ECM II : En ce moment, oui, là, maintenant, tout de suite, dis-nous tout !

[Mimi Pinkerton]

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[CutaPica]

@Mimi Pinkerton : J'utilise le mot que tu as utilisé parce que j'ai eu la flemme d'en trouver un autre, et ce mot à sa connotation en dehors de ma volonté Perso je dis jamais victime parce que je déteste personnellement ce terme qui sous-entend faiblesse, ect... et que j'ai un problème pleinement assumé et en cours de travail sur la faiblesse, aussi bien la mienne que celle des autres Le plus souvent je pense "personne pas encore prête" c'est assez vaste et libre pour pas mal de situation. Pas encore prête pour oser, pas encore prête pour ouvrir les yeux, pas encore prête pour faire un choix, pas encore prête pour le petit-déjeuner

Si victime est un fait qui ne définit rien, alors il est ni positif ou négatif ? J'ai du mal à saisir ta dernière phrase et je veux bien une reformulation s'il te plait Tu m'as un peu perdue.

 

[Kahanounet]

Y a eu un gros orage pendant que je dormais et ma box a grillé sincèrement j'avais pas besoin de ça en ce moment.
bref j'ai pris RDV en boutique on verra ce qu'on peut faire.

 

[CutaPica]

J'ai le cerveau qui fonctionne à deux à l'heure ce matin, merci la salvia.d de la veille

Allez, je vais enclencher le mode tolérance maximal et avancer. Si je réussis ce que j'ai prévu c'est cool, sinon j'aurai eu la satisfaction d'avoir essayé

 

[RainyMood]

Etre en été caniculaire et avoir ses règles….

 

[TheMadTink]

@CutaPica
Il ne s'agit pas forcément d'être prêt.e à oser/faire/partir ou pas. On peut avoir des contraintes qui nous empêche d'avancer et auxquelles on ne peut rien. Par exemple, j'aimerais bien "sortir de ma zone de confort" et vivre du métier pour lequel j'ai fait des études mais : le bassin d'emplois principal c'est Paris, hors Paris c'est cher, hors ce job ne paie pas. Donc "oser" pour moi ça veut dire vivre toute ma vie chez mes parents. Et je n'ai pas envie de ça. Donc je suis coincé et rien dans cette situation n'est en lien avec le fait que je ne suis pas prête ou je sais pas quoi : ce sont les contraintes économiques existantes qui me sont imposées.

En disant "tu n'es juste pas encore prête" tu sous entends qu'un jour la personne le sera, mais c'est faux.

Edit : personnellement c'est un état de fait que j'ai accepté, j'y peut pas grand chose et je m'épanouie ailleurs. N'empêche que j'ai toujours une petite pointe de regret.

 

[Membre supprimé 342939]

ok donc je pleure depuis 1h...
Je peux pas aller travailler, je veux plus y remettre les pieds .
mon dos me fait mal, ma cheville que j'ai cassé l'an dernier me lance aussi.
Aucun médecin ne peut me prendre ce matin, le seul m'accepte a 11h45 sauf que je suis censée être au boulot a 10h.
Donc je sais pas quoi faire...

 

[Maline]

ok donc je pleure depuis 1h...
Je peux pas aller travailler, je veux plus y remettre les pieds .
mon dos me fait mal, ma cheville que j'ai cassé l'an dernier me lance aussi.
Aucun médecin ne peut me prendre ce matin, le seul m'accepte a 11h45 sauf que je suis censée être au boulot a 10h.
Donc je sais pas quoi faire...

Déja un calin .

Tu peux appeler ton travail pour leur dire que tu ne te sens pas bien et que tu ne viendras pas et ensuite aller chez le médecin plus tard. Ensuite tu pourras leur poster ton arrêt de travail.

Prends soin de toi, c'est ce qui compte.

 

[CutaPica]

@TheMadTink : C'est écrit nul part que c'est facile/confortable comme cheminement... ou que c'est totalement impossible

J'aborderai pas mon cas en détail parce que c'est MON cas, mais je confirme que tout n'a pas été rose/facile à faire, que j'ai raté des trucs, recommencé, raté, ragé, essayé de trouver une, deux, trois, variantes, trouvé, douté, ragé contre ma couardise et le monde (mais ma couardise d'abord plus facile à faire changer que le monde ) et mis à l'épreuve et validé enfin
Alors oui, on peut me dire "C'est facile, t'as que ça à foutre" Bah oui, j'ai fait le choix d'accepter pleinement de ne pas travailler (je veux hein, mais je sais me proposer, pas m'embaucher ), j'ai adapté milles trucs par rapport à mon ancienne vie lyonnaise (bordel, je la kiffais tellement et j'ai pas encore fini d'en faire le deuil ). Il y a des trucs que j'ai pu/du lâcher pour avancer et des trucs où je bataille pour le conserver (ex, poser. Or pour poser je dois me déplacer en train depuis un village perdu dans la pampa. Je pose gratis, je paye le train/bus/blablacar, donc je pose "à perte" mais je rentre de shooting avec assez d'adrénaline et de good vibes qu'une usine de sucre pétillant et une pince de talc en comparaison.

En disant "tu n'es juste pas encore prête" tu sous entends qu'un jour la personne le sera, mais c'est faux.

C'est comme une perruche, je vois un oiseau avec des ailes, je me dis "Il peut voler". Peut-être qu'il a une aile cassée ou pas envie ou que sais-je qui fait qu'il ne va pas voler. Je me contente de le dire/penser, je n'ordonne/attends pas qu'il le fasse, c'est son affaire après tout. Je ne gagne rien à ce qu'il vole ou pas... ou à ce que la personne soit prête ou pas C'est à elle d'en décider.

 

[Membre supprimé 342939]

@Angata le seul truc c'est que mon boss est rarement là il a un autre resto, et si j'appelle mon boulot ça sera ma collègue qui me hurle dessus qui va me répondre...si je me mets en arrêt elle va encore plus me faire la misère

 

[enid]

Je ne passe plus trop, car je ne bosse plus beaucoup, et comme je me connect que quand je suis au bureau.. en plus dès que je suis au bureau je bosse pour assurer la relève pour ma remplacante.

Mais là ca ce calme et je suis fatiguée donc je prends encore plus de temps

 

[Mimi Pinkerton]

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