@Sélavy Loool je connaissais pas le clip de Beyoncé mais je kiffe que sa chambre d'hôtel et sa salle de bain soit tellement en bordel! On voit jamais ça dans les vidéos et c'est sur ça que je me reconnais 
Sinon niveau clip j'essayais de me souvenir d'autres clips où je me reconnais et j'arrive qu'à penser à des clips de Bollywood! Ahah grâce à toi, Divas du Dancefloor de Lorie est mon premier clip occidental dans lequel j'ai l'impression de me reconnaitre
@Dalhousie
Ce que je vais dire va peut-être paraitre un peu cliché en mode meme Facebook inspirationnel mais je le fais vraiment
Si là maintenant, mon immeuble s'écroulait sur ma tête, quels regrets je verrais défiler devant mes yeux? Et si au moment où tout devient noir on me donnait la possibilité de gagner un jour, un mois ou un an de répit, qu'est-ce que jerais? Je me suis rendue compte que j'avais une réponse pour chaque situation, et à une époque je m'efforçais de suivre les réponses "dans un an".
C'est aussi pour ça que je vous ai raconté que j'avais envie d'écrire une longue déclaration écrite à Dan ou de le rejoindre au Canada. Concrètement, c'est que je ferais si la fin du monde c'était demain ou dans un an. Et concrètement, si ça se trouve c'est vraiment demain ma fin du monde donc ce genre de questionnements me parait loin d'être stupide.
Et je trouve ça assez utile pour plein de sphères de ma vie : est-ce que j'apprécie mon job (non, je démissionnerais dans l'heure s'il me restait un an!), est-ce que je suis dans la ville que je veux (oui et non, s'il me restait un jour je voudrais être avec mes parents donc ça passe, s'il me restait un an, je pense que je partirai voyager six mois), est-ce qu'amoureusement j'ai fait ce qu'il fallait pour être heureuse (non, je partirais rejoindre Dan pour lui avouer mes sentiments s'il me restait un an) etc.
Donc quel choix tu ferais pour ta vie amoureuse s'il te restait un mois, un an, six ans avant l'apocalypse?
Moi je crois vraiment qu'il faut "se battre pour ses rêves". Je me dis que le seul moyen de ne pas paniquer sur son lit de mort c'est de se dire "j'ai fait ce que je pouvais pour être heureuse, j'ai utilisé ma vie au mieux, je ne pense pas que j'ai beaucoup à regretter".
Aussi je pense que la limite à 35 ans est un peu courte. Avoir des enfants c'est plutôt 40 ans la limite en vrai (j'ai lu une étude qui expliquait que les préjugés sur la fertilité sont faux, les femmes qui veulent leur premier enfant à 36 ans ont statistiquement plus de mal car elles sont moins fertiles de nature, beaucoup de femmes très fertiles tombent enceintes accidentellement avant cet âge et ça fait baisser la statistique etc.).
Et je sais que c'est dur parce qu'on passe un vrai pas psychologique à 30 ans mais il faut essayer de démêler ce qui est de l'ordre de la pression sociale ("je commence à être trop vieille pour me permettre d'attendre") et des véritables aspirations personnelles. Il y a pas mal de gens qui se casent à 30 ans parce l'auto-suggestion sociale leur a fait croire qu'ils avaient l'âge pour que ce soit "la bonne personne" puis le couple craque 15 ans plus tard parce qu'en vrai, non, l'âge qu'on a ne détermine pas la limite pour trouver la personne dont on doit tomber amoureux.
@diabolomangue et toutes celles qui ont l'impression d'être "celle qui n'est pas la bonne".
Le principe du hasard c'est que c'est vraiment aléatoire. Parfois une situation n'arrive jamais, parfois elle se répète dix fois, parfois elle n'arrive qu'une fois avant que ça change. Statistiquement, il faudrait avoir une bonne centaine de relations pour que vous puissiez en tirer des conclusions. Quelques relations terminées après lesquelles un mec est sortie avec une autre, ça ne révèle rien sur vous, juste que trois ou quatre fois de suite le hasard s'est répété alors que pour les filles que vous observez "après vous", le hasard a fonctionné ce coup-là (parce qu'en vrai, je suppose que vous ignorez combien d'échecs elles ont connu avant d'en arriver là).
