Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
Pourquoi tu m'as fais du rentre dedans pendant un mois pour me balancer que t'es avec quelqu'un depuis deux mois ? 
Pourquoi ça fait des années que t'es là à sous entendre que je t'intéresse et quand j'arrive il n'y a plus personne ?
Pourquoi ça fait des années que t'es là à sous entendre que je t'intéresse et quand j'arrive il n'y a plus personne ?
Tu n'es qu'une sombre merde. J'ai du mal à digérer tout ça car je ne pourrais jamais te déverser ma bile en pleine tronche. Je t'ai tout donné, tu as tout pris, comme le sale égoïste que tu es. Je te déteste pour ce que tu as fait de moi, une personne craintive, méfiante. Je t'ai aimé du plus profond de mon être mais tu ne l'as pas compris, car on ne t'a jamais autant aimé avant (et on ne t'aimera sûrement jamais autant), j'ai cru en toi, j'aurais été prête à t'épauler face à tous tes problèmes (et dieu sait que tu en avais). Mais tu m'as abandonné, 2 fois, tu m'as laissée sans réponse à mes messages, mes appels. Tu m'as "quitté" de la manière la plus minable qui soit. Alors oui, je serai toujours attirée par toi mais au fond tu es pourri, tu n'as aucune valeur, il n'y a que ton apparence qui te sauve mais ça ne fait pas tout. Je ne te souhaite même pas d'être heureux car tu ne le mérites pas.
Et ta misanthropie? Tu détestes tout le monde, tu rayes les gens de ta vie avec une facilité déconcertante. J'ai cru que je pourrais faire avec mais ça n'est pas moi ça, j'ai besoin des gens qui m'entourent, famille, amis... Alors reste seul et sors de mes pensées. Je réalise que je dois arrêter de vouloir être une sauveuse, je dois enlever ma cape et vivre les choses sereinement sans besoin de venir en aide. Tu m'as fait vivre un enfer, je suis angoissée par l'abandon à présent. J'ai tellement peur que l'on me laisse de nouveau sans raison du jour au lendemain, j'ai tellement peur qu'il fasse comme toi. Aujourd'hui, j'ai besoin d'être rassurée sans cesse, j'ai l'impression d'être une petite chose chétive.
J'espère que je saurai croire en ses paroles, en ses compliments, que je pourrais vivre de nouveau une relation en toute sérénité. C'est fou le mal que tu m'as fait et les séquelles que j'en garde. Je m'en rends compte aujourd'hui, dans les prémices de cette future relation possible.
Ca fait du bien de sortir tout ça, même si tu n'en sauras jamais rien, ça libère mon esprit...
Et ta misanthropie? Tu détestes tout le monde, tu rayes les gens de ta vie avec une facilité déconcertante. J'ai cru que je pourrais faire avec mais ça n'est pas moi ça, j'ai besoin des gens qui m'entourent, famille, amis... Alors reste seul et sors de mes pensées. Je réalise que je dois arrêter de vouloir être une sauveuse, je dois enlever ma cape et vivre les choses sereinement sans besoin de venir en aide. Tu m'as fait vivre un enfer, je suis angoissée par l'abandon à présent. J'ai tellement peur que l'on me laisse de nouveau sans raison du jour au lendemain, j'ai tellement peur qu'il fasse comme toi. Aujourd'hui, j'ai besoin d'être rassurée sans cesse, j'ai l'impression d'être une petite chose chétive.
J'espère que je saurai croire en ses paroles, en ses compliments, que je pourrais vivre de nouveau une relation en toute sérénité. C'est fou le mal que tu m'as fait et les séquelles que j'en garde. Je m'en rends compte aujourd'hui, dans les prémices de cette future relation possible.
Ca fait du bien de sortir tout ça, même si tu n'en sauras jamais rien, ça libère mon esprit...
