se mettent à courir partout, le ciel devient orageux, le tonnerre gronde. Et le mec continue de lancer des pièces dans mes cheveux, j'en débloque des poignées, que je mets dans une bourse en cuir. Je ramasse celles tombées au sol, et arrive à m'enfuir. Je retrouve deux camarades de lycée, mais je ne comprends pas ce qu'on se dit. Et enfin, je retrouve mes camarades là où on va passer la nuit (une sorte d'abribus, où l'on va dormir dans de simples duvets alors que le sol est caillouteux), il y a mon père, qui dit que pour gagner de l'altitude, il faudra se lever à l'aube. Je regarde les gens endormis dans leurs duvets ou en train de les placer, et je me dis qu'on n'y survivra pas. Mon rêve se termine sur un genre de travelling partant de notre point jusqu'en haut de la montagne.
J'étais à mes fiançailles, et avec les invités pour aller sur le lieu de la fête, devions monter via un sentier dans la montagne. Ça ressemblait à une sortie du collège, on était tous habillés en scouts (en kaki et avec une écharpe rouge). On arrive à l'endroit, un genre de chalet avec une grande terrasse, je me mets à une table pour trois avec deux amis de collège justement, L & A. Comme si on ne s'était jamais quitté, on a ri comme des baleines, et on s'est mis à parler de Napoléon, et mes deux compères ce sont levés, et ont chanté un hymne à la gloire de l'empereur, avec des voix pures, claires et haut-perchées. J'étais sous le charme.
Plus tard, on se retrouve contre un mur du chalet, il me vient une douleur horrible dans le cou, près de l'oreille. J'y mets ma main, en tire une pièce de 50 cents. Un homme en short jaune et chemise à fleurs (oui, oui) me dit que c'est lui qui les lance, mais que si j'arrêtais de bouger ça me ferait moins mal. Ça déclenche une crise de panique chez les invités qui se mettent à courir partout, le ciel devient orageux, le tonnerre gronde. Et le mec continue de lancer des pièces dans mes cheveux, j'en débloque des poignées, que je mets dans une bourse en cuir. Je ramasse celles tombées au sol, et arrive à m'enfuir. Je retrouve deux camarades de lycée, mais je ne comprends pas ce qu'on se dit. Et enfin, je retrouve mes camarades là où on va passer la nuit (une sorte d'abribus, où l'on va dormir dans de simples duvets alors que le sol est caillouteux), il y a mon père, qui dit que pour gagner de l'altitude, il faudra se lever à l'aube. Je regarde les gens endormis dans leurs duvets ou en train de les placer, et je me dis qu'on n'y survivra pas. Mon rêve se termine sur un genre de travelling partant de notre point jusqu'en haut de la montagne.
) et à ma grande surprise, il y a une femme métisse aussi, à demi-nue, recouverte d'un drap bordeaux, ses longs cheveux noirs bouclés (frisés même) dégoulinant le long de ses épaules. Le père du meilleur ami est abasourdi, il demande ce que fait son fils. Ce dernier répond un truc que je ne comprend pas, mais le père fait un signe d'acceptation et s'en va, mon rêve finit lorsque je le regarde fermer la porte.
). Ils étaient en train de se déguiser en teletubbies, anne le vert et james le rouge, et m'ont demandé de mettre le costume du jaune. Je les ai ensuite suivis sur scène, et dès que je suis devant le publique, les caméras, je me sent bourrée. Je marche pas droit, je me sens "numb". Par terre sur la scène une tortue mutante déguisée en teletubbies violet.