Ouai !! Une autre nouvelle
Comme vous êtes plusieurs à vous lancer dans le nom de la rose, je vais m'y mettre aussi je pense
Ouai !! Une autre nouvelle
Comme vous êtes plusieurs à vous lancer dans le nom de la rose, je vais m'y mettre aussi je pense
Bonjour @Selby !
Je ne suis pas en LLCE espagnol mais en Lettres modernes: Mon départ en Espagne s'est décidé sur un coup de tête que je ne regrette absolument pas! Du coup je n'avais pas touché un manuel de castillan depuis le lycée. Rude choc et cours intensifs pendant les six mois qui précédaient l'Erasmus. C'est super que tu te sois mise à l'Espagnol! Surtout que tu as déjà l'air d'avoir un niveau qui tue en anglais.
Je te retourne la question: tu es en LLCE anglais?
Je peux te conseiller les nouvelles de l'auteur argentin Julio Cortazar, notamment "La Noche de los feos". La langue est simple bien que pas simpliste du tout! Toujours en nouvelles, Bolaño, dont je parlais plus haut, est aussi facile d'accès.
Sinon, le premier roman que j'ai lu de bout en bout au début de ma remise à niveau, c'était Crónica de una muerte anunciada, de Gabriel García Márquez. J'avais bien aimé même si je n'avais pas pu saisir toutes les subtilités du récit!
Je ne suis pas en LLCE espagnol mais en Lettres modernes: Mon départ en Espagne s'est décidé sur un coup de tête que je ne regrette absolument pas! Du coup je n'avais pas touché un manuel de castillan depuis le lycée. Rude choc et cours intensifs pendant les six mois qui précédaient l'Erasmus. C'est super que tu te sois mise à l'Espagnol! Surtout que tu as déjà l'air d'avoir un niveau qui tue en anglais.
Je te retourne la question: tu es en LLCE anglais?Je peux te conseiller les nouvelles de l'auteur argentin Julio Cortazar, notamment "La Noche de los feos". La langue est simple bien que pas simpliste du tout! Toujours en nouvelles, Bolaño, dont je parlais plus haut, est aussi facile d'accès.
Sinon, le premier roman que j'ai lu de bout en bout au début de ma remise à niveau, c'était Crónica de una muerte anunciada, de Gabriel García Márquez. J'avais bien aimé même si je n'avais pas pu saisir toutes les subtilités du récit!
@nélandra redis nous ! 
@Arsène Lapin
Merci pour les oeuvres que tu m'as conseillées, je note !
@Arsène Lapin
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Là, après avoir dévoré les contes de Benjamin Péret (allez les lire) (genre c'est un ORDRE) (Surréalisme powaaa 
) j'ai commencé La Terre de Zola. Ça change un peu. Et franchement j'aime bien. Si d'autres madZ l'ont lu (ou d'autres romans de l'ami Mimile ?) 
) j'ai commencé La Terre de Zola. Ça change un peu. Et franchement j'aime bien. Si d'autres madZ l'ont lu (ou d'autres romans de l'ami Mimile ?) Si d'autres madZ l'ont lu (ou d'autres romans de l'ami Mimile ?)
On est plusieurs a avoir lu Au bonheur des Dames dans le cadre du groupe de lecture que j'avais ouvert sur le forum !! Donc hésite pas à aller guigner les retours.
Et pour ma part, j'ai aussi commencé l’Assommoir.
Sur les conseils de @1337 j'ai attaqué le premier tome de la trilogie Le chaos en marche de Patrick Ness et c'est vraiment excellent !
Je l'ai pris à la bibliothèque et ils ont VF ou VO, @1337 m'avait dit que c'était peut-être tendu en VO mais j'ai quand même tenté en me disant que je changerais si ça passe vraiment pas. Et finalement je m'en sors assez facilement en VO et je trouve l'écriture complètement folle ! La plume de cet auteur est vraiment excellente, je me régale ! Je l'ai commencé hier et je pense le finir ce soir tellement je suis à fond dedans
Après c'est sûr que pour des débutants en lectures en anglais c'est un peu chaud. Y a pas mal de "patois" ou de retranscriptions d'accents qui sont un peu WTF mais on s'y habitue, et la plupart des mots il suffit de les prononcer phonétiquement pour retrouver le mot d'origine. Exemple "stayshun" pour "station" ou "didja" pour "did you". Une fois qu'on est habitué c'est le même style de mots qui revient tout le temps donc on y fait plus gaffe.
Je l'ai pris à la bibliothèque et ils ont VF ou VO, @1337 m'avait dit que c'était peut-être tendu en VO mais j'ai quand même tenté en me disant que je changerais si ça passe vraiment pas. Et finalement je m'en sors assez facilement en VO et je trouve l'écriture complètement folle ! La plume de cet auteur est vraiment excellente, je me régale ! Je l'ai commencé hier et je pense le finir ce soir tellement je suis à fond dedans
Après c'est sûr que pour des débutants en lectures en anglais c'est un peu chaud. Y a pas mal de "patois" ou de retranscriptions d'accents qui sont un peu WTF mais on s'y habitue, et la plupart des mots il suffit de les prononcer phonétiquement pour retrouver le mot d'origine. Exemple "stayshun" pour "station" ou "didja" pour "did you". Une fois qu'on est habitué c'est le même style de mots qui revient tout le temps donc on y fait plus gaffe.
