@adita peut-être parce que ça ne fait pas écho à des situations particulières dans ton vécu ?
Je me sens très différemment concernés par les articles de cette série, mais je les apprécie toujours globalement. La question du droit à l'erreur l'interpelle pas mal, parce que depuis un certain moment j'ai remplacé dans ma tête, dans ma manière de penser cette notion de "droit à l'erreur" par celle de "perfectibilité de la nature humaine". En gros, parce que l'humain est imparfait par nature, l'erreur est inévitable à un moment ou à un autre, mais étant consciente de cela, on peut limiter ce risque d'erreur en encadrant nos actions. Comme l'écrit Clémence, les protocoles de sécurité qui entourent une activité à risque (dans son texte, la plongée) visent à limiter ce risque d'erreur, ils ne donnent pas un "droit" à quoi que ce soit.
Je me sens très différemment concernés par les articles de cette série, mais je les apprécie toujours globalement. La question du droit à l'erreur l'interpelle pas mal, parce que depuis un certain moment j'ai remplacé dans ma tête, dans ma manière de penser cette notion de "droit à l'erreur" par celle de "perfectibilité de la nature humaine". En gros, parce que l'humain est imparfait par nature, l'erreur est inévitable à un moment ou à un autre, mais étant consciente de cela, on peut limiter ce risque d'erreur en encadrant nos actions. Comme l'écrit Clémence, les protocoles de sécurité qui entourent une activité à risque (dans son texte, la plongée) visent à limiter ce risque d'erreur, ils ne donnent pas un "droit" à quoi que ce soit.