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Un atome n'est pas chargé positivement ou négativement. Ce sont les ions qui ont une charge énergétiqueHey hey!
Je suis repartie du "truc de base" échangé lors de toute réaction chimique : des polarités (un atome ou ion qui est +, qui rencontre un autre qui est soit + soit -) ou potentiel d'action.
Je ne comprends pasEn maths, 1 + 1 = 2. Plus précisément, 1 objet + 1 objet = 2 objets. (objet = morceau de matière concrète et solide que l'on peut observer).
Je remplace conceptuellement le 1 mathématique par le +, pour voir ce qui se passe lorsque 2 "trucs positifs" se rencontrent.
En "potentiels d'action", un + et un autre +, ça ne fait pas "2 +" (le truc final est toujours "juste positif") : ça fait toujours + (mais un + "un peu + puissant" puisqu'il reste tout de même la somme, l'assemblage de 2 éléments dits positifs).
Pour la chimie, tu parle de deux potentiels + qui donnent un autre + qui n'est pas forcément égal à la somme mais qui est plus important. Ce n'est pas forcément vrai : parfois la transformation coute de l'energie ce qui fait que l'assemblage de deux elements est moins energetique que les deux séparément.
Pourquoi ton 1 représente le + ?Donc si on revient aux maths, si le 1 représente le +, mon 1 + 1 = 2 n'est pas tout à fait cohérent avec un + + qui devient un "gros +". (un peu comme si au lieu d'additionner des pommes en tant que pommes, je disais : 1 pomme + 1 pomme = de la compote. Ma compote ne correspond à rien d'un 2, il correspond plutôt à un "nouveau 1 qui est le mélange des deux premiers, mais différents aussi des deux premiers : c'est une soupe de pommes, et non "des pommes").
Si ça se quantifie. Je ne suis pas chimiste mais le potentiel énergétique des ions se quantifie, c'est sur et certain.Concrètement, ça veut dire que "si on additionne un millier de 1", en maths ça fait mille, mais quand on regarde les potentiels d'action, "1000 + ça fait toujours du +". ça ne se quantifie pas vraiment de cette façon en fait. (tout comme 1000 pommes me donner "1 compote" : une grosse compote, mais n'empêche l'objet final c'est la compote, pas les 1000 pommes - enfin on peut le voir comme ça en tout cas).
ça dépend ton environnement d'étude. Quand tu multiplie deux nombres négatifs ça donne en effet un nombre positif mais il me semble que si tu mets un un anion en relation avec un autre anion ça ne te donne pas du tout un atome ou un cation.Inversement, le - par - redonne un "truc positif" (genre un ion négatif et un autre ion négatif qui font copains copains) : le résultat est soit "neutre" (donc pas négatif), soit "positif" (en termes d'électron ou autre, on passe à quelque chose de positif en termes de puissance ou d'intensité)
Non. Juste non désoléePuis j'ai regardé ce qui se passait dans la matière : plein de + mis côte à côte, au bout d'un certain temps (et selon certains facteurs tels que la pression, la température, la densité, la distance entre objets, etc), ça fait une fusion (qu'elle soit nucléaire, cellulaire ou autre). C'est-à-dire que d'une armée de "petit +", on passe à un mélange qui, à la fin, donne tout autre chose : un objet différent du premier, mais qui "comprend les deux" en lui-même (qu'il s'agisse d'une cellule qui se colle à une autre pour en faire une grosse, ou de deux atomes se percutant et formant un nouvel élément).
Je ne comprends pas le lien entre ton explication du paragraphe précédent avec cette affirmation.C'est de là que je tire ce truc bizarre 1 + 1 = 3.
Et là, je regarde plus précisément ce qui se passe dans la matière :
Si on a 2 objets positifs (peu importe lesquels, après c'est juste une question d'échelle, là je suis à l'échelle de l'atome), ces deux objets vont d'abord créer une relation de covalence (donc un lien entre eux, matérialisé par un échange d'énergie). En termes d'addition, pour moi on n'a pas du 1 + 1 = 2, mais plutôt : 1 + 1 --> un 3ème objet constitué des deux premiers, et reliés entre eux par un lien de covalence.
Et si ces 2 objets liés en rencontrent un troisième : On a trois points de matières qui vont se relier entre eux comme un triangle. Là c'est mon 3 de l'addition : l'objet obtenu par lien entre les 3 premiers. On a donc 3 "trucs" (je dis trucs car je n'ai pas les mots exacts, mais je parle toujours de particule de matière "de base"), qui sont eux-même reliés par chacun un lien, que j'appelle "corde" car je pense que ça correspond aux cordes de la théorie quantique.
Bon. Donc de 1 objet + qui rencontre un autre objet + qui en rencontre un 3ème, on obtient un triangle.
Et c'est là que ça devient intéressant : si un 4ème objet similaire aux autres s'approche de ce trio, il va lui aussi se relier, mais aux 3 en même temps, créant un "plan" : le triangle de base, et la "pyramide" créée par l'arrivée du 4ème point ("pyramide" entre guillemets, simplement un triangle en 3D quoi).