Toute la lecture !
@Mercutio : je dirais toute la lecture, à première vue, mais ça reviendrait à classer Zemmour au même titre que Queneau ou Hugo...
Donc toute la lecture à vocation "artistique", peut-être...
Donc toute la lecture à vocation "artistique", peut-être...
Ca fait une éternité que je n'ai pas écrit ici, c'est dommage, j'ai tendance à davantage développer mes avis ici que sur mes divers carnets.
Bref, en ce moment je lis, sur les conseils de ma copine, 1Q84. Je n'accroche pas autant que je le pensais, mais ça passe bien le temps. Certaines ficelles me paraissent un peu grosses (mais je serai peut-être surprise) et certains passages ne volent pas bien haut mais ça m'accroche quand même suffisamment pour poursuivre, je l'oublierai cependant assez rapidement je crois.
Du côté théorique, j'ai lu La chambre claire de Barthes, le week-end dernier. J'en connaissais, par mes études, les grandes idées mais quel texte magnifique, vraiment. On n'est à peine dans l'essai, presque dans l'autobiographie, le texte flirte sans cesse entre les deux, l'équilibre est parfait. Il parle de son rapport à la photographie (un art qui le passionne) en partant de ce qu'il ressent en voyant une photo, ce qui le touche (ce qui le "point" comme il dit) y compris dans ces photos de famille pour arriver à une théorie plus générale, c'est vraiment magnifique. Il parle beaucoup de sa mère, dont il porte le deuil (j'avais lu il y a quelques années son Journal de deuil d'ailleurs).
Un moment m'a marquée. Il parle de l'intimité qu'il avait avec sa mère et il compare sa propre vie avec les pièces de Brecht où bien souvent, le fils forme politiquement, idéologiquement le père, par des discussions politiques et des réflexions partagées. Il constate qu'il n'a jamais parlé de choses intellectuelles avec sa mère et dit : "Nous pensions sans nous le dire que l'insignifiance légère du langage, la suspension des images devait être l'espace même de l'amour, sa musique." Je trouve ça tellement beau et ça me touche personnellement énormément car je suis aussi persuadée que la plus grande intimité et la plus grande affection résident dans le fait de parler des petites choses, des choses insignifiantes.
Bon, comment dire... J'ai bien aimé.
Là, j'ai commencé Par-delà le bien et le mal, de Nietzsche mais finalement, je ne suis pas d'humeur à lire ça en ce moment, il faut que je trouve autre chose.
Bref, en ce moment je lis, sur les conseils de ma copine, 1Q84. Je n'accroche pas autant que je le pensais, mais ça passe bien le temps. Certaines ficelles me paraissent un peu grosses (mais je serai peut-être surprise) et certains passages ne volent pas bien haut mais ça m'accroche quand même suffisamment pour poursuivre, je l'oublierai cependant assez rapidement je crois.
Du côté théorique, j'ai lu La chambre claire de Barthes, le week-end dernier. J'en connaissais, par mes études, les grandes idées mais quel texte magnifique, vraiment. On n'est à peine dans l'essai, presque dans l'autobiographie, le texte flirte sans cesse entre les deux, l'équilibre est parfait. Il parle de son rapport à la photographie (un art qui le passionne) en partant de ce qu'il ressent en voyant une photo, ce qui le touche (ce qui le "point" comme il dit) y compris dans ces photos de famille pour arriver à une théorie plus générale, c'est vraiment magnifique. Il parle beaucoup de sa mère, dont il porte le deuil (j'avais lu il y a quelques années son Journal de deuil d'ailleurs).
Un moment m'a marquée. Il parle de l'intimité qu'il avait avec sa mère et il compare sa propre vie avec les pièces de Brecht où bien souvent, le fils forme politiquement, idéologiquement le père, par des discussions politiques et des réflexions partagées. Il constate qu'il n'a jamais parlé de choses intellectuelles avec sa mère et dit : "Nous pensions sans nous le dire que l'insignifiance légère du langage, la suspension des images devait être l'espace même de l'amour, sa musique." Je trouve ça tellement beau et ça me touche personnellement énormément car je suis aussi persuadée que la plus grande intimité et la plus grande affection résident dans le fait de parler des petites choses, des choses insignifiantes.
Bon, comment dire... J'ai bien aimé.
Là, j'ai commencé Par-delà le bien et le mal, de Nietzsche mais finalement, je ne suis pas d'humeur à lire ça en ce moment, il faut que je trouve autre chose.
Dernière édition :
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
Je suis d'accord avec toi: le livre ne raconte pas l'histoire qui est racontée dans les films. Le livre est bien plus dense et plus intense que la pâle version cinématographique. (le problème est que ce phénomène se répète très régulièrement, de Shining à Harry Potter, et bien souvent les gens pensent que ce n'est pas la peine de lire le livre puisqu'ils ont vu le film. Quelle erreur et à côté de combien de choses ils passent!)
Je n'ai toujours pas lu 50 nuances de Grey, est-ce qu'il vaut vraiment le coup ?
Je sais qu'il a un énorme succès mais cela me rend toujours un peu méfiante.
Je sais qu'il a un énorme succès mais cela me rend toujours un peu méfiante.
