C'est vraiment un défi super intéressant que je commence seulement à lire 
. Je crois que ca va beaucoup me plaire de lire les autres. Parfois j'oublie que même si je me sens différente ca ne veut pas dire que personne d'autre ne me ressemble et cet article sur le dépression il fait vraiment écho en moi.
Il y a quelques mois j'ai eu un déclic et j'ai dit au revoir à ma dépression, ca faisait trop longtemps qu'elle squattait et elle m'empoisonnait un peu trop la vie et mes relations. Et je m'en suis rendue compte seulement des mois après qu'elle n'était plus là et que j'allais mieux. Et il y a quelques semaines j'ai paniqué. J'ai paniqué parce que j'étais triste et abattu. Et j'allais mieux, je l'avais dit aux personnes au tour de moi, je ne pouvais pas revenir en arrière elle ne pouvait pas être là à nouveau non ? J'en ai parlé avec une amie qui a toujours été là et qui ne m'avait jamais connu autrement qu'avec ce nuage au dessus de ma tête. Et je lui ai demandé si j'avais le droit d'être triste à nouveau ? Et surtout j'en ai conclu que je serais toujours un peu triste que ca faisait parti de moi, cette partie sombre, ce gouffre, ce nuage noir au dessus de ma tête il sera toujours là. Est ce que l'on peut vraiment choisir de ne pas y re sombre à nouveau ? De dire je ne veux pas de toi ? Comme si c'était un choix ? Est ce qu'on peut vraiment la combattre quand on sent les prémices arrivés ? Et quand c'est trop tard et qu'elle s'est de nouveau installée sans qu'on y fasse attention ? C'est un monstre tapi dans l'ombre, et parfois il est si discret qu'il referme ses griffes sur notre âme sans qu'on y prête attention.
. Je crois que ca va beaucoup me plaire de lire les autres. Parfois j'oublie que même si je me sens différente ca ne veut pas dire que personne d'autre ne me ressemble et cet article sur le dépression il fait vraiment écho en moi. Il y a quelques mois j'ai eu un déclic et j'ai dit au revoir à ma dépression, ca faisait trop longtemps qu'elle squattait et elle m'empoisonnait un peu trop la vie et mes relations. Et je m'en suis rendue compte seulement des mois après qu'elle n'était plus là et que j'allais mieux. Et il y a quelques semaines j'ai paniqué. J'ai paniqué parce que j'étais triste et abattu. Et j'allais mieux, je l'avais dit aux personnes au tour de moi, je ne pouvais pas revenir en arrière elle ne pouvait pas être là à nouveau non ? J'en ai parlé avec une amie qui a toujours été là et qui ne m'avait jamais connu autrement qu'avec ce nuage au dessus de ma tête. Et je lui ai demandé si j'avais le droit d'être triste à nouveau ? Et surtout j'en ai conclu que je serais toujours un peu triste que ca faisait parti de moi, cette partie sombre, ce gouffre, ce nuage noir au dessus de ma tête il sera toujours là. Est ce que l'on peut vraiment choisir de ne pas y re sombre à nouveau ? De dire je ne veux pas de toi ? Comme si c'était un choix ? Est ce qu'on peut vraiment la combattre quand on sent les prémices arrivés ? Et quand c'est trop tard et qu'elle s'est de nouveau installée sans qu'on y fasse attention ? C'est un monstre tapi dans l'ombre, et parfois il est si discret qu'il referme ses griffes sur notre âme sans qu'on y prête attention.
je ne sais pas du tout ce que j'en ferai (et ça ne dépend pas forcément de moi ! 
) Je crois que je ne suis pas prête pour l'expérience du livre, ça voudrait dire pour moi d'écrire encore + personnellement, sans pouvoir répondre. (contrairement à Internet, où je garde une certaine distance, justement parce que 1/ le lecteur peut arriver par hasard (c'est moins le cas au milieu d'un livre 
) 2/ je peux venir discuter et répondre.) Je suis pas prête pour ça !! 
)
