Je vis sous les toits (j'ai toujours envie d'ajouter un accent circonflexe à ce mot, iconicité quand tu nous tiens!) et une nuée de pigeons élit régulièrement résidence au-dessus de ma tête. Je me réveille avec leurs roucoulements, leurs plumes se glissent sur mon parquet (en plastique), je les vois se poser de ci, de là. Quand ils décollent ou se posent, j'ai l'impression qu'un animal bien plus lourd a décidé de faire de ma maison son terrain de jeu. C'est qu'un pigeon + un pigeon + un pigeon + ... ça commence à peser, je suppose. 
Je comprends mieux les miaulements mélancoliques du chat d'un de mes voisins : difficile de faire abstraction de ces volatiles.
Il faudrait que je lise un livre sur les pigeons, histoire de mieux vivre cette cohabitation (je suis impressionnée par leurs sens de l'orientation et ils savent se servir des ronds-points, ce qui les place, sur l'échelle de l'intelligence, au-dessus de moi).
Je comprends mieux les miaulements mélancoliques du chat d'un de mes voisins : difficile de faire abstraction de ces volatiles.
Il faudrait que je lise un livre sur les pigeons, histoire de mieux vivre cette cohabitation (je suis impressionnée par leurs sens de l'orientation et ils savent se servir des ronds-points, ce qui les place, sur l'échelle de l'intelligence, au-dessus de moi).
moitié moins que ce qui était envisagé après la première réduc 
mais c'est toujours ça ! Je vais voir comment se répartit mon temps d'intervention d'ici la fin de l'année, et en fonction je chercherai un job à temps partiel en plus. (du coup, en attendant, prosecco plutôt 
).
j'étais contente de plus transpirer comme un goret, pouvoir remettre un jean sans coller dedans. MAIS NON.
quelle joie d'arriver au travail et de voir que rien est rangé, les couverts ont pas été lavés, le stock pas fait, et toi le midi tu te fais défoncer donc t'as triple dose de travail 
Je sais bien qu'elle se barre l'autre folle mais si c'est pour vraiment rien foutre autant qu'elle se barre maintenant...
