Je reviens poster par ici et je me retrouve dans beaucoup de vos posts.
Que ça soit dans l'impression d'être incomprise par ceux qui n'ont pas connus la recherche d'emploi/le marché du travail tel qu'il est aujourd'hui, le "décalage" avec les amis qui ont un (bon) boulot, un (bon) salaire et peuvent faire des (gros) projets, les centaines (au sens propre) de candidatures pour la moitié de réponse et seulement quelques entretiens, ect...
J'ai commencé à chercher il y a quasi un an, bien que j'étais en CDD jusqu'à avril de cette année. J'ai décroché des entretiens seulement vers fin mai/début juin il me semble. L'été a été long, et la rentrée pas si encourageante que ça.
Pourtant je pense avoir élargie ma recherche au maximum: j'ai fais des entretiens à presque deux heures de route de chez moi (en sachant que je n'aurais pas changer de logement), essayé de postuler sur des postes beaucoup moins qualifiés (et payés) que mon diplôme et élargie mon secteur autant que mon diplôme le permet.
Bon j'ai eu aussi pas mal de poisse: entre les congés maladie où la personne revient alors que l'on m'avait choisie pour la remplacer, les financeurs qui refusent ma candidature alors que la structure voulait m'embaucher, ect...
J'ai, malgré tout, "la chance" (je mets des guillemets parce qu'au final j'ai cotisé et travaillé pour ça
) d'avoir droit au chômage, c'est sûr que ça rend l'attente plus "facile", mais seulement d'un point de vue pratique, moralement ça ne suit pas...
Ces derniers temps je commence à franchement mal vivre ce chômage, j'en ai marre de répondre constamment "je chercher toujours" et d'avoir en réponse une mine (au choix) désolée/dédaigneuse/apitoyée
J'ai décidé, il y a peu, de ne plus me brader, de préparer des concours à niveau de mes diplômes et de recontacter mon ancien directeur de mémoire pour une éventuelle publication. Ces perspectives devraient me permettre de rester "dans la course", au moins au niveau "intellectuel" (j'ai l'impression de perdre mes capacités de jour en jour
) et moral.
Mercredi j'ai passé un entretien (j'y croyais à peine en envoyant ma candidature) pour un poste en rapport avec mon diplôme et (surtout) mon expérience. Visiblement je ne m'en suis pas trop mal sortie: je revois le directeur dans deux heures. J'espère tellement et en même temps j'ai tellement peur d'être déçue...
Je ne sais pas si je dois invoquer le topic magique ou/et les bonnes ondes des Mads
... Les deux probablement
(
)
Que ça soit dans l'impression d'être incomprise par ceux qui n'ont pas connus la recherche d'emploi/le marché du travail tel qu'il est aujourd'hui, le "décalage" avec les amis qui ont un (bon) boulot, un (bon) salaire et peuvent faire des (gros) projets, les centaines (au sens propre) de candidatures pour la moitié de réponse et seulement quelques entretiens, ect...
J'ai commencé à chercher il y a quasi un an, bien que j'étais en CDD jusqu'à avril de cette année. J'ai décroché des entretiens seulement vers fin mai/début juin il me semble. L'été a été long, et la rentrée pas si encourageante que ça.
Pourtant je pense avoir élargie ma recherche au maximum: j'ai fais des entretiens à presque deux heures de route de chez moi (en sachant que je n'aurais pas changer de logement), essayé de postuler sur des postes beaucoup moins qualifiés (et payés) que mon diplôme et élargie mon secteur autant que mon diplôme le permet.
Bon j'ai eu aussi pas mal de poisse: entre les congés maladie où la personne revient alors que l'on m'avait choisie pour la remplacer, les financeurs qui refusent ma candidature alors que la structure voulait m'embaucher, ect...
J'ai, malgré tout, "la chance" (je mets des guillemets parce qu'au final j'ai cotisé et travaillé pour ça

Ces derniers temps je commence à franchement mal vivre ce chômage, j'en ai marre de répondre constamment "je chercher toujours" et d'avoir en réponse une mine (au choix) désolée/dédaigneuse/apitoyée

J'ai décidé, il y a peu, de ne plus me brader, de préparer des concours à niveau de mes diplômes et de recontacter mon ancien directeur de mémoire pour une éventuelle publication. Ces perspectives devraient me permettre de rester "dans la course", au moins au niveau "intellectuel" (j'ai l'impression de perdre mes capacités de jour en jour

Mercredi j'ai passé un entretien (j'y croyais à peine en envoyant ma candidature) pour un poste en rapport avec mon diplôme et (surtout) mon expérience. Visiblement je ne m'en suis pas trop mal sortie: je revois le directeur dans deux heures. J'espère tellement et en même temps j'ai tellement peur d'être déçue...
Je ne sais pas si je dois invoquer le topic magique ou/et les bonnes ondes des Mads