Donc, de mes 3 ou 4 objets "+" de base, j'obtiens un objet "entier" (relié par ses liaisons covalentes) (et c'est là que se fait la binarité "ou 3, ou 4"). D'où mes chiffres : du 1 (est appelé 1 tout objet entier non relié à un autre), on obtient soit un 3 (avec 2 objets reliés par 1 liaison covalente), soit un 4 (les 3 objets reliés au 4ème, si on compte les liens faits ça fait 6 + l'apparition d'un plan en base du triangle.). Et là, on commence à compter différemment selon que l'on compte : les "objets de base" (ceux qui au départ ne sont pas reliés aux autres, et qui ensuite s'incluent dans un nouvel objet obtenu par fusion/mélange atomique), les "liaisons covalentes" (ce que j'appelle les cordes) et un nouveau truc qui apparait : les plans.
Si je m'amuse à dessiner des atomes ainsi, et que je compte atome d'une part, covalences d'autres part, et plans d'une troisième part, ça me donne un truc en 1 . 3 . 4 :
De 1 objet initial identique aux autres, on a obtenu un objet constitué d'abord de 3 liaisons covalentes, puis le coup d'après, de 4 plans (pyramide : la base et les trois plans qui monte jusqu'aux sommets) (je différencie bien plans et cordes : les cordes bordent le plan, le plan est le "plat" situé entre les cordes).
Vous me direz : mais enfin, on ne peut pas additionner des carottes et des patates ! ça n'a aucun sens !!
Comme je suis un peu bornée et que le sens n'a aucun sens pour moi
J'ai persévéré. J'ai écrit un système de chiffre tenant compte des apparitions de "nouvelles choses à compter" lors du processus de création de la matière, ça m'a donné une série de chiffres chelou :
1 2 3 4 101 102 103 104 20 21 22 23 24 30 31 32 33 34 40 41 42 43 44 121 122 123 124 13 14 2 3 4 (et ça repart).
(je ne sais plus comment précisément j'ai obtenu ces chiffres, j'avoue je l'ai fait une fois d'instinct mais je ne pourrais pas recommencer direct, il faudrait que je reprenne le temps de détailler le raisonnement et sincèrement c'est pas aisé à comprendre, je me suis un peu arraché les cheveux et j'ai repris le truc plein de fois avant de trouver du sens).
En classant ces chiffres de 1 à 66 (donc en les numérotant chacun dans l'ordre normal des maths), et en les mettant sous forme graphique j'ai obtenu un graphe
Voir la pièce jointe 151384
J'ai rajouté la courbe de tendance (la droite qui traverse de façon horizontale en tendant légèrement vers le haut).
J'observe qu'il y a un tempo dans ce graphe : d'abord ça monte vite, puis une pause, puis une redescente (mais avec une légère augmentation par rapport à la base), puis un truc en trois temps : augmentation lente, augmentation rapide, augmentation lente, augmentation rapide, augmentation lente : puis à nouveau une augmentation rapide, une pause en haut puis ça redescend avant de repartir. On observe aussi que la courbe de tendance divise le graphe en deux : une partie en haut, les parties "hautes", et que toute la partie sous la courbe correspond à l'augmentation "lente" du graphe.
Alors personnellement, mon observation et ce que je crois, c'est que cette courbe montre l'augmentation de la racine carrée d'un chiffre, selon le nombre qu'il y a en dessous, avec d'autres facteurs, et notamment le facteur temps. Sincèrement je ne demande qu'à confronter tout ça à des gens qui s'y connaissent vraiment, je ne sais pas trop à qui m'adresser...
Pour donner un exemple de l'application de cette théorie : si on prend l'exemple de deux cellules qui fusionnent, le processus n'est pas linéaire temporellement parlant : il se passe du temps entre : le moment où les deux cellules se croisent, puis se rencontrent (se collent), puis se mélangent, avant de finalement devenir une "plus grosse cellule". Et cette plus grosse cellule va se balader un certain temps, avant d'éventuellement croiser une autre grosse cellule comme elle avec qui elle va pouvoir faire copain copain et créer encore une autre cellule encore un peu + grosse. Ce qui est important là pour moi, c'est que le temps n'est pas nécessairement proportionnel ou égal entre les différentes phases du processus, et que surtout entre l'échelle de la cellule et une échelle plus grande ou petite, encore une fois le "temps du processus" varie complètement.
Je pense que dans le graphe au dessus, ce "temps" est matérialisé par les vecteurs horizontaux, tandis que les "actions réelles" (aka les stades : cellule seule, cellule collée, cellule fusionnée, nouvelle cellule) sont matérialisées par les vecteurs verticaux.
