A
AnonymousUser
Guest
Il a dit que j'étais parfaite. Il a une copine, mais je m'en fous il a comme dit que j'étais parfaite 
OK, alors ne retenons que le fait qu'il est élève de l'école la plus proche de la mienne, genre l'école partenaire, et que du coup je nagerais en pleine illégalité en acceptant ne serait-ce qu'un café en ville avec le bout'chouGardenia;1437712 a dit :3 ans= de la bagatelle.Mais je comprends. Mon supposé petit chou a un an de moins que moi, ça va encore.
Et demain, le ptit chou, je le drague à fond. J'aurais toujours dû faire ça à son égard.
Ouverture des festivités.![]()


Bleuenn;1437810 a dit :Il me manque ce débile, quand on ne se parle pas j'ai l'impression que la vie est plus moisie... (j'aurais bien dit un truc du genre "la vie a moins de saveur" mais on n'est pas dans une pub quoi !)
Ceci dit je réfléchissais l'autre jour dans mon lit (vous savez le genre de cheminement philosophique à deux balles) et je me suis aperçue que je comptais un peu trop sur les autres pour, peut-être pas me rendre heureuse, mais donner du sens à ce que je fais moi, comme si j'existais un peu à travers ce que eux m'apportent. Alors que c'est pas du tout censé être comme ça, je dois et je veux être capable de me fournir mon carburant toute seule... C'est super confus et très naze ce que je dis haha, mais juste qu'il faut que j'arrête de croire que ce sont les autres qui vont me rendre heureuse : certes ils y contribuent grandement mais la source principale ça doit être moi. Non ? Vous en pensez quoi vous ?
Je me dis que oui, je veux un mec qui m'aime et me dise plein de jolies choses sur moi, mais je ne veux pas que ça serve juste à me rassurer. Il faut que je sache exister toute seule en fait.
(En me relisant, il est tard ok mais je dis de la merde haha. Tant pis, je me comprends. Bon bref c'était la minute "être ou ne pas être telle est la question sinusoïdale de l'anacorèthe" du jour)