C
ciorane
Guest
J'ai cru que tu étais une vraie pote. Je savais qu'on était différentes, c'est ce que j'aimais le plus d'ailleurs, savoir que malgré nos caractères, nos idées, nos mecs, nos vies on avait réussis à être proches, à être amies.
Visiblement une telle différence ça ne tient pas la route...t'as pas été capable d'être là au moment où tout partais en vrille dans ma vie, ok j'ai pas été facile, oui je t'ai dis que j'avais pas envie de te voir...chacun réagis à sa manière, la mienne c'est de m'isoler sinon je pète un cable. T'as pas été foutue de faire un effort, de comprendre que là, ma priorité c'était pas les amis, les soirées. Pas foutue de foutre ta petite fierté de côté, nan tu m'as jarté de ta vie sans expliquation, comme une merde!
Et tu reviens sans un mot me rajouter sur facebook près d'un an plus tard...nan mais tu te fout de ma gueule?! Finalement, je me dis que t'as pas de fierté et j'ai de la peine pour toi!
Visiblement une telle différence ça ne tient pas la route...t'as pas été capable d'être là au moment où tout partais en vrille dans ma vie, ok j'ai pas été facile, oui je t'ai dis que j'avais pas envie de te voir...chacun réagis à sa manière, la mienne c'est de m'isoler sinon je pète un cable. T'as pas été foutue de faire un effort, de comprendre que là, ma priorité c'était pas les amis, les soirées. Pas foutue de foutre ta petite fierté de côté, nan tu m'as jarté de ta vie sans expliquation, comme une merde!
Et tu reviens sans un mot me rajouter sur facebook près d'un an plus tard...nan mais tu te fout de ma gueule?! Finalement, je me dis que t'as pas de fierté et j'ai de la peine pour toi!
Ne te sens obligé de rien. Fais ce que tu veux, écarte moi de ta vie si tu le souhaites. Oublie ce lien qui nous unie, je m'en remettrais. Je préfère la souffrance de ton absence que de te savoir avec moi par ce que tu t'obliges.
Je n'ai rien demandé à personne et je n'attends rien de toi.
Reste avec eux, choisis ton camp si tu le désires. Ce que je veux c'est ta sincérité et pas une espèce de politesse améliorée.
Je n'ai rien demandé à personne et je n'attends rien de toi.
Reste avec eux, choisis ton camp si tu le désires. Ce que je veux c'est ta sincérité et pas une espèce de politesse améliorée.
Le temps passe et tu continues à me manquer. Pourtant, je crois que j'apprends tout doucement à vivre avec ton absence.
Le plus dur, tu sais, c'est les soirs, quand en revenant d'une fête, je me retrouve seule chez moi. Je n'ai plus personne avec qui débriefer de la soirée, plus personne avec qui prolonger un peu la nuit. Je vais me coucher et je me sens plus seule que jamais.
Tu es toujours présent, dans mes rêves, et le matin quand je me réveille je me prends la réalité en pleine gueule : tu n'es plus là. Je n'aurais jamais d'explications au pourquoi du comment. Je ne te reverrais plus.
Les traits de ton visage se font de moins en moins nets dans ma tête. Je crois que j'ai oublié le son de ta voix et ton odeur.
Je voudrais tellement que tu sois là près de moi.
Le plus dur, tu sais, c'est les soirs, quand en revenant d'une fête, je me retrouve seule chez moi. Je n'ai plus personne avec qui débriefer de la soirée, plus personne avec qui prolonger un peu la nuit. Je vais me coucher et je me sens plus seule que jamais.
Tu es toujours présent, dans mes rêves, et le matin quand je me réveille je me prends la réalité en pleine gueule : tu n'es plus là. Je n'aurais jamais d'explications au pourquoi du comment. Je ne te reverrais plus.
Les traits de ton visage se font de moins en moins nets dans ma tête. Je crois que j'ai oublié le son de ta voix et ton odeur.
Je voudrais tellement que tu sois là près de moi.
