Rpz ma relation à distance et la fausse rupture qui a fini par une vraie, 2ans après je ne ressens plus rien, l'amour c'est fini pour moi. C'est vrai que son "premier gars" on l'oublie pas hein ! 
fml
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Ce que je retiens de ma relation toxique, trois ans après
- Initiateur de la discussion Mymy Haegel
- Date de début
Je ne vais apporter mon histoire à l'édifice, parce qu'elle est malheureusement très banale (1er amour, au lycée, dépendance affective et détresse intense à la rupture avec perte de confiance totale en l'autre et en moi) mais une chanson qui m'a aidé à m'en sortir c'est celle là :
et cinq ans après je vous confirme que oui, tout passe !
Merci Mymy pour ce témoignage ! Tu m'as permis de prendre conscience que j'avais vécu une relation plus que toxique il y a quelques années, et de réaliser que j'y étais toujours plus ou moins, car je serais prête à y replonger du jour au lendemain, sur un simple claquement de doigts...
J'espère que je finirai par sortir de son influence (quoiqu'involontaire aujourd'hui...), je pense que ça a contribué à mon célibat prolongé depuis...
J'espère que je finirai par sortir de son influence (quoiqu'involontaire aujourd'hui...), je pense que ça a contribué à mon célibat prolongé depuis...
Ce qui me fait le plus mal en lisant cet article c’est que ça me confirme que j’ai été une relation toxique pour quelqu’un et des dégâts que ça a pu lui causer. Cette prise de conscience ça fait un moment que je l’ai eue, notamment depuis qu’on a vraiment coupé les ponts. Après une relation de 10 ans alternant phases de meilleurs amis et de couples notre relation a véritablement viré au cauchemar quand on a fait une tentative d’appart’ en commun. Sans trop entrer dans les détails je peux dire qu’en ce qui me concerne je n’agissais pas dans une perspective de manipulation. Il subissait mes variations d’humeurs, les moments où je le rabaissais et où je lui disais qu’avec ou sans lui ma vie serait la même. Mais je ne sais pas pourquoi j’agissais comme ça. Ce n’était pas vraiment conscient, pas prémédité. Ce n’était pas planifié. J’attendais peut-être aussi qu’il réagisse, mais il restait passif, à subir. Depuis j’ai cherché à comprendre pourquoi j’agissais comme ça. Ça fait deux ans maintenant que je jongle avec des psychologues, des psychiatres et des médocs, j’ai alterné des phases où ça allait, et d’autres de profonde dépression qui ont laissé des traces indélébiles sur mon corps, et aucun diagnostic formel n’a encore été posé (bipolaro-borderlino-cyclotimico-on-sait-pas-trop).
Après notre rupture finale (on était en phase « amis » à ce moment-là) je suis passée par les 5 étapes du deuil, mais je me suis forcée à ne pas reprendre contact avec lui, consciente que je ne ferai que le replonger dans les méandres de ma personnalité perturbée.
Donc oui, fuyez ces relations toxiques, mais ne mettez pas toutes ces personnes toxiques dans le même panier. Il y a des manipulateurices, des gens qu’ils veulent juste arriver à leurs fins, et puis des gens paumés, pas méchants mais malheureux, qui doivent se stabiliser eux-mêmes avant de pouvoir être stable avec autrui. Ce n’est pas forcément à vous de les aider dans ce cas, mais par le dialogue de parvenir à leur faire prendre conscience de leurs incohérences ça pourrait être un début ^^
J’aimerai un jour savoir qu’il m’a pardonné, en attendant j’essaie de me pardonner moi-même et de faire en sorte de ne jamais être de nouveau toxique pour qui que ce soit.
Après notre rupture finale (on était en phase « amis » à ce moment-là) je suis passée par les 5 étapes du deuil, mais je me suis forcée à ne pas reprendre contact avec lui, consciente que je ne ferai que le replonger dans les méandres de ma personnalité perturbée.