C'est à partir de ça que je sors ma formule "Racine carré de 1 augmentée, sur un temps donné, + ou - infini". ("augmenté" puisque le 1 initial s'est transformé en un nouvel objet, plus gros). Et c'est là où cela a du sens d'utiliser le 1 en tant qu'objet complet qui "mute" en un autre objet (c'est ce qui se fait en permanence dans la matière : les objets se croisent, se mêlent ou se choquent, et autre chose en ressort. Et le temps du processus varie infiniment selon la taille de l'objet...), parce que ce nouvel objet créé est "un entier" en soi, ce n'est plus "la somme des 2 ou 3 premiers objets qui le constituent", ils sont devenus autre chose (un atome plus gros, une molécule, peu importe)..
Pour le 42 (je n'ai pas lu le voyageur intergalactique, je ne connais ce chiffre que parce qu'il y a des blagues dessus) : le 4 représente le plan (les 4 points reliés par des liaisons), le 2 représente le fait que le plan peut être vu de 2 façons : du dessous ou du dessus. Et quand on se met à observer ce qui se passe du dessus ou du dessous, puis dans la 3D de l'intérieur ou de l'extérieur, on se rend compte qu'en fait notre petite pyramide elle a non pas 4 plans, mais 8 : ses 4 plans extérieurs, (ceux qu'on voit), et ses 4 plans intérieurs (ceux qui sont dedans, qu'on peut voir si on se met à l'intérieur de la pyramide). Comme une tente : elle a ses plans externes, et ceux qu'on voit quand on est dedans. Pour une fourmi, ça change tout qu'elle soit sur un plan ou l'autre : soit elle voit le ciel et avance tranquillou, soit elle voit l'intérieur de la tente et trouve... un vieux paquet de chips par exemple enfin on s'en fout mais en tout cas si on est tout petit, ça change d'être dedans ou dehors, c'est pas le même plan!).
Je ne sais pas si ça vous éclaire un peu sur ma logique.. alors attention, évidemment on ne mélange pas les deux arithmétiques n'importe comment, mais cela permet de comprendre pas mal de choses je trouve.
Un peu comme si mon 1, c'était un humain. 1 humain + 1 humain, bon, ça fait 2 humains qui, éventuellement, se trouvent liés par un lien ("une relation"). Mais 1 humain qui se mélange à un autre humain, ça fait un bébé : 3 humains au final. Pour décrire cette réalité biologique là, les mathématiques classiques ne fonctionnent pas. Or la "racine du bébé", ce sont bien les deux parents non ? Pourquoi en maths on n'arrive pas à faire sortir le bébé des deux parents ? 1 + 1 = 3 ?... même 1 multiplié par 1, ça donne toujours 1. Comme si dans la réalité les choses ne se mélangeaient pas pour donner autre chose...
Pour l'onde sonaire (en effet, j'ai inventé le mot, je trouve qu'il sonne bien ).
Que fait une onde dans l'espace ? Elle avance.
Ma théorie, c'est que l'onde de base est une onde lumineuse (un photon en pleine course, visible uniquement si on le laisse galoper, représenté par un point dès qu'on cherche à l'arrêter.
Tant que ce photon ne rencontre rien devant lui, il continue "à la vitesse de la lumière", c'est-à-dire 300 000 000 m/s. Or ce photon va beaucoup plus vite que le son (qui ne va qu'à 340 m/s. Donc nécessaire le photon passe très rapidement le mur du son ! Et quand il "traverse" ce mur, il s'ensuit une perturbation (une vibration).
Sauf que "dans le vide" a priori il n'y a pas de matière (là je me place à un instant théorique de la naissance de l'Univers, quand il n'y avait "rien" à part ce photon tout seul - oui il faut bien partir de quelque chose), donc peu de chance que le "bruit" puisse être présent puisqu'il n'a pas de matière sur laquelle "rebondir". Mais je pense (et c'est ma théorie, donc non je n'ai rien prouvé ^^) que le photon en "brisant le mur du son" crée un impact, un "mouvement", qui ensuite va continuer à l'agiter, petit photon, qui commence à se répercuter sur lui-même encore et encore, jusqu'à ce que l'intensité lumineuse qui en découle finisse par se matérialiser en un grain de matière. Et à partir du moment où il y a grain de matière, les ondes se répercutent, créent un mouvement, on repart sur mes petits 1 qui se bousculent et POUF un nouvel atome, et on continue.
Un peu comme si on mettait conceptuellement l'univers dans une boîte et qu'on observait ce qu'il se passe quand il y a un "mur".
Bref, je sais bien que mon truc est complexe et probablement pas parfait, néanmoins je suis quasi sûre de "tenir un truc". Quand je boucle avec toutes les choses qui existent, je vous jure ça se tient !!
Je connaissais Gödel pour son théorème de l'incohérence logique (en gros, tout système logique possède une part d'incohérence), je le cite d'ailleurs dans mon travail car ça m'a vraiment fait tripper son truc ^^ (et ça m'a permis d'avancer malgré l'apparent manque de logique de certaines choses).
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