Le matin ma première pensée est toujours pour toi et ça me fait un mal fou. Tu étais mon poulpounet, mon roo nounours, mon petit fiancé, j'étais prête à aller au bout du monde avec toi, te suivre pour que tu réalises tes rêves quitte à m'oublier en chemin... C'était pour toi que j'essayais de m'améliorer, d'avancer dans la vie même si elle me fait peur. Je ne savais pas où j'allais mais j'en avait rien à foutre car c'était avec toi. Et quand je te disais que je t'aime ce n'était pas que des mots. Mais tu n'as jamais compris mes angoisses et donc le comportement excessif que j'ai souvent eu et que j'ai toujours regretté. Quand je vois les messages que tu m'envoyais il y a une semaine ça me déchire le c?ur par rapport à toutes les horreurs que tu m'a dit dimanche sans même daigner me regarder. Elle est où la vérité? Tu m'as menti tout ces derniers mois où juste dimanche? Je ne sais même pas ce qui serait le pire. J'aimerais qu'un piano te tombe sur la tête, qu'il te fasse tout oublier, et que tu redeviennes celui qui m'aimait temps et qui me regardait avec tout l'amour du monde... ça n'arrivera pas, tu ne sauras jamais tout ça... tu ne reviendras jamais vers moi, tu n'es jamais revenu et moi je ne peux plus revenir pourtant j'en crève d'envie par moment mais je n'ai pas envie de me confronter à un mur. Tu sais les tords sont partagés et j'ai passé beaucoup de choses pour toi que je n'aurais pas supporté de quelqu'un d'autre. Tu me manques merde, même après tout ça je t'aime encore et c'est une douleur atroce...