Bonsoir,
En lisant quelques messages ici et là sur ce site, j'ai vu que les conversations autour du sujet de l'estime de soi, confiance en soi, timidité et autres, revenaient souvent. Je comptais poster un message dans le topic psychologie (ce que je ferai) donnant quelques pistes/idées/conseils pour aider, mais je vais en poster un résumé plus court ici puisque le thème à été abordé. (Par exemple @Cyanea ) J'espère que ça pourra aider.
Je pense qu'il faut différencier deux façons de se libérer et/ou d'améliorer ce problème . La première façon, la plus courante mais imcomplète et souvent superficielle, est la voie de l'estime de soi. C'est plus une 'amélioration' du problème qu'une résolution/libération.
Dans l'estime de soi, ce qui compte c'est l'opinion de soi même, c'est à dire les pensées, jugements, croyances, représentations (proche ou non de la réalité) que l'on se fait de soi, de ses pensées, de ses actes et paroles, de son corps y compris de son passé.
Donc pour avoir une bonne estime de soi, il faut donc juger/ou être juger bon, beau, bien, conforme à la norme extérieure et intérieure (norme intégrée psychologiquement dont parfois on ne se rend compte totalement ni de cette norme ni qu'elle nous à été plus ou moins imposée). C'est à dire, que donc notre état est dépendant de choses qui ne dépendent pas de nous, qui sont changeantes, très souvent complètement arbitraires et subjectives, donc non en rapport avec le réel (les modes par exemples). C'est donc la voie royale pour être insatisfait. Le 'bien-être', je n'utilise pas intentionnellement le mot bonheur ici, est donc complétement dépendant de 'l'échec ou de la réussite', en tout cas selon l'opinion générale, parfois y compris lorsqu'il n'y a pas d'échec. il dépend des pensées dont on va essayer de se convaincre, de se répéter en boucle, quelles soient vraient ou fausse, ainsi que des actions que l'on va faire ou que l'on a fait. Bien être très fragile, se basant sur rien de très sain et sur.
Viens ensuite la seconde voie, l'acceptation de soi. Voie empruntée beaucoup plus rarement, elle est pourtant bien meilleur, puisqu'elle seule permet de se libérer, de résoudre ce problème puisque allant à la source même. Elle est nottament très bien connue des sages, queqlues soient leurs religions et même non religions.
L'acceptation de soi, c'est l'amour inconditionnel, le respect de soi (corps, pensées, actes...). C'est à dire de non jugement de soi. Ce n'est pas du laxisme, le fait d'ignorer les 'défauts' et les erreurs, mais de comprendre que l'on est autre que cela, plus que cela et que même si l'on était que cela, on pourrait être en paix avec. Le problème est que l'on recherche l'approbation, l'attention des autres, parce que depuis longtemps on croit que c'est cela qui rend heureux, que tout dépend d'eux et qu'il faille absolument être comme ils le jugent, même et souvent, lorsque'ils ont tort sur nous ou sur d'autres 'normes'. Rien n'empèchera ensuite de changer ce que l'on veux changer, mais on change toujours mieux lorsque l'on s'est d'abord accepter (non pas résigner dans l'erreur), c'est à dire que l'on ne réduise ni sa personne à certaines actions, ni que l'on se tourmente à cause d'elles et que l'on ne se laisse pas emporter par les jugements, que l'on peut ensuite s'améliorer sereinement.
On s'accepte en permettant d'être tel que l'on est, en se donnant le droit, en comprenant que l'on a ce droit (qu'il est innée si l'on peut dire) c'est à dire sans comparer de façon néfaste ce que l'on est/fait/dit actuellement avec que l'on voudrait ou qu'il faudrait que l'on soi. Encore une fois cela ne veut pas dire que l'on arrete la remise en question saine. La souffrance provient de la non acceptation de ce qui est, du rajout des pensées de refus et de négativité sur la réalité.
L'estime de soi dépend de chose externes et internes, pensées de soi et des autres pas toujours controlables ni vraient (en tout cas si l'on suit certains normes 'malsaines'). Utiles mais imcomplet.
L'acceptation de soi ne dépend pas des pensées (ni des actions, ni des pensées concerant ses actions). Il est indépendant, donc stable et durable, et il se base sur la réalité et notre droit et 'besoin' et droit à l'acceptation et à l'amour qui que l'on soit, quoique l'on fasse. Il est donc plus profond, inconditionnel et juste.
J'ai enormément résumé, ce qui fait que tout n'est peut-être pas expliqué en profondeur, mais j'espère que cela pourra au moins donner quelques idées.
