Ce que j'aimerais lui dire...

[Halinor]

Je suis en colère, dégoûter, j'ai vraiment envie de vomir. J'ai envie de te vomir à la figure tout ce que j'ai à te dire sans ménagement, sans mettre de gants. Je m'en fiche.

Maintenant quand je pense à toi j'ai la nausée. Ton comportement me dégoute, c'est tellement facile de jouer les connards, ceux qui n'en n'ont rien à foutre. C'est tellement facile de se faire détester. Est ce que c'etait ton but? Me dégoûter, pour ne pas assumer ce que tu ressens?

Je veux juste la verité. j'ai pas besoin d'être protégé, j'ai pas besoin de ta pitié. Que ce soit dans un sens au dans un autre, assume. Pour une fois. Tu n'es pas prêt, tu n'es jamais prêt. C'est une excuse.

Grandis un peu.

Arrêt de jouer les victimes, tu es ta propre victime. Moi, je n'en suis pas une, je ne suis pas une chose fragile et faible. Quand le comprendras tu? Je ne suis pas comme toi, je suis plus forte que toi, j'arrive à affronter la vie. Aie du cramp pour une fois et dis la vérité.

 

[Leorocking]

à C,

je n'ai jamais été autant emplie de dégoût et de haine, à moins que ce ne soit ce trou béant immense qui me ronge l'intérieur sans s'arrêter. Je fais de mon mieux pour voir à travers toi, comme si tu n'étais rien d'autre qu'un élément du décor, comme si tu n'étais pas là, sans doute finirais-je par y croire. Je refuse tous mes ressenti, je refoule tous mes désirs, et me ferme à jamais.
Je suis navrée que ça n'est pas marché. Et répugnée de te voir avec d'autre. Toute cette haine qui m'incarne, c'est dingue.
J'ai qu'une envie c'est de me défoncer le corps, de me défoncer le cerveau, de me défoncer pour oublier à quel point je n'arriverais jamais à me détacher totalement de toi. J'ai beau me fermer le plus que je puis à toutes mes sensations et toute cette douleur, parfois la nuit je ne pense qu'à toi.

 

[Lilychou]

ce que j'aimerai te dire c'est d'étre clair une bonne fois pour toute, d'assumer ce que tu ressens ... mais non encore une fois tu fuira comme d'habitude ... j'ai tout accepter pour te garder dans ma vie mais finalement ce que j'aimerai te dire, c'est que j'aimerai etre plus qu'une amie ... ce que j'aimerai te dire c'est que c'est toi qui complique notre relation, toi qui te prends la tete pour rien alors que moi finalement j'essaie juste d'attirer ton attention et ce que j'aimerai te dire c'est que tu me manques mais bon ca je n'en ai pas le droit non plus ...

 

[Amarente]

C., tu fais grave chier là. Tu t'inventes des problèmes, t'en fabrique entre nous deux, alors que c'est pas la peine. Je me dis que tu es peut-être triste d'être loin de ceux que tu aimes toi aussi, que tu es fatiguée, que tout te déçois un peu en ce moment. Tu vois, je te trouve encore des excuses, tellement j'ai pas envie d'y croire.
Avec toi, je croyais que je pouvais parler à cœur ouvert, de toutes les choses auquel je pense, sans être jugée. Mais c'est pas le cas, apparemment. Je pensais que t'étais spéciale, qu'avec toi je pouvais être plus libre qu'avec les autres. Quand je t'ai rencontrée, c'était une bouffée d'air frais. Maintenant, c'est toi qui me prend mon air frais, là. Tu sais quoi? Je suis triste d'être dans un autre pays, parce que moi aussi j'ai envie de voir ma famille, surtout ma mère. Mais je suis heureuse de pas être près de toi, là. Rabaisser les gens comme ça, et dire des choses pareilles, je crois que c'est toi qui a un problème, pas moi. Je ne te verrais plus de la même manière. Par chance, on sera moins ensemble l'année prochaine. Tiens, je suis plus triste à cause de ça d'ailleurs. J'ai envie de te mettre dans le même panier que S.

