@JoplinJanis Merci
qu'est-ce que j'ai hâte que ce soit fini, je suis comme un zombie
. Je suis dans des sentiments similaires aux tiens : enfin, pas paumée, je sais ce que je veux, mais je réalise aussi que si ça fonctionne pas, ça va être complexe à gérer, et donc je flippe... J'espère qu'on y verra plus clair très bientôt.
Quand sont vos résultats respectifs les filles ?
@CanetonVariable Pour te répondre (aux deux questions d'ailleurs
) :
- Je crois que malheureusement suivant les jurys, oui, ça peut partir assez loin. Pour ma part je travaille en arts visuels, et les retours de questions me font bien bien peur... ça a l'air de partir dans tous les sens et sur tout et n'importe quoi. Et comme je trouve ma culture artistique un peu limitée, ben... bref
. Donc en histoire hélas c'est un peu la même, ils peuvent te sortir un truc venu de nulle part... MAIS ça n'est pas parce que tu ne sauras pas répondre que ce sera pénalisant ! A priori et d'après ce que j'ai compris aussi, quand ça commence à aller aussi loin c'est même que c'est bon signe pour le candidat
. Bon encore une fois je dis ça, mais je sais que si j'ai le droit à de telles questions le jour J, je vais avoir envie de pleurer... haha.
- Par rapport au plan : je pense que c'est assez libre. Pour ma part j'ai souvent lu que c'était bien de "trancher" un peu avec le dossier, d'étoffer, etc... mais la structure, c'est toi qui vois
. Pour ma part je fais une intro où je replace mon sujet dans l'enjeu global de l'éducation artistique et culturelle (et donc mention au PEAC), où je présente ma séquence très vite fait, les enjeux, problématique et annonce de plan. Puis présentation de la séquence un peu plus en profondeur avec raisons des choix pédas/didactiques. Ensuite je parle du cheminement dans les séances, que je détaille, en regard des fondements scientifiques (je les inclue dedans en fait !) et l'évaluation ; puis je termine sur les obstacles/limites éventuelles, les difficultés possibles des élèves, la différenciation et les remédiations et enfin les partenariats possibles, avant de conclure de façon plus globale et d'ouvrir sur d'autres idées... voilà en gros
(si jamais ça peut t'aider !).
@chaCcha Boarf, tu sais, je pense que ça dépend beaucoup des personnes et de leur façon de le vivre en fait... Personnellement et pour tout un tas de raison, bien que l'échec s'il arrive ne sera évidemment pas la fin du monde et qu'il y a bien plus grave dans la vie, je sais que je le vivrais très mal. Ça dépend quand même énormément de ta situation, de comment tu la vis et comment tu envisages la suite éventuellement, de ce que ça implique pour toi en termes matériel ou financier aussi... j'ai vraiment pas bien vécu cette année, et je n'ai pas envie de revivre la même l'année prochaine. Je sais que je ne me sentirai finalement "libérée" qu'une fois ce fichu concours en poche. C'est peut-être triste de le voir comme ça, mais c'est mon vécu personnel... donc en résumé quand tu sais que l'année prochaine, c'est soit tu commences le boulot de tes rêves (parce que pour moi, c'est ça
) et bien que ce soit difficile on va pas se le cacher, tu as une vie correcte, soit début de la précarité et angoisse de voir la situation perdurer. Je sais que je pourrais le voir autrement, mais je suis comme ça... donc voilà ; autant je sais que beaucoup détestent qu'on leur sorte "oh mais c'est bon, tu vas réussir !" (chose que j'aime bien pour ma part, comme je manque de confiance en moi, ça m'aide de savoir que des proches me voient réussir sans problème... même si je sais que ça ne veut rien dire !), autant moi c'est quand on me sort que si je l'ai pas, c'est pas grave, j'aurais qu'à retenter. Certes mais psychologiquement le coût sera assez sévère, donc oui, ça fout une pression assez importante, mais j'espère bien le décrocher cette année... (d'autant que dans mon aca les conditions sont "exceptionnelles" cette année : à l'issue de l'admissibilité et au vu du nombre de postes, on avait 75% de chances de réussir les oraux. Mais en plus, depuis qu'ils ont commencé, il y a apparemment énormément d'absents... donc oui, si le taux de réussite est proche des 80% et que j'échoue, ça va... faire mal !).