Tu vas tellement me manquer l'an prochain. J'ai pas envie que tu partes. J'ai pas envie que tu me laisses. Égoïstement, j'aurais aimé que tu restes plus près de moi.
C'est fou ce que tu as ouvert chez moi en si peu de temps. C'est fou comme j'ai pu m'attacher à toi facilement, comme ç'a été évident dès le début. Je ne sais pas comment je vais faire sans toi, qui m'a si souvent ramassée à la petite cuillère quand j'explosais. Je vais être si seule sans toi et tout votre groupe d'amis, auquel je me sentais un tout petit peu intégrée. Avec qui je m'entendais si bien.
Vous allez me manquer. Vous allez tous nous manquer, en fait. Deux ans c'est trop court. Juste assez long pour créer des liens uniques, mais bien trop court pour qu'on vous laisse partir sans regret.
Mais tout ça on ne peut pas vous le dire. Parce que vous crevez d'envie de partir, et on ne peut qu'en comprendre les raisons.
Promis, on n'arrêtera jamais de vous faire honneur.
C'est fou ce que tu as ouvert chez moi en si peu de temps. C'est fou comme j'ai pu m'attacher à toi facilement, comme ç'a été évident dès le début. Je ne sais pas comment je vais faire sans toi, qui m'a si souvent ramassée à la petite cuillère quand j'explosais. Je vais être si seule sans toi et tout votre groupe d'amis, auquel je me sentais un tout petit peu intégrée. Avec qui je m'entendais si bien.
Vous allez me manquer. Vous allez tous nous manquer, en fait. Deux ans c'est trop court. Juste assez long pour créer des liens uniques, mais bien trop court pour qu'on vous laisse partir sans regret.
Mais tout ça on ne peut pas vous le dire. Parce que vous crevez d'envie de partir, et on ne peut qu'en comprendre les raisons.
Promis, on n'arrêtera jamais de vous faire honneur.
A quoi tu joues? Franchement je n'arrive pas à te cerner, je ne sais pas ce qui se passe dans ta tête. J'ai l'impression que la situation actuelle te convient et que tu ne fais rien pour que ça change. Non, je sais qu'en réalité la situation est aussi invivable pour toi que pour moi, mais pourquoi tu ne réagis pas? Pourquoi tu ne prends pas les choses en main? J'ai besoin que tu me montre ton engagement envers moi. J'ai l'impression de tourner en rond et ces prises de têtes de plus en plus récurrentes me font penser que notre couple ne tiendra pas encore 6 mois. Bouges toi, et fais le vite.
Papa, j'ai besoin de toi. Je suis désolée de te l'annoncer mais je n'ai pas eu ma licence. Ne me juge pas s'il-te-plaît. Ne me donne pas de leçon. Aide-moi, réconforte-moi je te le demande. Je ne sais pas quoi faire, je m'en veux horriblement et j'ai terriblement honte. Je ne sais vraiment plus quoi faire maintenant.
Papa, ça m'embête de te le demander, mais j'ai besoin de ton aide financière. Je dois déménager et j'ai besoin que tu te portes garant pour moi, j'ai aussi besoin que tu m'aides à payer des consultations chez un psy. Je ne t'ai jamais demandé d'argent en plus de la pension alimentaire, mais j'en ai vraiment besoin. Je sais comment tu envisages les psy mais comprends que ce n'est pas ma vision des choses et que ça devient nécessaire pour moi.
S'il-te-plaît papa, j'ai vraiment besoin de ton soutien maintenant. J'ai vraiment honte de t'avouer tout ça, je trouve que j'ai lamentablement échoué et je n'arrive pas à me relever. Je veux que mon mal être cesse, je veux rebondir mais c'est tellement dur d'y arriver seule. Je ne te demanderai pas d'être ma béquille ni ton appui. Je veux te mettre au courant et que tu l'acceptes. Mais financièrement j'ai vraiment besoin de ton aide, comprends que je ne te le demande pas par complaisance mais seulement dans cette optique. Pardonne-moi papa puisque je n'arrive pas à le faire seule.
