Atelier d'écriture (thématique)

W

ww_roxy

Guest
Dans le jardin, tout était calme. Un papillon volait de fleur en fleur, et l'on n'entendait que le bruissement des feuilles sous la brise chaude. C'était un beau jardin. Pas comme ceux des magazines. Ici les herbes folles poussaient comme elles le souhaitaient, et personne ne pensait vraiment à tailler la haie. Mais nous y trouvions tout ce que nous aimions, ce que nous avions planté au fil des années.

Le sapin, celui que nous avions planté ensemble, alors que le jardin n'était qu'une vaste étendue d'herbe, et dont la taille au fil de nos souvenirs nous aidait à les garder en ordre. Ton pommier, grâce auquel chaque année nous nous régalions de tartes et de jus délicieux. Mes tournesols, que nous appelions héliotropes pour faire plus savant. Et puis le grand saule pleureur au bord de la rivière aux crevettes,  les roses multicolores près du portail, les herbes aromatiques juste sous la fenêtre de la cuisine, prêtes à parfumer nos petits plats préparés avec amour pour les enfants, les petits-enfants, les arrière-petits enfants même...

Nous. Main dans la main, assises sur le petit banc à l'ombre du saule.
Il y a 10 ans, nous aurions été en train de lire, mais nos yeux ne sont plus si bons.
Il y a 20 ans, nous aurions été au marché, acheter quelques fruits et légumes pour le dîner, mais nos jambes ne nous portent plus si loin.
Il y a 30 ans, nous aurions ramassé les pommes tombées à terre pour faire de la compote, mais nos dos ne savent plus se plier.
Il y a 40 ans, nous aurions été allongées au soleil, mais nos peaux trop fines ne nous protégeraient plus, nous brûlerions.

Et avant, avant... Les courses folles, les batailles d'eau, les idées farfelues... On en amasse des souvenirs en 80 ans d'amitié.Depuis notre entrée au collège, nous en avions passés des étés. Celui où nous avions tourné un film. Celui où nous avions tiré un feu d'artifice. Celui de nos premières vacances entre amies. Celui de ton mariage. Celui du mien. Celui de la grande réunion de famille. Celui de la mort de ton père... Et puis toutes les autres saisons, les soirées cinéma d'automne, les châtaignes dans la cheminée en hiver, les balades de printemps...

Tes doigts se resserrèrent autour des miens. Le vent se levait.
« Le dernier orage de l'été. », dis-tu, en pointant de ton autre main les nuages noirs se rapprochant.
Au même moment, un éclair traversa le ciel, suivi, un peu plus tard du ronflement du tonnerre.
Silencieusement j’acquiesçai, et tu tournas tes grands yeux, au vert un peu terni par les années, vers moi.
« Peut-être notre dernier orage, aussi. »
Peut-être, en effet.
« Alors nous devrions lui dire au revoir. »
Et nous saluâmes l'orage, sans savoir qu'il nous en restait encore une bonne centaine à voir ensemble.
 
19 Mars 2013
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Un coup de sifflet et le train s’élança. Coincé entre deux compartiments, j’hésitais à propos de tout.

A propos de ma valise : la porter à la main, ou utiliser les roulettes ? A propos de ma tenue : enlever mon pull, ou faire un rapide ourlet aux manches ? A propos de mon billet de train lacunaire : le compléter à l’encre noire, ou bleue ?

Le train prenait de la vitesse. Nous nous trouvions à présent en pleine campagne, et je n’avais toujours rien décidé. Je n’avais pas non plus tout à fait conscience d’où je me trouvais. Tout cela avait un goût étrange, un peu amer. Un peu sucré aussi. Peut-être. Je n’étais pas sûr.

Le train tressauta. Mon esprit fit de même, et je secouai la tête plusieurs fois, de haut en bas, de gauche à droite. Il fallait que je me ressaisisse, que je fasse bouger mes os, mes muscles, mon corps tout entier, que chacun de mes mouvements et de mes pensées s’enchaînent sans à-coup.

Quelques pas me menèrent dans un compartiment. L’énergie s’était envolée. Mon premier choix eut lieu là, dans ce compartiment : je m’assis près de la fenêtre, dans le sens contraire de la marche. Le paysage m’était déjà inconnu, mais l’illusion pouvait encore être maintenue.

Dix heures de trajet à tourner le dos au futur et à ne pas détacher mes yeux d’où je venais. Attendre le plus longtemps possible avant de dire définitivement au revoir, c’était tout ce que je voulais.
 
