Ce que j'aimerais lui dire...

[Juny B]

T'es mon amour, t'es ma force. T'es la plus belle personne du monde. T'es parfait, t'es un ange. Comment t'as pu effacer tout ça ? Comment tu as pu effacer en l'espace de quelques jours les complexes que j'avais depuis 20 ans ? Comment tu as pu me redonner goût à la vie en quelques mois ?
J'ai soif de vie maintenant que tu es là. J'ai envie de tout vivre, tout faire avec toi. J'ai des millions de projets et je ne les imagine pas sans toi à mes côtés.

T'es une merveille, la pureté et la droiture incarnée. Tu me rends meilleure et me tires vers le haut incessamment. On ira aussi loin qu'on le peut, on vieillira ensemble, je te le promets. Il ne peut en être autrement.

 

[Margooniett]

Je te hais mec, mais qu'est ce que j'aime quand ton regard croise le miens pour une fraction de seconde, tes yeux font une expression du genre "elle est encore là ?" et je vois que bien que tu me hais aussi, tu ne me méprises pas.
Je devrais arrêté de parler fort, j'ai l'impression que c'est mon inconscient qui hausse ma voix et mes rires pour te faire penser : elle a l'air heureuse.
Je le suis, mais j'avoue que tu me manque quand même
Mais t'es tout de même un connard.

 

[SoundLikeSilence]

C'est dur à avouer mais depuis que je t'ai rencontré je pense à toi, et je me sens super nulle même si j'ai remarqué que tu n'avais pas l'air de me remballer quand on a discuté. C'est la première fois que ça m'arrive et j'ai peur que ce ne soit pas réciproque. Je voudrais savoir si tu es d'accord pour qu'on se parle plus et peut-être qu'on se voie un jour. S'il-te-plait n'en parle pas à A. Je mourrais de honte si tu n'accepte pas et qu'il le sait. Je te laisse le temps de réfléchir, ne pars pas en courant... Mais réponds moi quand tu auras décidé. S'il-te-plait.

Une fille qui n'est pas une psychopathe, juré.

 

[Halinor]

Tu as gagné, c'est bon. J'abandonne.

Enfin de compte, c'est toi qui avais raison.

Tu n'es qu'un lâche qui n'assume même pas ce qu'il pense et ce qu'il ressens jusqu'au bout. Je suis fatiguée d'essayer de t'expliquer. Je veux juste la vérité mais elle ne viendra jamais tant pis.

Je pensais sérieusement que tu étais une personne exceptionnelle, vraiment. Mais tu as peux être raison, je n'aimais que l'image que je me fessais de toi. Je t'ai idéalisé. Enfin compte, tu te plains de la mauvaise image que j'ai de toi, mais c'est toi qui en es l'unique responsable.

Tu es un imbécile. Tu as roulé mon amour dans la boue avant de le piétiner et de lui cracher dessus. Et visiblement cela ne te suffit pas. Tu en rajoute une couche. Tu doutes. Aller, assume que ce n'est pas sérieux.

Pourquoi toujours être aussi radical? Tu as vraiment eu une réaction que je trouve complètement puérile. Je pèse vraiment mes mots.

Je voulais vraiment te garder dans ma vie. Parce que je t'estime. Peut être un peu trop. Ça ne te convient pas non plus. Je pense que si c'est le cas j'aimerais que tu aies au moins la décence de le dire. Maintenant, je n'en suis plus sûre.

Tu as gagné. Félicitation. Je suis dégoûtée. Écœurée et quand je pense à toi, la nausée me prend. C'est triste, hein?

Si je te le dis un jour, et crois moi tu le sauras, je suis sur que tu ne vas rien faire pour me retenir. C'est tellement plus facile. Si c'était ton but de me dégoûter pour ne pas à avoir à me remballer, bien joué tu es encore plus lâche que je ne le croyais.

Je ne te déteste pas pour autant.

 

[marion##]

Tu me manques.
Tu étais pire qu'une drogue.

 

[Nightmares.]

Je m'habitue a ton absence , ne réapparaît pas comme tu a l'habitude !

 

[Zirbu]

Tu me manques, encore, toujours. Et ce, depuis 1 an.
Mais je crois que je commence à m'habituer à ce sentiment, c'est douloureux, mais je m'y habitue. Alors, cette fois, je crois qu'il faut réellement que j'arrête d'espérer un signe de ta part. Laisse moi essayer, s'il te plaît.

 

[dudulinette]

Tout le monde me dit que je suis bien mieux sans toi, que tu ne me méritais pas. On me dit de t'oublier, toi et ton sale caractère.
Parce que ça oui, on peut le dire que tu as un sacré fichu caractère hein ! Tu t'énerves toujours pour un rien, avec toute les personnes que tu aimes, tu es incapable de t'excuser, tu es odieux parfois.
Je le sais, je sais tout ça, je suis même la première à le dire.

Mais y a ce petit truc chez toi qui m'empêche de tourner la page, qui fait que j'ai une irrépressible envie de me jeter dans tes bras à chaque fois que je te vois.
Qui me fait toujours espérer que peut-être ce n'est pas réellement fini entre nous ... qu'est ce que je suis con parfois ! Je suis comme une gosse qui continue à croire au père Noël après qu'on lui ai dit la vérité, c'est pathétique ... Mais putain, qu'est ce que tu m'as fait pour que je devienne comme ça ?

 

[Loni_]

Tu me manques. Tu me manques tellement, que ça me creuse le bide à chaque fois que je pense à toi, ou qu'on me parle de toi.
Tu disais que tu m'aimais, que j'étais la femme de ta vie, envers et contre tout, envers et contre tous. Que ça faisait 8 ans que c'était comme ça, et que rien, non rien, ne pourrait jamais changer ça, même si nous n'étions pas en couple.
Tu m'appelais "ma merveilleuse moitié", "mon âme", "mon alter ego", et j'y croyais dur comme fer. J'y crois encore d'ailleurs...
Je ne comprends pas comment tout ça a pu s'envoler en si peu de temps. Je ne comprends pas comment on a pu passer de 200 messages par jours à à peine un bonjour...
Je t'aimais profondément, je t'aime toujours. Mais bien au-delà de tes mots d'amour, c'est notre complicité qui me manque le plus, nos confidences à n'en plus finir, nos fous rires, que tu m'appelles "ma complice éternelle"... Je ne comprends pas à quoi tu joues, je ne suis même plus sûre de savoir qui tu es... Et je ne sais plus du tout qui je suis pour toi...

 

[Catberry]

Je crois bien que j'étais en train de tomber amoureuse de toi, sale con. On l'a échappé belle.

 

[jusdepomme]

Tu es partie sans raison, ne reviens pas sans excuses.

 

[psychopatate]

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