Papa, ça m'embête de te le demander, mais j'ai besoin de ton aide financière. Je dois déménager et j'ai besoin que tu te portes garant pour moi, j'ai aussi besoin que tu m'aides à payer des consultations chez un psy. Je ne t'ai jamais demandé d'argent en plus de la pension alimentaire, mais j'en ai vraiment besoin. Je sais comment tu envisages les psy mais comprends que ce n'est pas ma vision des choses et que ça devient nécessaire pour moi.
S'il-te-plaît papa, j'ai vraiment besoin de ton soutien maintenant. J'ai vraiment honte de t'avouer tout ça, je trouve que j'ai lamentablement échoué et je n'arrive pas à me relever. Je veux que mon mal être cesse, je veux rebondir mais c'est tellement dur d'y arriver seule. Je ne te demanderai pas d'être ma béquille ni ton appui. Je veux te mettre au courant et que tu l'acceptes. Mais financièrement j'ai vraiment besoin de ton aide, comprends que je ne te le demande pas par complaisance mais seulement dans cette optique. Pardonne-moi papa puisque je n'arrive pas à le faire seule.
J'aimerais juste te dire excuse-moi, excuse-moi Papa.
Excuse moi de ne pas t'avoir parlé pendant 6 ans. Excuse moi d'avoir pensé que tu étais un salaud.
Excuse moi de m'être laisser entraîner par les saloperies que maman pouvait débiter sur toi.
Excuse moi d'avoir été jeune et conne, excuse moi de t'avoir fait tant souffrir.
Excuse moi. Pardonne moi.
Je t'aime tellement.
J'aime ta voix, ça me rappelle plein de bons souvenirs. Les fois où tu me grondais, aussi.
J'aime quand tu me serres dans tes bras. Chaque jour pendant ces 6 ans, ces 6 putain d'années, tu m'as manqué.
J'aime ton côté rebelle, j'aime avoir de toi mes origines irlandaises.
J'aime ton rire, j'aime ton sourire.
Tu m'as tant manqué.
Aujourd'hui, je me rends compte que plus rien ne sera jamais pareil, et ça fait mal. Pour la première fois de ma vie je comprends ces gens qui portent en eux un poids, celui de la culpabilité. Je peux retourner la chose dans tous les sens, savoir ce qu'a fait maman, à quel point elle est douée pour manipuler les gens à son profits, la cicatrice sera toujours là. Je n'arrive pas à trouver un sens à tout ce gâchis. Aujourd'hui j'ai mal, parce que je me rends compte que je suis une adulte, et que presque tout ce qui a fait mon enfance est mort.
Tu es un super papa. Pendant des années tu m'as élevée. Tu as fait des erreurs, oui, mais rien qui justifiait le fait de me revendiquer sans père pendant 6 ans.
J'ai eu si mal. Pendant 6 ans il m'a fallu tenir, survivre, faire face. Chaque jour j'aurais voulu te serrer dans mes bras. Chaque jour agrandissait la plaie que je portais tout au fond et que je cachais sous un masque de colère.
La vie a fait que j'ai eu la chance de te retrouver. C'est une joie immense pour moi. C'est comme si on m'avait recollé un morceau.
Pourtant, je suis amère. D'un côté je n'ai plus envie d'être en colère, je suis fatiguée d'avoir été en colère, et de l'autre j'ai besoin de trouver un fautif. J'ai besoin de faire payer à quelqu'un ce qui s'est passé. J'ai bien peur que ce fautif, ce soit moi.
Est-ce que je me culpabilise parce que j'ai vraiment commis une faute, celle de t'abandonner, ou est-ce pour trouver un sens et un responsable à tout ceci ? Est-ce que la responsable de tout ce merdier, c'est maman ?
