Ces bouquins qui.

[ainsi-soit-je]

j'ai été troublée par "se questo è un uomo" si c'est un homme français, mais mal traduit)
et puis par mon ami frédéric, tous deux retracent l'histoire d'un juif pendant la guerre.
et puis par les marc levy aussi...

 

[lisa-loup]

je ne sais pas si je lavais déja mis, mais je ne suis pas sortie "indemne" de La mort est mon métier, de Robert Merle...

 

[AnonymousUser]

ainsi-soit-je> T'aurais traduit comment autrement, qui puisse servir de titre (c'est-à-dire un minimum percutant)

 

[oathia_nevrosa]

Le seul, l'unique : Les Hauts de Hurle-Vent. Je l'ai lu cet été, dans un contexte d'apathie cafardeuse, symbiose totale avec l'ambiance du livre donc. Ca m'a tellement touchée, cette reclusion, cette haine et cet amour mélangés. Les personnages qui sont tous héros, au fond. Et puis accessoirement l'écriture est à mon goût, je me surprends même parfois à apprendre des passages pour ne jamais les oublier . Bref The livre.
Et puis récemment, j'ai lu "Rien de grave" de Justine Levy, et il m'a assez retournée ce bouquin. Sûrement parce que j'avais des questions sur le " Moi " jusqu'alors irrésolues, et avec ce ptit bouquin en apparence désordonné, j'ai obtenu des réponses. Il me plait énormément par son style léger, par son écriture à fleur de peau.
Un livre authentique, donc forcément réussi.

 

[Evenstar]

Un élève doué de Stephen King

 

[Lamina]

Cyrano de bergerac ( purée le seul classique qui ma tirer des larmes )
Le meilleur des mondes d'aldous huxley cil est whou hou
Puis le parfum , tout simplement "magique ? "

 

[Callirhoé]

Quelques uns, en vrac.

Un des plus importants, La mort est mon métier, de Robert Merle.
J'avais douze ans, j'ai pris mon vélo et je suis partie à l'école, de Sabine Dardenne. D'autant plus que j'habite à 5km de l'endroit où elle était enfermée, et que tout a été chamboulé.
La cicatrice, de Bruce Lowery.
Le passeur, de Lois Lowry, à l'époque.
Oh, Boy! de Marie-Aude Murail.

 

[Lamina]

Contente de voir que je ne suis pas la seul a avoir Oh Boy comme livre qui a toucher ( mon livre préferer inavouable lol ) , mais purée ce Simon .
Puis c'est vrai que huit clos ( pas besoin de gille l'enfer c'est les autres ) j'ai particulierement aimé ^^

 

[Amor-Amor]

J'avais essayer de lire "Le Passeur", en vain, j'étais peut-être trop jeune, faudrais que je le prenne à la bibliothèque.

Sinon, j'ai finis "Souad, Brulée vive" et, enfin, je n'ai pas de mots pour le décrire, vraiment boulversant je trouve, il m'a donné de gros frissons...

 

[about-a-girl]

Tous ceux d'Olivier Adam. Et Ensemble c'est tout d'Anna Gavalda. Et La Nostalgie de l'Ange aussi (fiouh je sais plus l'auteur). Ah et Le Parfum ( 'ai pas réussi à retenir le nom lol).

 

[AnonymousUser]

Le premier qui me vient à l'esprit est Lambeaux de Charles Juliet. Il correspondait (un peu trop) à mon état d'esprit de l'époque. C'est comme s'il avait mis des mots sur ce que je ressentais. A l'époque, il m'arrivait souvent d'en relire des extraits, je crois que je pourrais en citer certains par coeur. Maintenant, plus vraiment parce que j'ai changé. Ces mots ne me touchent plus comme avant, mon malaise s'est attenué (ou alors il ne s'exprime plus de la même manière).

Dans une moindre mesure:
Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley. D'autant plus que j'ai un esprit très "scientifique". Il m'a fait prendre conscience des notions d'ethiques et de droit en tant qu'être humain (pour moi, avant, c'était des vagues débats...).
Les Trois médecins de Martin Winckler, ainsi que La Maladie de Sachs. C'est surement du à mes études mais je m'y retrouve énormement.
Montserrat d'Emmanuel Roblès. Une pièce de théâtre courte mais qui fait vraiment reflechir. D'ailleurs, je trouve qu'on en apprend beaucoup sur les gens quand on discute de ce livre avec eux.
Le Rouge et le noir de Stendhal. Le personnage de Mathilde me parle beaucoup.

Il y en a d'autres que j'ai beaucoup aimé, que je considère même comme des chefs d'oeuvres mais je peux dire que ceux-là m'ont littéralement transformé.

 

[Méandre]

Je penses que la plus grande partie des livres que j'ai lus m'ont changée, même dans une proportion infime, et ont fait de moi ce que je suis aujourd'hui.

*Tous les Bernard Werber, à chaque fois que je referme un de ses livre, ça me pousse à réfléchir à me questionner sur le sens de la vie ou du monde principalement avec Les Thanatonautes. Beaucoup disent que c'est de la littérature de bazard mais moi j'adore. En plus, je crois que c'est grace a ses livres que j'apprécie autant la philosophie.

*L'asseomoir de Zola, qui m'a fait comprendre que cet écrivain n'était pas du tout celui qu'on m'avait décrit. Tout le monde m'avait dit qu'il écrivait les livres les plus chiants qui ont jamais existé et ce livre m'a scotché. Depuis, c'est mon auteur classique préféré.

*Le rouge et le noir de Stendhal, qui m'a fait comprendre à quelle point la littérature classique pouvait être belle et que dans ce genre, il ne faut as s'arrêter à ce qu'on lit en cours.

*La plaisanterie de Kundera, véritable base de reflexion pour réfléchir sur ce qu'à été le régime politique sur l'URSS

Bon et puis je vais m'arrêter la parce que plus j'avance, plus y'en à qui me viennent à l'esprit, Crimes et chatiments de Dostoïevski, Le lion de Kessel, Hell de Lolita Pille, le livres de Beigdeber, Ensemble c'est tout d'Anna Gavalda,...


En fait, je me rends compte que ces livre, pour la plupart d'entre eux, plus que d'être marquant en soit, on plutôt marqués des ournants dans ma vision de la littérature...