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Membre supprimé 364647
Guest
Vrai que par contre, la cuisson de la viande et l'odeur que ça engendre, je peux comprendre que ça gêne la copine vegan. C'est peut-être même plus pour cette raison qu'elle ne veut pas de viande chez elles, au-delà de laisser de la place dans son frigo pour en stocker ?
Au final, les possibles choses à faire varient énormément. Si Amanda tends vers un régime vegan, elle a besoin de temps mais sinon, il va falloir faire un peu de gymnastique dans sa façon de manger pour arriver à concilier son régime omni avec le régime vegan de sa copine. Néanmoins, lui conseiller de manger de la viande à l'extérieur, ben heu, non en fait, ce n'est pas le meilleur conseil pour moi, parce que je vois l'aspect financier : ça coûte plus cher de manger à l'extérieur. La viande est déjà chère en soit - je vois quand même la différence sur mon ticket de caisse quand je n'en achète pas. Donc bon, payer plus et pas forcément mieux manger, c'est un choix à faire quand on a la possibilité de l'avoir, ce choix.
Le seul moment où je tombe d'accord avec la daronne, c'est à sa conclusion : peut-être que le problème va au-delà du problème gustatif et que si les valeurs ne sont vraiment pas compatible, il faut se poser, réfléchir et en parler. (Pour tout le reste en revanche, à la relecture, je la trouve à la limite du condescendant).
Au final, les possibles choses à faire varient énormément. Si Amanda tends vers un régime vegan, elle a besoin de temps mais sinon, il va falloir faire un peu de gymnastique dans sa façon de manger pour arriver à concilier son régime omni avec le régime vegan de sa copine. Néanmoins, lui conseiller de manger de la viande à l'extérieur, ben heu, non en fait, ce n'est pas le meilleur conseil pour moi, parce que je vois l'aspect financier : ça coûte plus cher de manger à l'extérieur. La viande est déjà chère en soit - je vois quand même la différence sur mon ticket de caisse quand je n'en achète pas. Donc bon, payer plus et pas forcément mieux manger, c'est un choix à faire quand on a la possibilité de l'avoir, ce choix.
Le seul moment où je tombe d'accord avec la daronne, c'est à sa conclusion : peut-être que le problème va au-delà du problème gustatif et que si les valeurs ne sont vraiment pas compatible, il faut se poser, réfléchir et en parler. (Pour tout le reste en revanche, à la relecture, je la trouve à la limite du condescendant).
au moins ça prendra moins la place dans les cimetières. Puis utiliser ce qu’on peut pas manger comme fertilisant. Si on considère que l’humain est un animal comme les autres, eh.
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