Donc oui, fuyez ces relations toxiques, mais ne mettez pas toutes ces personnes toxiques dans le même panier. Il y a des manipulateurices, des gens qu’ils veulent juste arriver à leurs fins, et puis des gens paumés, pas méchants mais malheureux, qui doivent se stabiliser eux-mêmes avant de pouvoir être stable avec autrui. Ce n’est pas forcément à vous de les aider dans ce cas, mais par le dialogue de parvenir à leur faire prendre conscience de leurs incohérences ça pourrait être un début ^^
J’aimerai un jour savoir qu’il m’a pardonné, en attendant j’essaie de me pardonner moi-même et de faire en sorte de ne jamais être de nouveau toxique pour qui que ce soit.
Ça me rappelle des choses même si dans ma relation toxique il y avait beaucoup plus d'ambiguïté et je n'ai pas la possibilité de dire "c'était de sa faute".
Les relations toxiques peuvent aussi naître de changements de situation qui font qu'il n'est plus possible d'être aussi fusionnel qu'on l'a été, même si on fait des efforts, et l'un des deux n'arrive pas à s'y faire et se retrouve en état d'insécurité permanente. L'insécurité est un truc qui salit tout, vraiment, j'ai été des deux côtés dans cette relation (la fille qui la ressentait et celle à qui on ne faisait plus confiance) et c'est pourri pour tout le monde.
On a persisté un an et demi après que les choses aient changé et j'ai fini par y mettre un terme quand l'autre n'avait même plus la conviction de me dire "si on arrête, ce sera pire". Parce que c'était le plus toxique à mes yeux : le fait qu'on se faisait très manifestement du mal mais qu'il y avait cette assurance de la part de l'autre que si on y mettait un terme, ça ne lui serait pas possible de s'en remettre. Quand on aime quelqu'un, malgré tout, on veut le protéger du pire...
Les relations toxiques peuvent aussi naître de changements de situation qui font qu'il n'est plus possible d'être aussi fusionnel qu'on l'a été, même si on fait des efforts, et l'un des deux n'arrive pas à s'y faire et se retrouve en état d'insécurité permanente. L'insécurité est un truc qui salit tout, vraiment, j'ai été des deux côtés dans cette relation (la fille qui la ressentait et celle à qui on ne faisait plus confiance) et c'est pourri pour tout le monde.
On a persisté un an et demi après que les choses aient changé et j'ai fini par y mettre un terme quand l'autre n'avait même plus la conviction de me dire "si on arrête, ce sera pire". Parce que c'était le plus toxique à mes yeux : le fait qu'on se faisait très manifestement du mal mais qu'il y avait cette assurance de la part de l'autre que si on y mettait un terme, ça ne lui serait pas possible de s'en remettre. Quand on aime quelqu'un, malgré tout, on veut le protéger du pire...
Le nombre de témoignages sur ce sujet est à la fois rassurant, mais terrifiant. Ces "personnes toxiques“ n’ont pas de cœur 
Je suis passée par cette case-là, c'était il y a longtemps maintenant. Et ce dont je me souviens, c'est de faire des pieds et des mains, être accroc (je ne sais pas comment ils font) et chercher cette tendresse, cette attention, qui était là aux premiers jours, mais qui avait disparu depuis bien longtemps. Je ne suis pas tout à fait d'accord avec @Mymy sur le fait que ces personnes ne se rendent pas compte de qu'elles font. Certaines le savent très bien, c'est juste qu'elles s'en foutent. Tu pleures devant lui ? "Oh qu'est-ce qu'elle a chialer encore?" Tu arrêtes de manger: "mais elle est vraiment nulle cette fille, si elle ne peut même pas faire des efforts" il savait, il voyait, mais il s'en foutait. C'est destructeur. C'est terrible et je ne le souhaite à personne. C'est: Fuis moi, je te suis, suis moi je te fuis. J'ai fuis. Loin, très loin. Commencé un nouveau projet. Déménagé. C'était très dur mais c’est la meilleure décision de ma vie, et comme Mymy le dit si bien, je fais un high five à mon moi du passé. Aujourd’hui je suis très heureuse, et je souhaite à toutes celles qui sont en plein dedans de réussir à trouver la force de s’en défaire, de la manière que vous voulez, parlez a quelqu’un, partez, effacez-le de votre vie, suivez une thérapie, faites un stage, une activité pour rencontrer d’autres gens, mais agissez. Faites-le pour vous, parce que vous méritez d’être heureuses. 