Et L., calme-toi aussi, là. Arrête de vouloir mettre tous les malheurs du monde sur mon dos. C'est pas QUE mon choix, cette situation, c'est le tiens aussi. Tes parents t'ont pas forcée, tu l'as fait toute seule. Maintenant t'assumes, et t'arrête de me regarder, comme si j'étais la dernière des connes. J'ai pas besoin de ça, en ce moment, tu vois. Quand tu viendras, tu verra.

Ah, ça fait du bien! Je ne sais pas trop si on peut aussi dire des choses à des gens qu'on apprécie pas (ou plus) ici. Dans tous les cas, je repasserais.

 

[Ninaa-x]

A mon premier amour...

J'aimerais lui dire que je ne regrette pas qu'il ait été le premier, malgré ce que j'ai pu lui dire.

J'aimerais lui dire que j'espère qu'il changera, qu'il ne sera plus si horrible avec les filles. Qu'il sera plus respectueux. Beaucoup plus.

J'aimerais lui dire que je l'ai aimé, avec mon coeur de jeune fille.

J'aimerais lui dire que quelque part, tout au fond de moi, il sera toujours là, car on n'oublie pas si facilement une première fois.

J'aimerais lui dire que j'aurais aimé que les choses se passent autrement, qu'on aurait pu construire quelque chose si on s'était rencontré un peu plus tard.

J'aimerais lui dire qu'on est trop jeunes, que je l'aimais trop, lui pas assez.

J'aimerais lui dire que s'il revenait, maintenant, je ne pourrais sûrement pas lui résister.

Mais j'aimerais aussi lui dire que je ne veux pas qu'il revienne.

J'aimerais lui dire qu'il m'a fait trop de mal, qu'il m'a détruire pendant un moment.

J'aimerais lui dire que pendant un moment, j'aurais aimé qu'il souffre autant que j'ai souffert.

J'aimerais lui dire qu'au début de la fin, j'ai espéré qu'il raterait son année, qu'il rentrerait chez lui, à une heure de chez moi, et que je ne le reverrais jamais. Loin des yeux loin du coeur, dit le proverbe menteur.

J'aimerais lui dire que j'en aimerais d'autres, qu'il me passera, qu'un jour je l'oublierais.

J'aimerais lui dire tellement de choses, que je n'ai jamais su lui dire en face.

 

[Ninaa-x]

à C,

je n'ai jamais été autant emplie de dégoût et de haine, à moins que ce ne soit ce trou béant immense qui me ronge l'intérieur sans s'arrêter. Je fais de mon mieux pour voir à travers toi, comme si tu n'étais rien d'autre qu'un élément du décor, comme si tu n'étais pas là, sans doute finirais-je par y croire. Je refuse tous mes ressenti, je refoule tous mes désirs, et me ferme à jamais.
Je suis navrée que ça n'est pas marché. Et répugnée de te voir avec d'autre. Toute cette haine qui m'incarne, c'est dingue.
J'ai qu'une envie c'est de me défoncer le corps, de me défoncer le cerveau, de me défoncer pour oublier à quel point je n'arriverais jamais à me détacher totalement de toi. J'ai beau me fermer le plus que je puis à toutes mes sensations et toute cette douleur, parfois la nuit je ne pense qu'à toi.

La nuit, c'est le pire. Tous les souvenirs, surtout les bons, reviennent. Et puis voir ces gens qu'on ne veut plus voir tous les jours, c'est la pire des souffrances.
On dit toujours qu'avec le temps, ça passe. Mais je suis sure que non.
Avec le temps, ce sera juste de moins en moins douloureux.
Un ami m'a dit un jour, "bois autant de verres que de mal qu'il t'a fait. Tu seras tellement mal le lendemain que tu le détesteras". Même si l'idée était bonne, je suis persuadée que détester quelqu'un au même point qu'on l'aime est aussi douloureux. Donc je ne te donnerais pas ce conseil, mais je te dirais juste que je comprends.
Bon courage

 

[Evony]

C'est fini, je grandis et je commence à m'aimer, tu n'auras bientôt plus aucun pouvoir sur moi.
Je me suis longtemps demander ce que tu pouvais m'apporter, peut être que tu as croisé ma route, juste pour me montrer ce dont je n'ai pas besoin.

