Bilan de juin (et fin mai) :
6 livres lus, 5 de casés dans le challenge :
12. Un livre d'un.e auteur.ice francophone mais pas français.e > Derrière la haine, Barbara Abel (autrice belge)
27. Un livre dont le titre comporte un seul mot > Falaises, Olivier Adam
39. Un livre d'un.e auteur.ice Scandinave > L’embellie, Auður Ava Ólafsdóttir
6 livres lus, 5 de casés dans le challenge :
12. Un livre d'un.e auteur.ice francophone mais pas français.e > Derrière la haine, Barbara Abel (autrice belge)
Je n'avais pas vu avant de le lire qu'il était classé "thriller" et il faut dire que cet aspect ne se dévoile vraiment que dans le dernier quart du livre, je dirais. Du coup, je m'attendais à autre chose, mais ça reste sympa. Résumé : "Ce qui sépare l'amitié de la haine ? Parfois, une simple haie de jardin... D'un côté, il y a Tiphaine et Sylvain ; de l'autre, il y a Laetitia et David. Deux couples voisins et amis, ayant chacun un enfant du même âge. Deux couples fusionnels et solidaires qui vivent côte à côte dans une harmonie parfaite. Jusqu'au jour du drame. Un tragique accident fait voler en éclats leur entente idyllique, et la cloison qui sépare leurs maisons tout comme la haie qui sépare leurs jardins ne seront pas de trop pour les protéger les uns des autres. Désormais, les seuls convives invités à la table des anciens amis s'appellent Culpabilité, Suspicion, Paranoïa et Haine..."
C'est pas le thriller du siècle et je suis pas très emballée par l'écriture, mais j'ai bien aimé. J'ai vu qu'il y avait une suite mais je pense que la fin est très bien comme ça, j'ai pas particulièrement envie de la lire.
16. Un récit fantastique > 1Q84 T2, Haruki MurakamiC'est pas le thriller du siècle et je suis pas très emballée par l'écriture, mais j'ai bien aimé. J'ai vu qu'il y avait une suite mais je pense que la fin est très bien comme ça, j'ai pas particulièrement envie de la lire.
Je crois que je vais arrêter les frais ici et ne pas lire le dernier tome. Je vais pas être tendre : le livre est remarquablement bien écrit pour un livre écrit avec la bite. Il y avait déjà des passages qui me faisaient tiquer dans le tome 1, mais je pouvais me contenter de lever les yeux au ciel et de poursuivre ma lecture, mais là c'est vraiment too much. 
27. Un livre dont le titre comporte un seul mot > Falaises, Olivier Adam
Ce serait un euphémisme de dire que ce livre ne respire pas la joie. 
Le narrateur y raconte le suicide de sa mère et la période qui l'a précédée, sa dépression. C'est… étouffant. Jusque là, c'était une lecture certes difficile, mais très juste. Et puis le narrateur raconte sa "descente aux enfers" et ça devient juste un prétexte pour être trash et parler de ses conquêtes féminines (qui sont toutes si frêles et si fragiles, OK, on a compris). Bref, du gâchis.
28. Un livre publié il y a plus de 100 ans > Les mille et une nuits (tome 1) Le narrateur y raconte le suicide de sa mère et la période qui l'a précédée, sa dépression. C'est… étouffant. Jusque là, c'était une lecture certes difficile, mais très juste. Et puis le narrateur raconte sa "descente aux enfers" et ça devient juste un prétexte pour être trash et parler de ses conquêtes féminines (qui sont toutes si frêles et si fragiles, OK, on a compris). Bref, du gâchis.
J'ai pas grand-chose à en dire à part que c'est très cool. J'en ai longtemps repoussé la lecture parce que 1) c'est un pavé, 2) j'avais peur que l'écriture me perde (souvent le cas avec les livres anciens), mais finalement ça se lit plutôt facilement. J'ai attaqué le tome 2 mais je le lis un peu plus au compte-gouttes.
39. Un livre d'un.e auteur.ice Scandinave > L’embellie, Auður Ava Ólafsdóttir
J'en avais entendu parler sur ce forum et je me souviens que la Madz en avait fait une critique très enthousiaste. Je suis peut-être un peu moins emballée, mais c'est néanmoins une lecture très sympa, et puis il suffit de m'emmener à travers les paysages désertiques islandais pour me conquérir. 
Résumé : "En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes."
C'est drôle, c'est mignon, le personnage principal est un peu décalé, bref, c'était cool.
Résumé : "En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes."C'est drôle, c'est mignon, le personnage principal est un peu décalé, bref, c'était cool.
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J'ai beaucoup aimé cette lecture mais il y a un truc j'ai tiqué à chaque fois que ça revenait dans l'intrigue (souvent 
)
(j'ai pas trop le courage de faire une ptite critique pour chaque livre je pense que j'écrirai un ptit mot sur chaque à la fin du challenge, comme l'an dernier 
Je l'ai même pas fini.
Je pense qu'on peut trouver la protagoniste de L'embellie agaçante, mais j'aime autant te rassurer, RIEN à voir avec le style de l'autre qui en fait des tonnes et qui se veut drôle alors que… non. Mais en fait, je m'en doutais déjà un peu avec le titre à rallonge qui se veut absurde, j'ai systématiquement un mauvais à-priori et j'ai pas été détrompée. C'est un genre de titre qui indique "trying too hard" pour moi. 
Pour l'instant c'est un peu vide, mais j'espère rattraper ce retard très vite 
Pas le temps de lire tant que ça avec la fac 
