Il est 10h du matin et cela fait bientôt 16h que tu le sais. Tu sais le mal que je t?ai fait, le mal que cela te fera dans les mois à venir. Mon corps s?effondre par terre, mes larmes jaillissent je souhaite qu?une chose s?est me noyer dedans. Une conversation au téléphone dur et à la fois débordante d?amour vient d?être achevée. Je l?ai fais, en effet tes prochains jours vont êtres les pire de ta vie.
Et pourtant malgré toutes tes insultes, malgré toutes tes réflexions, malgré tous tes gestes, je savais lires entre les lignes, je savais que tu reviendrais. Me faire a l?idée de te perdre définitivement m?étais impossible non pas par peur de souffrir, de me rendre a l?évidence, mais car je le sentais, j?en étais certaine. Peu importe l?acte que tu faisais au fond cela voulait dire que tu m?aimais. Cependant ces prochains jours ont été dur aussi bien pour toi que pour moi. Je restais odieuse avec toi alors que je n?avais aucune raison, aucun droit. J?arrivais très bien à m?imaginer ce que tu pouvais ressentir mais à l?intérieur de moi je voulais te crier dessus, comme si je souhaitais te remettre toute la faute dessus. T?accuser de ne m?avoir par garder auprès de toi tout le temps durant ces deux ans, de ne pas m?avoir empêché de faire cette acte, alors qu?en réalité tout étais de ma faute.
Par la suite, dans les trois mois qui suivaient, il y avait des c?urs qui se déchirais, retrouvais. Mais parmi eux il y en avait deux, qui s?étaient déchirer mais pas encore retrouver, pourtant je le savais, chaque jour passé je continuais à y croire : tu m?aimais encore. Je sais lire en toi.
Les quatre mois passé, ils se sont retrouvé et ne se sont plus jamais quitté, cependant lui avait toujours la même question : pourquoi ? ? « Quand on casse un miroir, on recolle les morceaux mais les fissures restent.. »