It's me, again (pardon, mais j'ai tellement de choses à dire . Ca fait depuis seulement un mois ou deux que je me suis mise dans le développement personnel, le bouddhisme tout ça, mais j'adore et je trouve ça tellement épanouissant ).
Pour la Mmz qui parlait du problème de la jalousie, @morrigan, je pense que sur ce point là il faut particulièrement faire un travail sur soi du côté du lâcher-prise et de l'attachement. Après je n'ai pas de bouquin particulier à suggérer mais en fouillant sur Amazon devrait y avoir moyen de trouver .
Vu sur la page "Méditer ici et maintenant" une citation que je trouve très belle :
"Une belle application du lâcher-prise auquel la pleine conscience nous invite :
« Aimez de telle façon que la personne que vous aimez se sente libre. »
Thich Nath Hahnh"
Et pour parler de manière plus personnelle du lâcher-prise, petit moment blabla (avec ce smiley j'ai l'impression d'être Père Castor qui enfile ses lunettes pour raconter une histoire ).
Quand à la première lecture de mon bouquin (Les 8 marches vers le bonheur) j'en suis arrivée au chapitre sur le lâcher-prise j'ai pu lire ceci :
"Le lâcher-prise est l'opposé du désir et de l'attachement. Considérez-le comme de la générosité, au sens le plus élevé. [...] Ce ne sont pas les choses que nous avons qui sont à rejeter, ni nos familles et amis, mais plutôt notre sentiment erroné d'en être le possesseur. [...] S'attacher n'est pas la même chose qu'aimer. Ce n'est pas la même chose que prendre soin du bien-être d'une personne et vouloir qu'elle soit heureuse. Il s'agit plutôt d'une possessivité jalouse et obsessionnelle, qui cherche à s'approprier une autre personne. [...] Dans les relations humaines, la pratique de la générosité consiste à faire confiance à l'autre, à lui permettre de jouir d'espace, de liberté et de dignité."
Et, je sais pas... en lisant ces mots, ça a fait écho à un moment précis de ma vie. C'était une période où avec un de mes amis (le même qui a reconnu avoir eu une mauvaise communication) ça allait pas du tout. Arrivé à un certain stade, ça m'avait même rendu physiquement malade, je n'arrivais plus à manger (première fois que ça me faisait ça...). J'essayais tant bien que mal d'arranger la situation, je faisais tant d'efforts et... rien. Rien n'avançait et moi je continuais à me rendre malade. J'étais tellement triste de le voir s'éloigner de moi, de voir que malgré mes efforts rien ne s'arrangeait .
Et puis, je sais pas. Je crois qu'il y a eu la goutte de trop, la phrase de trop de sa part, un truc s'est déclenchée en moi. Je me suis dis "Ok, c'est bon, je lâche l'affaire. Qu'il fasse sa vie de son côté et moi la mienne. Si les choses doivent s'arranger ça se fera sinon... tant pis". En bref, j'ai lâché-prise. J'ai arrêté de m'accrocher à lui, à notre relation. Je lui permettais de vivre sa vie sans vouloir en prendre le contrôle ou du moins sans vouloir lui imposer d'en faire partie.
D'avoir fait ce lâcher-prise ça m'a fait un bien fou !! Mais genre, vraiment . Du jour au lendemain j'étais enfin sereine, paisible, je ne voyais plus l'avenir avec angoisse. Même mon avenir professionnel ne m'angoissait plus. En étant plus détachée j'ai ainsi pu prendre du recul sur la situation et voir là où j'avais merdé. J'ai mieux compris son recul par rapport à moi.
Par voie de conséquence, je crois que c'est d'avoir senti et vu ce changement en moi qui lui a d'ailleurs permis de revenir vers moi. Depuis ce moment là tout n'a été que bonheur entre nous (houuu, le gros happy end ! Haha ).
Voilà, c'était ma petite anecdote sur le lâcher-prise .
Pour la Mmz qui parlait du problème de la jalousie, @morrigan, je pense que sur ce point là il faut particulièrement faire un travail sur soi du côté du lâcher-prise et de l'attachement. Après je n'ai pas de bouquin particulier à suggérer mais en fouillant sur Amazon devrait y avoir moyen de trouver .
Vu sur la page "Méditer ici et maintenant" une citation que je trouve très belle :
"Une belle application du lâcher-prise auquel la pleine conscience nous invite :
« Aimez de telle façon que la personne que vous aimez se sente libre. »
Thich Nath Hahnh"
Et pour parler de manière plus personnelle du lâcher-prise, petit moment blabla (avec ce smiley j'ai l'impression d'être Père Castor qui enfile ses lunettes pour raconter une histoire ).
Quand à la première lecture de mon bouquin (Les 8 marches vers le bonheur) j'en suis arrivée au chapitre sur le lâcher-prise j'ai pu lire ceci :
"Le lâcher-prise est l'opposé du désir et de l'attachement. Considérez-le comme de la générosité, au sens le plus élevé. [...] Ce ne sont pas les choses que nous avons qui sont à rejeter, ni nos familles et amis, mais plutôt notre sentiment erroné d'en être le possesseur. [...] S'attacher n'est pas la même chose qu'aimer. Ce n'est pas la même chose que prendre soin du bien-être d'une personne et vouloir qu'elle soit heureuse. Il s'agit plutôt d'une possessivité jalouse et obsessionnelle, qui cherche à s'approprier une autre personne. [...] Dans les relations humaines, la pratique de la générosité consiste à faire confiance à l'autre, à lui permettre de jouir d'espace, de liberté et de dignité."
Et, je sais pas... en lisant ces mots, ça a fait écho à un moment précis de ma vie. C'était une période où avec un de mes amis (le même qui a reconnu avoir eu une mauvaise communication) ça allait pas du tout. Arrivé à un certain stade, ça m'avait même rendu physiquement malade, je n'arrivais plus à manger (première fois que ça me faisait ça...). J'essayais tant bien que mal d'arranger la situation, je faisais tant d'efforts et... rien. Rien n'avançait et moi je continuais à me rendre malade. J'étais tellement triste de le voir s'éloigner de moi, de voir que malgré mes efforts rien ne s'arrangeait .
Et puis, je sais pas. Je crois qu'il y a eu la goutte de trop, la phrase de trop de sa part, un truc s'est déclenchée en moi. Je me suis dis "Ok, c'est bon, je lâche l'affaire. Qu'il fasse sa vie de son côté et moi la mienne. Si les choses doivent s'arranger ça se fera sinon... tant pis". En bref, j'ai lâché-prise. J'ai arrêté de m'accrocher à lui, à notre relation. Je lui permettais de vivre sa vie sans vouloir en prendre le contrôle ou du moins sans vouloir lui imposer d'en faire partie.
D'avoir fait ce lâcher-prise ça m'a fait un bien fou !! Mais genre, vraiment . Du jour au lendemain j'étais enfin sereine, paisible, je ne voyais plus l'avenir avec angoisse. Même mon avenir professionnel ne m'angoissait plus. En étant plus détachée j'ai ainsi pu prendre du recul sur la situation et voir là où j'avais merdé. J'ai mieux compris son recul par rapport à moi.
Par voie de conséquence, je crois que c'est d'avoir senti et vu ce changement en moi qui lui a d'ailleurs permis de revenir vers moi. Depuis ce moment là tout n'a été que bonheur entre nous (houuu, le gros happy end ! Haha ).
Voilà, c'était ma petite anecdote sur le lâcher-prise .
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