Moi j'ai été ghostée vraiment plein de fois, et pas par un date Tinder avec qui j'ai pris un café une fois hein, par des mecs parfois importants, genre Dan. Les trois premières fois, j'ai pensé "je suis celle qu'on ghoste" mais arrivée à Dan je ne raisonnais déjà plus comme ça du tout. J'ai juste pas eu de chance et franchement, ce n'est pas à moi de me creuser la tête pour comprendre comment ils me perçoivent. Comment un mec me perçoit ne m'aidera pas dans ma vie amoureuse, c'est une attitude, un avis, pas une vérité.
Mais je comprends vos préoccupations car je l'ai pensé quand j'étais plus jeune. Maintenant, je suis juste persuadée que si je n'étais pas "la bonne" pour ces mecs, c'est aussi qu'il n'était pas "les bons" pour moi. Ils ont juste été plus rapides à s'en rendre compte.
Et puis quand j'étais plus jeune, je désespérais vraiment d'avoir un mec donc je crois que je mettais trop d'espoirs dans la moindre relation minable : j'avais l'impression d'avoir le Saint Graal et de devoir à tout prix le conserver. Je voulais connaitre le couple, même si en m'arrêtant vraiment deux minutes sur mes vraies aspirations, j'avais des rêves plus excitants que d'être avec tel ou tel mec. Alors comme je voulais absolument ce rêve d'amour de série télé, j'étais super triste quand ça finissait, je me remettais en cause.
Mais en vrai, avec le recul, c'est clair que sur la majorité des gars qui m'ont ghostée, il y en a très peu avec qui ça aurait pu fonctionner à terme. Donc même si c'était pas classe dans la manière de le faire, je pense qu'ils n'ont pas eu tort de mettre un terme à notre relation.
Par rapport à ça, je pense souvent à un couple qui a explosé dans mon entourage.

Sinon niveau clip j'essayais de me souvenir d'autres clips où je me reconnais et j'arrive qu'à penser à des clips de Bollywood! Ahah grâce à toi, Divas du Dancefloor de Lorie est mon premier clip occidental dans lequel j'ai l'impression de me reconnaitre

@Dalhousie
Ce que je vais dire va peut-être paraitre un peu cliché en mode meme Facebook inspirationnel mais je le fais vraiment

Si là maintenant, mon immeuble s'écroulait sur ma tête, quels regrets je verrais défiler devant mes yeux? Et si au moment où tout devient noir on me donnait la possibilité de gagner un jour, un mois ou un an de répit, qu'est-ce que jerais? Je me suis rendue compte que j'avais une réponse pour chaque situation, et à une époque je m'efforçais de suivre les réponses "dans un an".
C'est aussi pour ça que je vous ai raconté que j'avais envie d'écrire une longue déclaration écrite à Dan ou de le rejoindre au Canada. Concrètement, c'est que je ferais si la fin du monde c'était demain ou dans un an. Et concrètement, si ça se trouve c'est vraiment demain ma fin du monde donc ce genre de questionnements me parait loin d'être stupide.
Et je trouve ça assez utile pour plein de sphères de ma vie : est-ce que j'apprécie mon job (non, je démissionnerais dans l'heure s'il me restait un an!), est-ce que je suis dans la ville que je veux (oui et non, s'il me restait un jour je voudrais être avec mes parents donc ça passe, s'il me restait un an, je pense que je partirai voyager six mois), est-ce qu'amoureusement j'ai fait ce qu'il fallait pour être heureuse (non, je partirais rejoindre Dan pour lui avouer mes sentiments s'il me restait un an) etc.
Donc quel choix tu ferais pour ta vie amoureuse s'il te restait un mois, un an, six ans avant l'apocalypse?