Je suis passée par cette case-là, c'était il y a longtemps maintenant. Et ce dont je me souviens, c'est de faire des pieds et des mains, être accroc (je ne sais pas comment ils font) et chercher cette tendresse, cette attention, qui était là aux premiers jours, mais qui avait disparu depuis bien longtemps. Je ne suis pas tout à fait d'accord avec @Mymy sur le fait que ces personnes ne se rendent pas compte de qu'elles font. Certaines le savent très bien, c'est juste qu'elles s'en foutent. Tu pleures devant lui ? "Oh qu'est-ce qu'elle a chialer encore?" Tu arrêtes de manger: "mais elle est vraiment nulle cette fille, si elle ne peut même pas faire des efforts" il savait, il voyait, mais il s'en foutait. C'est destructeur. C'est terrible et je ne le souhaite à personne. C'est: Fuis moi, je te suis, suis moi je te fuis. J'ai fuis. Loin, très loin. Commencé un nouveau projet. Déménagé. C'était très dur mais c’est la meilleure décision de ma vie, et comme Mymy le dit si bien, je fais un high five à mon moi du passé. Aujourd’hui je suis très heureuse, et je souhaite à toutes celles qui sont en plein dedans de réussir à trouver la force de s’en défaire, de la manière que vous voulez, parlez a quelqu’un, partez, effacez-le de votre vie, suivez une thérapie, faites un stage, une activité pour rencontrer d’autres gens, mais agissez. Faites-le pour vous, parce que vous méritez d’être heureuses. 
Pffff le coup de point dans l'estomac.
Il y a un terme que je viens d'apprendre qui s'appelle se faire ghosté.
En gros bye bye du jour au lendemain puis plus rien, ce qui laisse l'autre dans un sentiment d'impuissance.
Je le trouve courageux ton témoignage, il est franc et je me doute que c'est pas simple d'exposer tout ça, surtout de décrire ces deux toi, une bagarreuse, l'autre dans l'attente.
Je pense que ça parlera à énormément de madmoizelle... En tout cas moi ça meee... ( ça me donne une élocution du feu de dieu comme tu peux constater ).
Tu te demande pourquoi t'a attendu... je sens peut être à tord du regret.
Moi je vais te dire, parce qu'avec le recul ça parait obvious ! Mais quand on est dedans... les relations toxiques c'est comme la dépression, ça altère tout, mais pas que ton humeur ou ta relation, ça altère ta vision du monde, au complet.
Je pense que dans ces cas là faut essayer ( fais ce que je dis pas ce que je fais ) d'être indulgent avec soi. T'a tiré des choses, bonnes et mauvaises de cette expérience et ça déjà c'est waouuu ( le vocabulaire, l'élocution... )
Et bon t'y est retourné, mais comme tu peux voir pas mal de femmes et ptet d'hommes se retrouvent dans ton témoignage donc ... bein l'erreur et humaine et on est tous des humains qui sont tombés dans le panneau.
De l'amour sur toi et encore un groooooooos BIG UP/BRAVO.
Il y a un terme que je viens d'apprendre qui s'appelle se faire ghosté.
En gros bye bye du jour au lendemain puis plus rien, ce qui laisse l'autre dans un sentiment d'impuissance.
Je le trouve courageux ton témoignage, il est franc et je me doute que c'est pas simple d'exposer tout ça, surtout de décrire ces deux toi, une bagarreuse, l'autre dans l'attente.