 

[Barya]

Non mais pour qui tu te prends à toujours penser que tu peux dire aux gens comment penser et agir, et pour leur expliquer ce qu'ils ressentent ?
Tu te rends compte au moins que tu es très souvent insultant, au mieux franchement incorrect ?
Tu sais, parfois, admettre qu'on ne sait pas, ce n'est pas une honte et ça permet d'avoir des débats sereins. Sauf qu'avec toi ce n'est jamais possible et je commence à en avoir ras-le-bol.
Je loue le jour où tu as décidé de dégager de notre groupe de clinique. T'es vraiment un connard quand tu t'y mets.

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Je suis désolée les poteaux, mais en ce moment je trouve votre contact frustrant. J'en ai marre de vos morales, de nos désaccords sur des sujets plus importants que ce que je veux bien avouer, et ça me fait grave flipper de me retrouver avec vous pour seule vie sociale l'an prochain.
J'ai juste besoin de me sentir un peu comprise sans que vous cherchiez systématiquement à démonter mon propos.

 

[Ineffable]

C'est pour toi, toi et puis vous aussi, je suis en train de mettre dans des sacs 2 ans de ma vie, 2 ans de ce que je décrivais comme "ma passion", de ce pour quoi j'ai été prête à tout un tas de sacrifice et aujourd'hui j'ai juste envie de vous rendre tout ça, tout ce qui me rattache à vous, que cela soit à vous ou à moi, ce qui est à moi, je vous le donne, dernier geste envers cet univers qui me fut si indispensable à une époque aujourd'hui révolue...

 

[Solemnia]

Ne me laisses pas, ne pars pas, ne lâche pas ma main dans la tempête
Mon monde s'écroule sans toi
J'abandonnerais tout, je prendrais tous les tords, je subirais tout, mais ne me laisses pas.
J'ai compris maintenant, je sais. Tout est clair, j'ai besoin de toi pour affronter la marée. Je t'ai toujours aimé et t'aimerais toujours, et dans le fond, je sais que toi aussi, toi aussi, ne me laisse jamais.

 

[Amarente]

Mais L., quoi! C'est déjà la deuxième fois que tu m'énerves suffisamment pour que j'écrive ici! Tu peux frapper avant d'entrer dans cette p*tain de chambre, s'il te plait? Ou avoir de l'intimité, c'est trop te demander? C'est au moins la troisième fois que tu me fais le coup, juste pour aujourd'hui! Je ne supporte pas ce comportement, je ne TE supporte pas, plus. Je sais que cette chambre, c'est la tienne, mais c'est toi qui a choisi de m'y installer. Et comme j'en ai parlé plus tôt, c'est pas que mon choix cette situation. Alors assume, bordel, assume! Et arrête de tirer la gueule, c'est pas agréable du tout. Tu vois pas que suis mal tout le temps? Ou c'est juste que tu t'en fous, en fait. Je suis sûre que t'as hâte que tout soit terminé. Je te rassure, pas autant que moi.

 

[Barya]

J'ai l'impression que tu as décidé de me zapper de ta vie.
En soi, ça n'a pas une grosse importance, c'est pas comme si on se parlait encore beaucoup. Mais en fait, je ne comprends juste pas pourquoi tu ne me le dis pas clairement. Ce serait plus simple que de m'ignorer bêtement non ? Je pense que je suis en mesure de comprendre s'il n'y a plus de place pour moi dans ta vie.

Pourtant parfois tu me manques. Je ne comprends pas bien pourquoi non plus d'ailleurs. Est-ce qu'on garde toujours une trace de ce qu'on a ressenti pour quelqu'un ? C'est débile, surtout quand on sait comment les choses se sont terminées entre nous, et comment on s'en est finalement super bien remis tous les deux - au bout de quatre ans, le contraire serait inquiétant -.

Enfin, je ne comprends pas ce que je ressens et j'aimerais savoir ce que toi tu te ressens.
Et même si j'aimerais que ce ne soit pas le cas, tu occuperas toujours une place particulière dans ma vie.