C'est bien terminé cette fois. Tu m'as trop déçue, trop énervée, trop tout... Tu te poses en victime au lieu de reconnaître tes torts.
"Je ne sais pas quoi te dire à part que je suis désolé". Essaye de me demander comment je vais. Comment je vis avec ça. essaye de m'expliquer comment on en est arrivés là. Pourquoi on n'a pas le même ressenti sur quelque chose qu'on a pourtant vécu ensemble. Mais non. Tu ne me demandes même pas comment je vais. Tu me parles de toi. De toi. Et encore de toi. Quel altruiste.
La condition sine qua non pour qu'on se reparle (peut-être) reste que tu suives une psychothérapie. Je ne t'adressais pas la parole tant que tu n'auras pas vu un psy régulièrement. Tu en as besoin. Tu es le seul à ne pas le savoir. Tu l'évoques dans le long message que tu as envoyé à mon amie, mais c'est tout. "Elle m'a dit de voir un psy", ok et après ? C'est tout, tu balances ça comme ça... Tu cherches toutes les excuses possibles pour éviter la case psy. Un jour, tu ne pourras plus vivre dans le déni. Tu seras seul, comme un gland, et ce sera malheureusement trop tard.
Tu aurais pu devenir quelqu'un de bien. Je pensais jamais qu'un jour, tu me sortirais des énormités comme tu as pu le faire lundi soir. On peut dire que 2022 commence bien. Malgré tout ce que tu as pu faire ou dire, je ne te souhaite pas du mal. Je te souhaite d'ouvrir les yeux et d'aller mieux. Mais ça, tu es le seul à pouvoir en décider. On verra avec le temps... Tu aurais pu devenir quelqu'un de bien, je le pense sincèrement. Et puis tu t'es tiré une balle dans le pied. Ne rends pas les autres responsables de ce qui t'arrive. Achète un miroir.