Je pense que ça parlera à énormément de madmoizelle... En tout cas moi ça meee... ( ça me donne une élocution du feu de dieu comme tu peux constater ).
Tu te demande pourquoi t'a attendu... je sens peut être à tord du regret.
Moi je vais te dire, parce qu'avec le recul ça parait obvious ! Mais quand on est dedans... les relations toxiques c'est comme la dépression, ça altère tout, mais pas que ton humeur ou ta relation, ça altère ta vision du monde, au complet.
Je pense que dans ces cas là faut essayer ( fais ce que je dis pas ce que je fais ) d'être indulgent avec soi. T'a tiré des choses, bonnes et mauvaises de cette expérience et ça déjà c'est waouuu ( le vocabulaire, l'élocution... )
Et bon t'y est retourné, mais comme tu peux voir pas mal de femmes et ptet d'hommes se retrouvent dans ton témoignage donc ... bein l'erreur et humaine et on est tous des humains qui sont tombés dans le panneau.
De l'amour sur toi et encore un groooooooos BIG UP/BRAVO.
MERCI.
Voila. C'est tout ce que je peux dire. J'ai vecu une relation. Tout pareil. Sauf que je n'etais même pas l'officielle, j'etais "l'autre" et je n'ai aucune idée de comment j'ai pu accepté ça.
Aujourd'hui je vais me marier avec quelqu'un qui m'aime et me traite comme une princesse. Et pourtant quand elle est revenue (parceque oui elle est revenue a ce moment la) j'ai failli tout foutre en l'air.
Je suis tellement heureuse d'avoir reussi a etre plus forte que ça, et de ^preparer ce mariage...
j'aime mais sainement, avec respect, et c'est la plus belle chose qui me soit jamais arrivée.
Et grace a toi, je me sens moins seule. Moins idiote aussi.
Merci.
Voila. C'est tout ce que je peux dire. J'ai vecu une relation. Tout pareil. Sauf que je n'etais même pas l'officielle, j'etais "l'autre" et je n'ai aucune idée de comment j'ai pu accepté ça.
Aujourd'hui je vais me marier avec quelqu'un qui m'aime et me traite comme une princesse. Et pourtant quand elle est revenue (parceque oui elle est revenue a ce moment la) j'ai failli tout foutre en l'air.
Je suis tellement heureuse d'avoir reussi a etre plus forte que ça, et de ^preparer ce mariage...
j'aime mais sainement, avec respect, et c'est la plus belle chose qui me soit jamais arrivée.
Et grace a toi, je me sens moins seule. Moins idiote aussi.
Merci.
exactement. Je me compare toujours a une junkie en manque qui réclame juste un dernier message, un dernier mot, un dernier fix...
Plus jamais ça.
Exactement. Mon ex n'était ni "vraiment" manipulateur, ni avec des problèmes, ni même malheureux... C'est juste qu'il n'avait absolument aucune empathie en général, et donc avec moi non plus.
Autant j'avais eu une relation super toxique avec un mythomane narcissique, qui lui me manipulait me mentait à dessin, profitant de notre différence d'âge et de ma relative naïveté dans mon premier couple. Et là la rupture a été plus "facile" dans le sens où quand j'ai ouvert les yeux c'était simple de lui en vouloir, de cerner qu'il était mauvais, et de le laisser derrière.
Autant mon ex le plus récent, il n'a jamais voulu ni me faire de mal, ni avoir une emprise sur moi ou sur ma vie... c'est juste que la relation s'est installée comme ça, totalement déséquilibrée, moi constamment au chevet de notre couple, lui ne voyant jamais par moi, hermétique à mes besoins et à ce que je ressentais.
Et en fait je trouve ça carrément plus dure de m'en remettre, parce que j'ai personne à blâmer, à par moi même, j'ai super peur de retomber là dedans, et même... y a une part de moi qui se demande si c'est pas à cause de se merdier que j'ai été aussi amoureuse. Je pense que dans ce type de relation, une des manières de justifier tout ce qu'on se fait subir à soi-même, et de se protéger quand on n'a pas le courage de "fuir vers le célibat", c'est d'être amoureux, de s'investir d'autant plus, de se dire que toute cette pénibilité n'est pas vaine...