En lisant quelques messages ici et là sur ce site, j'ai vu que les conversations autour du sujet de l'estime de soi, confiance en soi, timidité et autres, revenaient souvent. Je comptais poster un message dans le topic psychologie (ce que je ferai) donnant quelques pistes/idées/conseils pour aider, mais je vais en poster un résumé plus court ici puisque le thème à été abordé. (Par exemple @Cyanea ) J'espère que ça pourra aider.
Je pense qu'il faut différencier deux façons de se libérer et/ou d'améliorer ce problème . La première façon, la plus courante mais imcomplète et souvent superficielle, est la voie de l'estime de soi. C'est plus une 'amélioration' du problème qu'une résolution/libération.
Dans l'estime de soi, ce qui compte c'est l'opinion de soi même, c'est à dire les pensées, jugements, croyances, représentations (proche ou non de la réalité) que l'on se fait de soi, de ses pensées, de ses actes et paroles, de son corps y compris de son passé.
Donc pour avoir une bonne estime de soi, il faut donc juger/ou être juger bon, beau, bien, conforme à la norme extérieure et intérieure (norme intégrée psychologiquement dont parfois on ne se rend compte totalement ni de cette norme ni qu'elle nous à été plus ou moins imposée). C'est à dire, que donc notre état est dépendant de choses qui ne dépendent pas de nous, qui sont changeantes, très souvent complètement arbitraires et subjectives, donc non en rapport avec le réel (les modes par exemples). C'est donc la voie royale pour être insatisfait. Le 'bien-être', je n'utilise pas intentionnellement le mot bonheur ici, est donc complétement dépendant de 'l'échec ou de la réussite', en tout cas selon l'opinion générale, parfois y compris lorsqu'il n'y a pas d'échec. il dépend des pensées dont on va essayer de se convaincre, de se répéter en boucle, quelles soient vraient ou fausse, ainsi que des actions que l'on va faire ou que l'on a fait. Bien être très fragile, se basant sur rien de très sain et sur.
Viens ensuite la seconde voie, l'acceptation de soi. Voie empruntée beaucoup plus rarement, elle est pourtant bien meilleur, puisqu'elle seule permet de se libérer, de résoudre ce problème puisque allant à la source même. Elle est nottament très bien connue des sages, queqlues soient leurs religions et même non religions.
L'acceptation de soi, c'est l'amour inconditionnel, le respect de soi (corps, pensées, actes...). C'est à dire de non jugement de soi. Ce n'est pas du laxisme, le fait d'ignorer les 'défauts' et les erreurs, mais de comprendre que l'on est autre que cela, plus que cela et que même si l'on était que cela, on pourrait être en paix avec. Le problème est que l'on recherche l'approbation, l'attention des autres, parce que depuis longtemps on croit que c'est cela qui rend heureux, que tout dépend d'eux et qu'il faille absolument être comme ils le jugent, même et souvent, lorsque'ils ont tort sur nous ou sur d'autres 'normes'. Rien n'empèchera ensuite de changer ce que l'on veux changer, mais on change toujours mieux lorsque l'on s'est d'abord accepter (non pas résigner dans l'erreur), c'est à dire que l'on ne réduise ni sa personne à certaines actions, ni que l'on se tourmente à cause d'elles et que l'on ne se laisse pas emporter par les jugements, que l'on peut ensuite s'améliorer sereinement.
On s'accepte en permettant d'être tel que l'on est, en se donnant le droit, en comprenant que l'on a ce droit (qu'il est innée si l'on peut dire) c'est à dire sans comparer de façon néfaste ce que l'on est/fait/dit actuellement avec que l'on voudrait ou qu'il faudrait que l'on soi. Encore une fois cela ne veut pas dire que l'on arrete la remise en question saine. La souffrance provient de la non acceptation de ce qui est, du rajout des pensées de refus et de négativité sur la réalité.
L'estime de soi dépend de chose externes et internes, pensées de soi et des autres pas toujours controlables ni vraient (en tout cas si l'on suit certains normes 'malsaines'). Utiles mais imcomplet.
L'acceptation de soi ne dépend pas des pensées (ni des actions, ni des pensées concerant ses actions). Il est indépendant, donc stable et durable, et il se base sur la réalité et notre droit et 'besoin' et droit à l'acceptation et à l'amour qui que l'on soit, quoique l'on fasse. Il est donc plus profond, inconditionnel et juste.
J'ai enormément résumé, ce qui fait que tout n'est peut-être pas expliqué en profondeur, mais j'espère que cela pourra au moins donner quelques idées.