Ah bein mince, je pense pas, puisque tu es étudiante et non demandeuse d'emploi au sens pôleemplesque du terme... Demande à ta mission locale. Ils ne te financerons pas le permis, mais pourrons peut être t'aider à acheter un petit véhicule deux roues. Quand je bossais dans la formation pro, ils finançaient parfois des mobylettes pour les jeunes qui se lançaient dans l'apprentissage.hydracombusto;2527404 a dit :Même en étant étudiante?
Oses demander, ces gens là sont là parce qu'ils aiment aider. Il existe aussi des aides des régions, des départements, ils pourront te guider.
Étudiante en quoi d'ailleurs ?
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Erin,
J'ai connu ce genre de déception... Mais, est ce que eux te rémunèrent ? Tu seras certainement frustrée, mais n?oublie pas que le stage c'est pour te mettre le pied à l?étrier, construire ton CV. Tu auras toute ta vie pro pour collaborer avec des personnes vraiment intéressantes.Et s'il me rappelle pour me dire que je suis prise, j'ai presque envie de refuser. Je m'étais vraiment préparée comme pour un vrai entretien et finalement, rien. Même si c'est une opportunité de DINGUE pour moi et mon projet pro, bosser avec lui (je ne suis même pas sûre de travailler avec lui, il ne s'est même pas présenté !) ne me donne pas envie. Je suis perdue...
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Je passais surtout partager mon bonheur : je commence un bilan de compétences lundi prochain.
Ça me trotte dans la tête depuis longtemps, mais j'osais pas demander, puisque je sais qu'avec persévérance je ne dégoterais un autre de ces postes que j'abhorre.
Mais voilà, à 10 heures ce matin j'étais affairée à mon léchage de boules habituel d'entretien d'embauche (mais uiiii j'adoooooore excel !!! De la mise à jour de base de données ? Oh uiiiiii !!!!), et alors que l'on me posait une question irritante de plus (mais... votre parcours, où est le fil conducteur ? ==> le fil conducteur ? J'ai fait le même métier pendant 8 ans !!!), j'ai senti le déclic que j'attendais pour trouver les forces pour changer.
Bref, c'est un début, mais les choses vont dans le bon sens : 3 personnes compétentes et encourageantes au pôle emploi, le tout était organisé en 45 minutes montre en main. On m'a même dit que, si si, il est normal de faire sa crise de la trentaine à 27 ans (l'histoire ne dit pas si je serais également ménopausée plus tôt).
On m'a promis un travail profond d'introspection (qui sera parfois difficile), il n'en fallait pas plus pour me rendre impatiente !