En fait, les techniques des tests de l'encre etc (et dans le canapé à parler de ses rêves), ce sont des techniques inventées au temps de Freud et de la psychanalyse (il y a 50-60 ans donc mais comme la psychologie est une discipline très jeune, 100-150 ans max, 50 ans, ça fait ENORMEMENT de différence). Ces techniques sont toujours utilisées de nos jours (et en France, toujours enseignée si je ne me trompe pas, ce que je trouve aberrant) et sont les plus connues du "grand public" mais la plupart ont été démontée et ça a montré que ça servait à rien (Non, ce n'est pas parce qu'on aime sortir avec des mecs plus vieux qu'on a mal vécu le complexe d'Oedipe non mais ). C'est, pour moi, de la psychologie de comptoir (et pourtant, les psychanalystes se font payer méga super cher !) qui au lieu de vouloir résoudre les problèmes, cherche trop profondément dans l'histoire de l'individu
Quand j’entends des gens me dire que j'ai un complexe d'oedipe ou autre connerie prémâchées du genre avec un petit air supérieur "c'est un théorie de Freud, c'est la base de la psychanalyse, donc ce raisonnement a l'emporte pièce est vrai et prouvé", j'ai envie d'empoigner le gars en lui hurlant dessus que Freud est mort depuis 50 ans et que la plus part de ses théorie ont étés DIS-CRE-DI-TEES, donc plus valable, périmée, morte.
Un jour un gars a essayer de m'expliquer avec un raisonnement mélangé de Freud et de psychologie de comptoir que si un de mes amies était lesbienne, c’était parce que son père avait commis des attouchements sur elle. Deja c’était faux, de deux, c'est quoi le rapport?! Genre si moi je suis polyamoureuse c'est parce que mes parents pratiquaient la rando, parce que j'aimais pas les chasses aux œufs de pâques ou que j'ai jouer avec une crotte de chat?
Mon ancienne psychiatre essayait a fond de trouver les origine de mes problèmes dans ma petite enfance. j'ai des problèmes avec ma mère, et elle a appris que a quand j'avais 6 ans, ma mère a fait une fausse couche. Alors ok, c'était pas un événement marrant, ma mère a été très triste, mais elle en déduisait que j'en voulais a ma mère d'avoir "tué" ce petit frère et que c’était la cause de nos soucis. J'avais beau lui expliquer que j’étais très jeune, pas vraiment consciente de ce qu'était un fausse couche, que mes parents m'avait protégé en ne m'en parlant pas trop, elle n'en démordait pas : inconsciemment, j'en voulais a ma mère d'avoir tuer un bébé