6 Août 2014
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6032 (Belgique)
www.whatcolorisit.be
Trois jours après notre rupture, il se présente chez mes parents, où je me suis réfugiée, pour me donner les clés. Je lui ouvre, je ne sais vraiment pas quoi ressentir. Je le hais et en même temps, je l'aime tellement... J'ai envie de le secouer et en même temps, il vaut mieux qu'il s'en aille... Que dire ? Que faire ? Je tends la main pour prendre ces petits bouts de métal froid, les yeux baissés. Il dépose un baiser sur ma joue, ce baiser qui veut tout dire sans un mot. J'y ressens de la tendresse et en même temps, une sorte de "c'est mieux comme ça".

Au fond de moi, j'espère que ce n'est qu'un "Au revoir"...
 
C

Cloclo522

Guest
A y est, je poste ma participation :caprice: Je ne sais pas pourquoi mais je ne suis pas très contente de cette histoire :hesite: je ne suis jamais contente de ce que j'écris de toute façon :yawn:

La voilà :paillettes::
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J'en posterai p-e une dans la semaine (si j'ai le temps de la finir :shifty:), elle ne sera pas du tout dans le même genre :frotte:
 
7 Août 2014
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Toulouse
Ayant un job ultra ennuyeux, en tombant sur ce sujet, j'ai cru recevoir du pain béni aha !! Voilà ma piètre contribution de cet après midi du coup  :d




En réalité, la plupart du temps, je ne vois que ses pieds, ses chaussons, ou parfois, quand j'ai de la chance, ses chaussures. D'ailleurs tous les matins je vois ses chaussons.
Je l'entend bailler en général avant 9h, mais le dimanche, il m'arrive de me jeter sur elle pour qu'elle se réveille plus tôt.
Je ne vois que le bas des choses, et le plafond de son appartement est aussi haut que le ciel pour moi. Je ne fais pas la différence franchement, je m'en fiche totalement. La seule chose qui m'importe, c'est qu'elle me file à manger, et qu'elle me laisse dormir.

Au début j'aimais bien, j'étais pouponné, choyé, et j'attirais l'attention de tout le monde :"Waaahouuuuu comme il est mignon !", ou "Oh mon dieu je le veux !!". Bref, je trouvais mon existence délicieuse, voire même au dessus de celle de la plupart des autres êtres vivants. J'étais câliné, elle jouait avec moi tout le temps, et j'étais le centre de son attention. Et j'adorais ça.

Et puis un jour, comme ça, elle n'est pas rentrée. Un soir, deux soirs, trois soirs... En fait, elle rentrait, partait en vitesse dans la sale de bain se scalper le pelage des jambes, et repartait après avoir enfilé je ne sais combien de fourures différentes afin de choisir la plus potable. C'est incroyable ce que les humains sont stupides à vouloir toujours changer de couverture. J'avais beau lui tourner autour, me frotter contre chaque micro-coin de chaque meuble, rien n'y faisait je n'existais plus. Elle s'affichait avec un sourire béat permanent, perchée sur ses échasses qui font du bruit, et poussait des gloussements niais et énervant dans sa boîte en plastique qu'elle approchait toujours de son oreille.
Ma maîtresse parlait sans cesse dans une boîte et s'arrachait le pelage. Je n'en revenais pas.

Enfin, en me réveillant un matin, j'entendis du bruit dans la chambre, dont la porte était fermée. 10h du matin, et toujours pas la moindre croquette dans ma gamelle. Alerte rouge, j'ai commencé à gratter à la porte. A ce train là, j'allais finir seul à copiner avec mes souris en plastique.
Un espèce de bruit ahurissant se fit retentir dans la pièce, et la porte s'ouvrit sur deux énormes pieds velus, aux orteils même pas en couleur. BEURK. Elle avait ramené un autre comme elle. Un autre qui sentait mauvais, qui semblait ne m'aimer que de loin, mais qui au moins, lui, ne se scalpait pas les paluches.

Petit à petit mon champs d'action s'est rétrécie considérablement. Fini le canapé, les chaises, les câlins le soir, quant lit alors n'en parlons même pas !Interdiction de grimper sur les étagères, les tables, le buffet. J'ai fini dans un panier en osier recouvert d'un vieux pull sur lequel je m'étais fait les griffes de trop.
Il semblait me narguer, et me donnait trop à grignoter pour être honnête, cet autre aux pieds velus. Il m'avait piqué ma maîtresse, et ma place dans le lit. Je le haïssais, je le haïssais, je le haïssais.

C'en était trop. Je décidai alors de m'enfuir par la fenêtre un matin quand ils seraient occupés à faire grincer leur lit (d'ailleurs, allez savoir ce qui passe par la tête de ces foutus humains pour passer des heures à s'amuser avec les ressorts d'un sommier...), et de leur dire aurevoir. Du coup, pendant trois horribles jours, j'ai
erré dans le quartier à la recherche de nourriture, et j'ai dormi dans des égoûts répugnants. Je n'ai pas choppé une seule souris, et j'ai franchement eu la trouille.