Moi je crois vraiment qu'il faut "se battre pour ses rêves". Je me dis que le seul moyen de ne pas paniquer sur son lit de mort c'est de se dire "j'ai fait ce que je pouvais pour être heureuse, j'ai utilisé ma vie au mieux, je ne pense pas que j'ai beaucoup à regretter".
Aussi je pense que la limite à 35 ans est un peu courte. Avoir des enfants c'est plutôt 40 ans la limite en vrai (j'ai lu une étude qui expliquait que les préjugés sur la fertilité sont faux, les femmes qui veulent leur premier enfant à 36 ans ont statistiquement plus de mal car elles sont moins fertiles de nature, beaucoup de femmes très fertiles tombent enceintes accidentellement avant cet âge et ça fait baisser la statistique etc.).
Et je sais que c'est dur parce qu'on passe un vrai pas psychologique à 30 ans mais il faut essayer de démêler ce qui est de l'ordre de la pression sociale ("je commence à être trop vieille pour me permettre d'attendre") et des véritables aspirations personnelles. Il y a pas mal de gens qui se casent à 30 ans parce l'auto-suggestion sociale leur a fait croire qu'ils avaient l'âge pour que ce soit "la bonne personne" puis le couple craque 15 ans plus tard parce qu'en vrai, non, l'âge qu'on a ne détermine pas la limite pour trouver la personne dont on doit tomber amoureux.
@diabolomangue et toutes celles qui ont l'impression d'être "celle qui n'est pas la bonne".
Le principe du hasard c'est que c'est vraiment aléatoire. Parfois une situation n'arrive jamais, parfois elle se répète dix fois, parfois elle n'arrive qu'une fois avant que ça change. Statistiquement, il faudrait avoir une bonne centaine de relations pour que vous puissiez en tirer des conclusions. Quelques relations terminées après lesquelles un mec est sortie avec une autre, ça ne révèle rien sur vous, juste que trois ou quatre fois de suite le hasard s'est répété alors que pour les filles que vous observez "après vous", le hasard a fonctionné ce coup-là (parce qu'en vrai, je suppose que vous ignorez combien d'échecs elles ont connu avant d'en arriver là).
Moi j'ai été ghostée vraiment plein de fois, et pas par un date Tinder avec qui j'ai pris un café une fois hein, par des mecs parfois importants, genre Dan. Les trois premières fois, j'ai pensé "je suis celle qu'on ghoste" mais arrivée à Dan je ne raisonnais déjà plus comme ça du tout. J'ai juste pas eu de chance et franchement, ce n'est pas à moi de me creuser la tête pour comprendre comment ils me perçoivent. Comment un mec me perçoit ne m'aidera pas dans ma vie amoureuse, c'est une attitude, un avis, pas une vérité.
Mais je comprends vos préoccupations car je l'ai pensé quand j'étais plus jeune. Maintenant, je suis juste persuadée que si je n'étais pas "la bonne" pour ces mecs, c'est aussi qu'il n'était pas "les bons" pour moi. Ils ont juste été plus rapides à s'en rendre compte.
Et puis quand j'étais plus jeune, je désespérais vraiment d'avoir un mec donc je crois que je mettais trop d'espoirs dans la moindre relation minable : j'avais l'impression d'avoir le Saint Graal et de devoir à tout prix le conserver. Je voulais connaitre le couple, même si en m'arrêtant vraiment deux minutes sur mes vraies aspirations, j'avais des rêves plus excitants que d'être avec tel ou tel mec. Alors comme je voulais absolument ce rêve d'amour de série télé, j'étais super triste quand ça finissait, je me remettais en cause.
Mais en vrai, avec le recul, c'est clair que sur la majorité des gars qui m'ont ghostée, il y en a très peu avec qui ça aurait pu fonctionner à terme. Donc même si c'était pas classe dans la manière de le faire, je pense qu'ils n'ont pas eu tort de mettre un terme à notre relation.
Par rapport à ça, je pense souvent à un couple qui a explosé dans mon entourage.
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