@li-loo je suis plus ou moins dans ce stade. Il y a 3 mois, après avoir réellement commencé mon végétarisme, j'ai en même temps commencé ma transition végétalienne (qui est bien partie pour durer tellement c'est compliqué socialement parlant d'être végétalienne ). Du coup j'ai aussi pris conscience des produits animaliers non alimentaires (vêtements et cosmétiques), et ça m'a fait mal parce que j'avais l'impression d'être face à une montagne impossible à escalader Donc je me suis dit que j'allais y aller par étapes, en fonction de mes possibilités matérielles et financières. Et surtout sans me prendre la tête.
Pour les vêtements, je n'en achète pas tous les jours donc j'estime que l'achat d'une paire de chaussures en cuir une fois dans l'année est moins "grave" que de consommer des œufs ou du lait de vache quotidiennement. Pour la laine et la soie, je trouve que ce sont des matières faciles à éviter. Je garde tous mes vêtements/sacs/chaussures en cuir/laine/soie que j'ai achetés avant cet été parce que je n'ai pas les moyens de les remplacer (par moyen, j'entends financiers mais aussi par rapport à l'offre et mes à mes goûts) et que certains ont une valeur sentimentale. De toute façon, ils ont été trop portés pour être donnés, donc autant les rentabiliser à fond, le "mal" étant déjà fait.
Pour les cosmétiques, je m'attache d'abord à la composition, je fais en sorte d'acheter des produits sans trop de cochonneries dedans. Si c'est vegan, tant mieux.
Mais en fait, ce sont des choix qui appartiennent à chacun-e. Personne ne peut, à mon sens, te dire ce qu'il convient de faire parce qu'on a chacun-e notre propre échelle de valeur et notre propre conception du "bien" et du "mal".
Pour les vêtements, je n'en achète pas tous les jours donc j'estime que l'achat d'une paire de chaussures en cuir une fois dans l'année est moins "grave" que de consommer des œufs ou du lait de vache quotidiennement. Pour la laine et la soie, je trouve que ce sont des matières faciles à éviter. Je garde tous mes vêtements/sacs/chaussures en cuir/laine/soie que j'ai achetés avant cet été parce que je n'ai pas les moyens de les remplacer (par moyen, j'entends financiers mais aussi par rapport à l'offre et mes à mes goûts) et que certains ont une valeur sentimentale. De toute façon, ils ont été trop portés pour être donnés, donc autant les rentabiliser à fond, le "mal" étant déjà fait.
Pour les cosmétiques, je m'attache d'abord à la composition, je fais en sorte d'acheter des produits sans trop de cochonneries dedans. Si c'est vegan, tant mieux.
Mais en fait, ce sont des choix qui appartiennent à chacun-e. Personne ne peut, à mon sens, te dire ce qu'il convient de faire parce qu'on a chacun-e notre propre échelle de valeur et notre propre conception du "bien" et du "mal".