Bizarrement, j'ai pas vraiment accroché aux poubelles, à l'humidité et au froid, j'ai presque failli avoir le poil frisé à force. Alors je suis revenu. Et bon sang, j'ai été accueilli comme un héro ! J'ai récupéré un accoudoir du canapé, c'est pas énorme, mais c'est déjà ça, et des tonnes et des tonnes de croquettes.
Finalement, c'était pas une mauvaise idée, de leur dire au revoir.
 
22 Août 2014
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Vienne
Hey!

Je viens d'arriver sur le forum et je trouve l'idée super intéressante! J'avais besoin d'un truc pour me pousser un peu à écrire, me donner de l'inspiration.. Ce forum est parfait pour ça, (j'aime beaucoup l'idée d'écrire suivant un thème prédéfini).
Sinon j'ai lu une partie de vos texte, ils sont super sympas =) Et puis c'est intéressant de voir comment un même thème peut être abordé de façons tellement différentes.

'Fin bref, je ne vais pas vous souler avec trop de blablatage non plus, voilà mon premier texte:
:)


Non, tais toi. Pars, monte dans ce train et ne te retourne pas. Surtout épargne moi ce dernier regard, celui qui cherche à s'expliquer, s'excuser ou promettre l'impossible. J'en ai tant vu de ces wagons, emportant vers un horizon plein de promesses un parent, un ami, ou encore un amour perdu. Je ne les blâme pas. Je ne te blâme pas. Il n'y a rien pour vous ici. Seulement ces terres hostiles où vous ne pouvez que survivre. Je comprends pourquoi tu pars, comme je sais qu'on ne se reverra jamais. Non, c'est inutile, tu le sais, comme ils le savaient aussi tous ces autres, qui un à un m'ont assuré qu'ils reviendraient, qu'au moins ils m'écriraient. Pas un seul d'entre eux n'a tenu cet engagement. Ils m'ont oublié. Tous. Comme tu m'oublieras toi aussi. Alors épargne nous ces hypocrites simagrées. Va, vis ta vie, je ne t'en veux pas tu sais, ni à toi, ni à personne. Il faut bien que vous avanciez. Moi, il m'est impossible de partir, je suis lié pour l'éternité à ces lieux désolés. Telle est ma malédiction. Je voudrais juste que tu comprenne que chaque départ est une déchirure, qu'à chaque être qui s'éloigne, un morceau de moi se détache, que vous me tuez à petit feu. Vous n'êtes responsables de rien, n'aies aucun remord, c'est la faute à ce lieu maudit auquel je suis lié pour l'éternité. Pars donc, sans regret, sans un regard en arrière mais s'il te plaît, ne me dit pas que ce n'est qu'  « un au revoir ».
 
6 Mai 2014
28
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3 664
Un, deux, trois. Tandis que mon dernier mot flottait encore dans l'air, je m'élançai . Bruit mat, mon corps n'est qu'élancement. Je laisse échappé un cri avant de reprendre mon souffle précipitamment. Inspire, expire. J'agrippai ses écailles ne prenant même pas garde à ne pas m'arracher d'ongles. J'avais réussis, c'était tout ce qui m'importait. Le tout était maintenant de ne pas vomir , les paysages défilaient en-dessous de nous. Quelque chose montait en moi, cette chose me chatouillait les entrailles tout en prenant de l'ampleur, je reversai soudainement la tête en arrière et éclata de rire. Je le sentait il se déployait autour de moi, laissant éclater mon bonheur. J'en pleurai.
 

Evony

Je t'ai dans la peau mais pas sous les doigts.
18 Janvier 2010
3 196
5 588
5 174
ANGLET
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J'avais pas écris depuis un petit moment. Vos textes sont supers.

C'est un texte exutoire, ça fait du bien.
 
8 Août 2014
336
1 150
1 714
bazarenrangement.wordpress.com
Coucou !

Bon alors pour la petite histoire, j'aimais beaucoup écrire des nouvelles au collège, mais depuis, je n'ai jamais osé en terminer une autre. Alors, 5 an après, ce trouve super de pouvoir chaque mois me réhabituer à écrire ! Mais il faut un début à tout, hein, alors le voici :

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B

beth-greene

Guest
Thème "Un au-revoir" :


