B.,
Cela fait quelques jours que je pense à t'écrire, à te dire tout ce que j'ai sur le cœur. On ne se connait pas beaucoup mais je sais que tu sauras accueillir ce que je vais te dire avec une finesse d'analyse et de réflexion non négligeable. Je te fais suffisamment confiance pour ça.
Ce que je souhaite te dire - et je vais surement en oublier les trois-quart - c'est que je pense à toi à en crever. Je pense à notre rencontre, à notre complicité, à nos échanges, à notre nuit...
Cela fait huit jours. Huit longs jours qui m'ont paru tellement interminables. Huit jours que je veux te revoir, que je veux t'écouter, que je veux te confier mon corps et mon âme.
Alors oui, peut-être as-tu vécu notre rencontre avec moins d'intensité que moi. Cela, je peux l'entendre, mais je ne veux pas le comprendre.
Je ne me suis jamais offerte aussi vite (que ce soit émotionnellement comme physiquement) à un autre homme. Et je pense que cela signifie quelque chose d'important.
Tu m'as offert ton écoute, ton analyse, ton humour, tes compliments, ton corps. Tu m'as prise en charge, tu t'es livré à moi, tu t'es montré on-ne-peut-plus gentil, doux et attentionné à mon égard : aurais-tu fais cela de la même façon avec une autre femme ?
Tu m'as dit que si la distance géographique n'existait pas, tu aurais pu envisager une histoire avec moi. Mais voilà, il y a cette foutue distance, cette frontière qui nous sépare. Tout de même, je pense qu'entre nous, tout peut encore être possible, même si cette distance existe. Essayons de voir ce que ça donnerait, nous deux, s'il-te-plaît.
Je ne supporterais pas l'idée de me dire qu'un potentiel "nous" n'existera jamais.
Mets tes peurs et tes réticences de côté, on sera plus forts que cette foutue distance, parce qu'on le mérite, parce que tu le mérites.
Tu es une très belle personne B., et je ne peux pas te laisser filer comme ça.
Tu me manques tellement. J'aimerais tellement être de nouveau dans tes bras, si doux, si contenants, si sécurisants. J'aimerais tellement que tu me charries encore, pour par la suite me montrer que je compte quand même (un peu) pour toi.
Laisse-moi une chance de te montrer que j'ai raison de penser tout cela. Réponds-moi vite, je t'en prie.
Ne m'oublie pas, je t'en prie. J'en crèverais.
Un abrazo fuerte
Cela fait quelques jours que je pense à t'écrire, à te dire tout ce que j'ai sur le cœur. On ne se connait pas beaucoup mais je sais que tu sauras accueillir ce que je vais te dire avec une finesse d'analyse et de réflexion non négligeable. Je te fais suffisamment confiance pour ça.
Ce que je souhaite te dire - et je vais surement en oublier les trois-quart - c'est que je pense à toi à en crever. Je pense à notre rencontre, à notre complicité, à nos échanges, à notre nuit...
Cela fait huit jours. Huit longs jours qui m'ont paru tellement interminables. Huit jours que je veux te revoir, que je veux t'écouter, que je veux te confier mon corps et mon âme.
Alors oui, peut-être as-tu vécu notre rencontre avec moins d'intensité que moi. Cela, je peux l'entendre, mais je ne veux pas le comprendre.
Je ne me suis jamais offerte aussi vite (que ce soit émotionnellement comme physiquement) à un autre homme. Et je pense que cela signifie quelque chose d'important.
Tu m'as offert ton écoute, ton analyse, ton humour, tes compliments, ton corps. Tu m'as prise en charge, tu t'es livré à moi, tu t'es montré on-ne-peut-plus gentil, doux et attentionné à mon égard : aurais-tu fais cela de la même façon avec une autre femme ?
Tu m'as dit que si la distance géographique n'existait pas, tu aurais pu envisager une histoire avec moi. Mais voilà, il y a cette foutue distance, cette frontière qui nous sépare. Tout de même, je pense qu'entre nous, tout peut encore être possible, même si cette distance existe. Essayons de voir ce que ça donnerait, nous deux, s'il-te-plaît.
Je ne supporterais pas l'idée de me dire qu'un potentiel "nous" n'existera jamais.
Mets tes peurs et tes réticences de côté, on sera plus forts que cette foutue distance, parce qu'on le mérite, parce que tu le mérites.
Tu es une très belle personne B., et je ne peux pas te laisser filer comme ça.
Tu me manques tellement. J'aimerais tellement être de nouveau dans tes bras, si doux, si contenants, si sécurisants. J'aimerais tellement que tu me charries encore, pour par la suite me montrer que je compte quand même (un peu) pour toi.
Laisse-moi une chance de te montrer que j'ai raison de penser tout cela. Réponds-moi vite, je t'en prie.
Ne m'oublie pas, je t'en prie. J'en crèverais.
Un abrazo fuerte