@Objet : je ne réagis que sur la dernière partie :
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, il y a quand même une forme de liberté qui est justement possible quand on prend conscience des déterminismes. Du coup ça a pleinement du sens de prendre conscience des déterminismes sociaux, sexistes, classistes, racistes, validistes, hétérocentrés, etc. etc.
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Amen. Tu le formules bien mieux que je n'aurais réussi à le faire : la liberté qui naît après la prise de conscience des déterminismes, c'est le coeur du débat d'après moi (ce qui ne veut pas dire à mon sens qu'une prise de conscience te libère magiquement de tout déterminisme).@Objet @Lilou la licorne : si mes souvenirs de l'ami Spinoza sont bons, il y a quand même une forme de liberté qui est justement possible quand on prend conscience des déterminismes. Du coup ça a pleinement du sens de prendre conscience des déterminismes sociaux, sexistes, classistes, racistes, validistes, hétérocentrés, etc. etc.
Cela dit, même dans une vision de déterminisme total et irrévocable, les sociologues sont alors aussi déterminé-e-s quant à la manière de mener leurs études (qui du coup n'ont pas plus de poids que l'avis de mon voisin sur le camembert). J'ai rien contre la sociologie, mais prétendre que c'est une science neutre, objective, qui échapperait à tout conditionnement et à toute subjectivité,... euh non.
.:ilselles ont mis les 200 nanas en contact avec des violeurs potentiels?


