Merci. Merci d'être là pour moi.
Je voudrais que tu sois avec moi, là maintenant tout de suite. Je voudrais pouvoir mettre ma main dans tes cheveux, respirer ton odeur de Mixa au karité et de parfum, te serrer fort dans mes bras, t'entendre rire et te foutre de moi, te faire l'amour pendant des heures.
Je crois que je t'aime, mais j'ai pas encore trouvé la force de te le dire. J'ai peur de ta réaction. Je sais que tu tiens à moi, mais j'ai peur que tu ne sois jamais amoureux. Tu m'aimeras un jour, dis ?
Je voudrais tellement avoir plus de temps à te consacrer... Les moments qu'on passe ensemble le week-end sont tellement doux. Quand on dort côte-à-côte, qu'on se réveille et que je me serre contre toi, que tu fais un demi-sourire en coin et que tu m'embrasses sur le front. Quand on regarde des dessins-animés dans mon lit comme des gamins, avec un petit déjeuner royal et un sourire jusqu'aux oreilles. Qu'on discute pendant des heures, de tout et de rien, que tu me racontes tes histoires de quand t'étais petit, et que je te fais écouter mes chansons préférées.
J'aime par dessus tout quand tu me regardes avec un regard attentif et concentré, comme si tu essayais d'apprendre mon visage par coeur, et que tu finis par sourire parce que tu croises mon regard, et que tu vois bien que quand même, ça me met un peu mal à l'aise que tu me regardes si intensément. Ça me faisait bizarre au début que tu me regardes, j'aimais pas trop ça même
. J'avais envie de me cacher, de me détourner et de me sauver, parce que j'avais l'impression que tu me voyais vraiment et que tu devinais tout ce qui se passait dans ma tête. Peut-être que je projette simplement mes idées, mais tu l'as dit toi-même, il se passe toujours mille choses dans ma tête et t'as envie de les deviner.
Je pourrais continuer comme ça pendant des heures, tu sais ? Je voudrais être avec toi ce soir, comme tous les soirs ou presque depuis le début de ces deux beaux mois. T'es avec tes amis et je me demande si tu penses à moi... Je sais que oui en fait, et je me rends compte quand t'es pas là à quel point tu me manques, à quel point t'es devenu important. T'es devenu un pilier. Je pleure devant toi, t'as une idée de ce que ça représente pour moi ? Je pleure devant personne d'autre que ma mère. Et mon père et mon frère aussi parfois. Et devant toi, donc. Je me mets à nu, complètement. Je me dévoile, en entier, comme jamais. J'ai envie de te donner tellement... Et je suis tellement désolée d'être tout le temps fatiguée. Je voudrais avoir du temps pour prendre soin de toi, comme tu prends soin de moi. Pour changer pour une fois, je voudrais te faire à manger et m'occuper de tout.
J'ai les larmes aux yeux au moment où je t'écris. Tu vas penser que je suis une pisseuse et te foutre de moi. Mais j'y peux rien si je suis émue quand je pense à toi. J'ai du mal à croire que tout ça soit pour de vrai. C'est fou, quand on y pense. C'est fou, mais je tombe amoureuse de toi... Et bon, je voudrais pas trop m'avancer, mais je crois que peut-être que toi aussi.
Je voudrais que tu sois avec moi, là maintenant tout de suite. Je voudrais pouvoir mettre ma main dans tes cheveux, respirer ton odeur de Mixa au karité et de parfum, te serrer fort dans mes bras, t'entendre rire et te foutre de moi, te faire l'amour pendant des heures.
Je crois que je t'aime, mais j'ai pas encore trouvé la force de te le dire. J'ai peur de ta réaction. Je sais que tu tiens à moi, mais j'ai peur que tu ne sois jamais amoureux. Tu m'aimeras un jour, dis ?
Je voudrais tellement avoir plus de temps à te consacrer... Les moments qu'on passe ensemble le week-end sont tellement doux. Quand on dort côte-à-côte, qu'on se réveille et que je me serre contre toi, que tu fais un demi-sourire en coin et que tu m'embrasses sur le front. Quand on regarde des dessins-animés dans mon lit comme des gamins, avec un petit déjeuner royal et un sourire jusqu'aux oreilles. Qu'on discute pendant des heures, de tout et de rien, que tu me racontes tes histoires de quand t'étais petit, et que je te fais écouter mes chansons préférées.
J'aime par dessus tout quand tu me regardes avec un regard attentif et concentré, comme si tu essayais d'apprendre mon visage par coeur, et que tu finis par sourire parce que tu croises mon regard, et que tu vois bien que quand même, ça me met un peu mal à l'aise que tu me regardes si intensément. Ça me faisait bizarre au début que tu me regardes, j'aimais pas trop ça même
. J'avais envie de me cacher, de me détourner et de me sauver, parce que j'avais l'impression que tu me voyais vraiment et que tu devinais tout ce qui se passait dans ma tête. Peut-être que je projette simplement mes idées, mais tu l'as dit toi-même, il se passe toujours mille choses dans ma tête et t'as envie de les deviner.Je pourrais continuer comme ça pendant des heures, tu sais ? Je voudrais être avec toi ce soir, comme tous les soirs ou presque depuis le début de ces deux beaux mois. T'es avec tes amis et je me demande si tu penses à moi... Je sais que oui en fait, et je me rends compte quand t'es pas là à quel point tu me manques, à quel point t'es devenu important. T'es devenu un pilier. Je pleure devant toi, t'as une idée de ce que ça représente pour moi ? Je pleure devant personne d'autre que ma mère. Et mon père et mon frère aussi parfois. Et devant toi, donc. Je me mets à nu, complètement. Je me dévoile, en entier, comme jamais. J'ai envie de te donner tellement... Et je suis tellement désolée d'être tout le temps fatiguée. Je voudrais avoir du temps pour prendre soin de toi, comme tu prends soin de moi. Pour changer pour une fois, je voudrais te faire à manger et m'occuper de tout.
J'ai les larmes aux yeux au moment où je t'écris. Tu vas penser que je suis une pisseuse et te foutre de moi
. Mais j'y peux rien si je suis émue quand je pense à toi. J'ai du mal à croire que tout ça soit pour de vrai. C'est fou, quand on y pense. C'est fou, mais je tombe amoureuse de toi... Et bon, je voudrais pas trop m'avancer, mais je crois que peut-être que toi aussi.