Les murs de la chambre sont blancs. La grande fenêtre donne sur des bâtiments en rénovation, un grand parking... Mais au moins, on voit le ciel. A côté, du lit, sur une petite table, il y a un lecteur mp3, un casque, de la crème pour les mains qui sent bon. Il n'y a pas de livre car tu n'es plus capable d'ouvrir un bouquin depuis des mois. Tu ne peux plus te concentrer, tu ne retiens plus. Et tes bras sont trop faibles maintenant, tu ne plus rien tenir dans tes mains. Tes mains qui tremblent, ta peau si fine, presque translucide. Tu es allongée. Les draps et les oreillers sont blancs aussi. Tout est blanc. Tes cheveux sont si courts, ils avaient pourtant commencé à repousser. Tu me regardes, avec tes grands yeux verts. Ils me disent que tu m'écoutes et que tu me comprends, puisque tu ne peux plus parler. Je te dis qu'on va bien et que tu peux partir tranquille. Tu détournes la tête, tu fermes les yeux et tu souris. Je t'embrasse. Je sors de la chambre et avant de fermer la porte, je te glisse "à demain"...
 
18 Janvier 2014
193
237
734
Paris
Thème " un au-revoir"

J'aime tellement ça, écrire, même si je n'ai pas le temps en ce moment avec cette chose surestimée qu'est le diplôme, que je viens de pondre ce qui suit, ça m'a inspirée alors que je n'avais plus d'idées depuis des mois. Ce que ça fait du bien de s'y remettre ! :banana:

Elle aurait aimé lui dire au revoir. En avoir simplement la possibilité. La chance de réaliser que tout était fini, qu'il n'y avait plus rien. Lui dirait qu'il n'y avait jamais vraiment rien eu, mais elle savait que c'était faux. Du moins elle aimait le croire. Elle aurait aimé sur tout soit clair entre eux, mais comme toujours avec lui, tout se passait dans l'ambiguïté, l'entre-deux. Il y avait toujours un double sens dans ses paroles, des sous-entendus dans ses actes, dans sa façon de la regarder et de faire mine de l'ignorer ensuite. Elle consumait sa vie pour lui. Elle se rendait à toutes les soirées de leurs amis communs, à tous les événements qu'il publiait sur les réseaux sociaux. Elle se faisait toujours remarquer par des gens qu'elle ne connaissait pas, des hommes surtout, qui lorgnaient sa beauté et son sourire, celui qu'elle savait garder en toutes circonstances, quand bien même elle hurlait à l'intérieur. Mais celui pour qui elle faisait tout ça ne comprenait jamais. Il ne faisait que s'étonner de sa présence. Elle devait alors inventer une excuse, de moins en moins crédible. Dans sa naïveté, son aveuglement, elle ne voyait pas qu'il savait. Qu'il savait ce qu'il faisait, qu'il était conscient des sentiments qu'il suscitait en elle, que dans son orgueil et son indifférence d'homme sûr de son pouvoir de séduction, il piétinait ce cœur qui lui appartenait. Il ne faisait que souffler le chaud et le froid, la séduire quand il sentait qu'elle s'éloignait mais la délaisser quand elle revenait vers lui. Jamais il ne s'interrogeait sur ses sentiments à lui. Elle n'était qu'un pis-aller, une fille souriante, chaleureuse et arrangeante vers qui il revenait quand le reste de sa vie était creux. Elle se disait alors qu'il partait, souvent, mais qu'il lui revenait toujours. Jusqu'au jour où elle ne le vit plus qu'aux soirées de leurs amis communs. Elle aimait ces soirées car elles lui rappelaient la fois où elle l'avait vu pour la première fois. Son cœur avait battu sur un autre rythme depuis lors. Elle ne se sentait vivante que lorsqu'elle était près de lui. Elle se mît à attendre avec une impatience effrénée les soirées entre amis. Mais il ne venait presque plus. Et quand il venait, il faisait tout pour ne pas se retrouver seul avec elle. Les rares fois où il la regardait, il y avait dans ses yeux de la nostalgie, mais pas de regrets. Elle ne comptait pas assez pour ça. Il ressentait tout de même un espèce de pincement dans la région du cœur qu'il ne s'expliquait pas.
Mais cela ne suffit pas à ce qu'il se retourne une dernière fois quand il la laissa en arrière. Elle était sortie de son esprit, elle perdit le peu de place qu'elle avait dans son cœur. Pour qui, pour quoi, ça n'avait pas d'importance. Il était en route pour d'autres horizons et ne voulait pas s'encombrer des vestiges d'un passé importun. Il laissa à un ami le soin de lui dire, à elle, qu'il ne reviendrait plus. Par lâcheté ou par volonté de garder un plan B, elle ne le sut jamais. Mais elle ne l'oublia jamais. Ce qui était, probablement, son intention inavouée. Après tout, qui veut perdre le bénéfice d'un cœur fidèle et aimant, même pour les chimères miroitant dans l'avenir ?
 
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