Mais n'empêche, le mariage c'est pas un truc qui se décide à la va vite, ça serait quand même normal que ça soit un truc qu'on discute en profondeur à DEUX, j'sais pas moi c'est quand même un peu engageant comme truc.
C'est aussi la vision que j'avais des choses. Du coup quand mon copain m'a demandée en mariage sans qu'on en ai jamais parlé avant je n'ai absolument pas compris du tout. Déjà je ne savais plus que ça se faisais encore, et puis je ne suis pas très romantique et il le sait donc je ne comprenais pas pourquoi il me faisais ça. Après discussion il m'avait dit que pour lui c'était juste une façon de savoir si j'étais pour ou contre
Mais quoiqu'il en soit pendant un moment c'a été assez dur pour moi car même si j'ai dit oui quelques mois après, j'avais l'impression que ça m'avait coupé dans mon évolution et ma réflexion par rapport au sujet, que je n'avais pas forcément eu le temps de faire l'idée totalement mienne et naturelle.A quel moment dit-elle que se faire jolie/mettre des talons/du maquillage c'est pas féministe ? Je comprends pas trop le problème avec ce qu'elle raconte. Vu qu'au aucun moment elle dit que mettre des talons c'est antiféministe... je vois pas où elle se contredit. D'ailleurs moi j'ai pas compris qu'elle dit que se faire jolie c'est pour les garçons. Elle reproche surtout le fait de se faire jolie ET de se mettre en photo (en scène donc) sur les réseaux sociaux. Y a déja une différence.
La différence c'est qu'avant une femme qui se foutait à poil en photos c'était une s***, donc critiqué. Maintenant c'est mieux accepté, vu que c'est "pour nous". Mais selon elle, y a juste le phénomène d'acceptation sociale (enfin on en est pas encore totalement là, hein...) qui a changé dans le fait de montrer son corps mais qu'au final ça reste la même chose : le corps du femme est une marchandise.
Pour moi, montrer son corps c'est pas du féminisme. De la même manière que ne pas le montrer. Une femme qui montre son corps ne fait pas une action plus féministe que celle qui décide de garder ses habits.



http://www.leparisien.fr/societe/lo...nre-11-11-2018-7940136.php#xtor=AD-1481423552


Il faut croire que le ridicule pose moins de problème que de ne pas avoir un prénom qui correspond à son genre du point de vue stéréotypée de cette procureure 


HS mais ça me fait penser à une conversation sur un forum de profs: un collègue parlait d'un.e élève demandant à être appelé.e par un prénom d'un autre genre, et un autre posteur ( prof de philo du genre ultra pédant) sort@Maud Kennedy
Il faudrait surtout pas que les garçons pensent que ce sont des filles ou que les filles pensent qu'elles sont des garçons ! Ils vont devenir homosexuels, ou pire ! Transsexuels !!!LE DECADEEEeeeeEEEEeeeEeEeCE !!!
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