J'ai besoin de trouver une répondre. J'en ai besoin putain.
Je suis si fatiguée d'être forte. Je suis fatiguée d'être adulte. J'ai oublié ce que c'était d'être jeune, j'ai oublié ce que c'était d'être insousciante. J'aimerais pouvoir mettre à la poubelle ce carcan de principes moraux qui m'étouffent. J'ai envie de hurler, taper, griffer, mordre. Tout au fond ça hurle, mais j'ai si bien appris la survie que je scelle tout ça et continue d'avancer.
Aujourd'hui, je cherche à avancer, en faisant du mieux que je peux.
Alors pardonne-moi papa. Pardonne moi.
Excuse moi de ne pas t'avoir parlé pendant 6 ans. Excuse moi d'avoir pensé que tu étais un salaud.
Excuse moi de m'être laisser entraîner par les saloperies que maman pouvait débiter sur toi.
Excuse moi d'avoir été jeune et conne, excuse moi de t'avoir fait tant souffrir.
Excuse moi. Pardonne moi.
Je t'aime tellement.
J'aime ta voix, ça me rappelle plein de bons souvenirs. Les fois où tu me grondais, aussi.
J'aime quand tu me serres dans tes bras. Chaque jour pendant ces 6 ans, ces 6 putain d'années, tu m'as manqué.
J'aime ton côté rebelle, j'aime avoir de toi mes origines irlandaises.
J'aime ton rire, j'aime ton sourire.
Tu m'as tant manqué.
Aujourd'hui, je me rends compte que plus rien ne sera jamais pareil, et ça fait mal. Pour la première fois de ma vie je comprends ces gens qui portent en eux un poids, celui de la culpabilité. Je peux retourner la chose dans tous les sens, savoir ce qu'a fait maman, à quel point elle est douée pour manipuler les gens à son profits, la cicatrice sera toujours là. Je n'arrive pas à trouver un sens à tout ce gâchis. Aujourd'hui j'ai mal, parce que je me rends compte que je suis une adulte, et que presque tout ce qui a fait mon enfance est mort.
Tu es un super papa. Pendant des années tu m'as élevée. Tu as fait des erreurs, oui, mais rien qui justifiait le fait de me revendiquer sans père pendant 6 ans.
J'ai eu si mal. Pendant 6 ans il m'a fallu tenir, survivre, faire face. Chaque jour j'aurais voulu te serrer dans mes bras. Chaque jour agrandissait la plaie que je portais tout au fond et que je cachais sous un masque de colère.
La vie a fait que j'ai eu la chance de te retrouver. C'est une joie immense pour moi. C'est comme si on m'avait recollé un morceau.
Pourtant, je suis amère. D'un côté je n'ai plus envie d'être en colère, je suis fatiguée d'avoir été en colère, et de l'autre j'ai besoin de trouver un fautif. J'ai besoin de faire payer à quelqu'un ce qui s'est passé. J'ai bien peur que ce fautif, ce soit moi.
Est-ce que je me culpabilise parce que j'ai vraiment commis une faute, celle de t'abandonner, ou est-ce pour trouver un sens et un responsable à tout ceci ? Est-ce que la responsable de tout ce merdier, c'est maman ?
J'ai besoin de trouver une répondre. J'en ai besoin putain.
Je suis si fatiguée d'être forte. Je suis fatiguée d'être adulte. J'ai oublié ce que c'était d'être jeune, j'ai oublié ce que c'était d'être insousciante. J'aimerais pouvoir mettre à la poubelle ce carcan de principes moraux qui m'étouffent. J'ai envie de hurler, taper, griffer, mordre. Tout au fond ça hurle, mais j'ai si bien appris la survie que je scelle tout ça et continue d'avancer.
Aujourd'hui, je cherche à avancer, en faisant du mieux que je peux.
Alors pardonne-moi papa. Pardonne moi.
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