J’ai beau m’y attendre, je suis toujours surprise de constater que certains refusent absolument de prendre les faits en compte.
C’est quoi les faits ?
Le CO2 dans l’atmosphère augmente, personne ne le conteste, c’est mesuré.
On était à 275 ppm au début des années 1800, vers les 300 ppm dans les années 50, on en est à un peu plus de 400 ppm actuellement. Ce qui je le rappelle ne représente que 0,04% soit en gros 100 fois moins que la vapeur d'eau qui a le même effet de serre supposé.
Cette augmentation est forcément au moins pour partie liée à nos rejets. Pour quelle part ? on n’en sait rien. Personne ne sait décrire avec précision et de façon exhaustive comment fonctionne le cycle du carbone, quel est le bilan entre les rejets humains, le dégazage des océans, des sols, l’absorption par les plantes, le plancton, les océans … En faire un bilan certain et donc des prévisions sérieuses est impossible.
Quelles sont les conséquences de cette augmentation … de 125 ppm ?
Sur les plantes, c’est tout bénéfice et c’est factuel, c’est une certitude, augmentation de la croissance et de la résistance aux maladies et aux conditions climatiques difficiles. On est encore loin de l’optimum vers les 1000 ppm. De fait les surfaces vertes de la planète sont en augmentation.
A noter qu’en dessous de 150 ppm il n’y a plus de croissance des plantes ce qui rendrait très difficile voire impossible la vie sur terre, de façon bien plus certaine que la disparitions des abeilles. Cela aussi c’est factuel.
Valeur qu’on aurait atteinte si on avait perdu ces 125 ppm. Moi personnellement je préfère qu’on les ait gagnés !
Quel est la conséquence sur l’atmosphère ? Comme pour le cycle du carbone, il n’existe aucune description scientifique précise et exhaustive, on ne sait pas précisément comment fonctionne notre atmosphère très complexe, donc quel est l’effet exact du CO2. C’est aussi factuel.
Il y a donc des théories dont celle du GIEC qui expliquent ou pas que l’augmentation de ce CO2 provoquerait une augmentation de la température du globe.
Cette théorie du GIEC est largement critiquée et démontée par de nombreux scientifiques (ce n’est pas parce qu’on n’en parle pas dans les médias qu’ils n’existent pas). C’est aussi factuel.
Il y a deux principes fondamentaux en matière de science.
Premièrement une démonstration doit être reproductible, non contestée pour être validée. Ce n’est pas le cas pour ce que nous impose le GIEC.
Deuxièmement une théorie qui ne colle pas aux phénomènes observés est forcément fausse.
Or c’est bien le cas, c’est aussi factuel.
Les prédictions faites depuis plus de 35 ans sur les phénomènes climatiques, sur la montée des eaux, la fonte des glaces, ne se produisent pas. On observe juste des variations climatiques normales qui se sont déjà produites dans le passé.
Les évolutions de la température, même les plus faibles prévues par le GIEC sont bien au dessus de ce qu’on observe.
Internet nous permet facilement d’accéder aux informations données depuis plusieurs dizaines d’années.
Elles nous permettent de constater que les courbes de températures qu’on nous montre actuellement, bien que très inférieures aux prévisions, sont trafiquées.
Jusqu’aux années 50 il y a eu une augmentation importante des températures, c’est un fait incontestable, bien que le taux de CO2 n’ait pas bougé, c’est aussi factuel. Puis il y a eu une baisse des températures, jusqu’à faire penser à certains scientifiques qu’on allait vers une période glaciaire. Les copies d’articles de journaux le prouvent. Toujours sans variation du CO2. C’est aussi factuel.
Cette baisse de température a été effacée des courbes actuelles, c’est aussi factuel.
Le blog que j’ai cité
https://realclimatescience.com met régulièrement en évidence la distorsion entre les faits du passé et ce qu’on présente actuellement comme étant lié à un hypothétique dérèglement climatique.
Certaines on parlé ici de fausses informations. Ce blog montre clairement qui donne des fausses informations.
On peut ne pas être d’accord, par exemple en démontrant que les articles de journaux cités sont faux. Ce n’est pas le cas actuellement.
A noter aussi que des scientifiques sérieux donnent toujours des intervalles d’incertitude aux chiffres qu’il avancent. On nous donne des varations de température de 1°C au 1/10 de degré près, sans aucun chiffrage de l’incertitude. Ce n’est pas sérieux ! Qu'est qui prouve qu'on n'est pas dans le bruit de fond ?
Voilà, si vous ne voulez pas vous en tenir aux faits, c’est votre affaire, moi je ne fais que les exposer. A chacun de se faire son opinion.