E
Ephemeria
Guest
Je viens de finir: Je bois le vent de Gesine Auffenberg et voici ma critique :
Un court roman qui a une telle puissance.
L'auteur parle de son séjour au Soudan. Nous savons pas les raisons exactes qui l'ont poussé à quitter l'Allemagne, sa terre natale, ce qui ne dérange en rien l'histoire.
Auffenberg Gesine est très tendre envers Ayn, son compagnon équidé. Au début, leur relation s'avère difficile car il n'a pas l'habitude d'être monté et surtout qu'un rien ne l'effraye. Beaucoup de descriptions de ce lien m'ont émue. Ayn sent le moment où sa cavalière a besoin de lui et il sait aussi trouver les points d'eau dans la steppe aride!
Ce roman est d'une grande sensibilité et d'un humanisme.
Merci Babelio de me l'avoir fait découvrir.
Dommage que ce soit le seul roman de cet auteur.
Un court roman qui a une telle puissance.
L'auteur parle de son séjour au Soudan. Nous savons pas les raisons exactes qui l'ont poussé à quitter l'Allemagne, sa terre natale, ce qui ne dérange en rien l'histoire.
Auffenberg Gesine est très tendre envers Ayn, son compagnon équidé. Au début, leur relation s'avère difficile car il n'a pas l'habitude d'être monté et surtout qu'un rien ne l'effraye. Beaucoup de descriptions de ce lien m'ont émue. Ayn sent le moment où sa cavalière a besoin de lui et il sait aussi trouver les points d'eau dans la steppe aride!
Ce roman est d'une grande sensibilité et d'un humanisme.
Merci Babelio de me l'avoir fait découvrir.
Dommage que ce soit le seul roman de cet auteur.