@Super-triceratops 73 J'ai vécu la même chose que toi à quelques détails près ! Je suis plus âgée désormais, mais à l'époque j'avais le même âge que toi et j'étais très proche d'une fille de ma classe à tel point que j'oubliais être une personne à part entière. Je ne devais être présente que pour elle, répondre au téléphone et la rassurer quand ça n'allait pas. Je devais subir ses sauts d'humeur et ne pas lui adresser la parole quand elle était en colère. Elle se permettait de critiquer tout le monde mais tout le monde ne pouvait pas se permettre de la critiquer elle. Je ne devais pas ouvrir ma gueule si je n'étais pas d'accord avec elle et si je le faisais j'avais droit à sa bouderie toute la journée voir plus longtemps. Et puis bien sûr, presque tous mes faits et gestes étaient sous son contrôle...
Quand tu parles du fait que tu as eu des problèmes personnels et qu'elle n'était pas là pour te soutenir, je comprends tellement car j'ai vécu la même situation. Une de mes tantes se fait battre par son mari et a failli y passer, j'ai été très affectée à l'époque et quand j'ai voulu en parler à cette "amie", je n'avais tout simplement pas le droit de parler de ça car "il y a plus grave dans le vie" à savoir que pour ça part elle avait des problèmes de santé (qu'elle savait très bien gérer soit disant passant...). J'ai eu beaucoup, BEAUCOUP de mal à me détacher d'elle car elle pouvait également être gentille et agréable avec moi. Mais à un moment donné, je me suis dis stop. Ça ne pouvait plus durer, je ne vivais qu'à travers elle et je me laissais beaucoup trop influencer... Trop de choses n'allaient pas dans son comportement et ses idées (il faut savoir que cette amie avait des idées très arrêtées et très peu d'ouverture d'esprit - en gros raciste, homophobe, pro-vie etc) et je ne pouvais pas continuer ainsi.
En tout cas, je tenais à te dire que tu as été courageuse d'arrêter cette amitié, car c'est très difficile quand on est adolescente et qu'on a besoin d'avoir des ami.e.s autour de soi à cette période car ça peut être très dur... Et que perdre une amie comme ça, ce n'est pas la fin du monde. Ton raisonnement est très mature et intéressant car je n'aurai pas penser à parler des amitiés toxiques également
Quand tu parles du fait que tu as eu des problèmes personnels et qu'elle n'était pas là pour te soutenir, je comprends tellement car j'ai vécu la même situation. Une de mes tantes se fait battre par son mari et a failli y passer, j'ai été très affectée à l'époque et quand j'ai voulu en parler à cette "amie", je n'avais tout simplement pas le droit de parler de ça car "il y a plus grave dans le vie" à savoir que pour ça part elle avait des problèmes de santé (qu'elle savait très bien gérer soit disant passant...). J'ai eu beaucoup, BEAUCOUP de mal à me détacher d'elle car elle pouvait également être gentille et agréable avec moi. Mais à un moment donné, je me suis dis stop. Ça ne pouvait plus durer, je ne vivais qu'à travers elle et je me laissais beaucoup trop influencer... Trop de choses n'allaient pas dans son comportement et ses idées (il faut savoir que cette amie avait des idées très arrêtées et très peu d'ouverture d'esprit - en gros raciste, homophobe, pro-vie etc) et je ne pouvais pas continuer ainsi.
En tout cas, je tenais à te dire que tu as été courageuse d'arrêter cette amitié, car c'est très difficile quand on est adolescente et qu'on a besoin d'avoir des ami.e.s autour de soi à cette période car ça peut être très dur... Et que perdre une amie comme ça, ce n'est pas la fin du monde. Ton raisonnement est très mature et intéressant car je n'aurai pas penser à parler des amitiés toxiques également
