mrs-yoda;4820896 a dit :
rowenna;4820857 a dit :
Pour le coup je veux bien vos conseils. Je persévère dans ce que j'ai commencé même si ça ne me plaît pas parce que c'est raisonnable ? Ou je fais ce que je veux malgré le nombre d'années d'études qui s'allonge ?
Il y a pas moyen de faire une passerelle entre ce que tu fais et ce que tu veux faire? ( sauter la L1 par exemple ou je sais pas quoi d'autre

). Si les études ne te plaisent pas mais les débouchées oui, accroche toi! Si même l'après ne te motive pas, je considérerais un peu plus l'option de reprendre du début, même si ce sera dur parce l'envie d'indépendance, marre des études and co.
On monte notre école, on jette quelques sorts de repousse-moldu, et on participe au prochain Tournoi des trois sorciers!
Oui ou même après, c'est pas pressé, je dois d'abord retrouver tous mes bulletins scolaires pour m'inscrire sur APB.

Merciii
Il faut les bulletins scolaires pour APB ???? J'en ai aucun, enfin si, celui du dernier trimestre de terminale, les autres sont chez ma mère et elle ne voudra jamais me les donner, je suis quasi-certaine qu'elle les a tous jetés de toute façon

.
Non, justement je voulais une passerelle mais ça n'existe pas. Je suis hyper déçue c'est pas logique puisque je reste dans la même fac et dans les sciences humaines, dans les études culturelles...
En fait j'ai fait une licence d'histoire de l'art (UFR sciences historiques) et je veux faire une licence de socio culture (UFR culture). La seule chose que je puisse faire est de valider mes acquis pour ne pas me retaper les UE de méthodologie et de langues (ce qui m'arrange bien, je l'avoue). C'est
ça que je veux précisément. Après je comptais faire une L3 à Caen car c'est là qu'il y a la seule licence qui propose à la fois de la socio et de l'anthropo. Je trouve que ça me permettrait d'avoir un bagage intéressant et assez complet : l'histoire, l'histoire de l'art, la sociologie, la culture contemporaine, les médias, l'anthropologie et l'ethnologie. Pour après postuler à l'EHESS ou dans un master de Bruxelles. Mon rêve serait de faire de la vulgarisation ou du journalisme culturel (mais pas la culture du genre le dernier album de Diam's est sorti).
Donc non ce n'est pas une question d'études qui ne me plaisent pas, c'est parce que l'histoire de l'art ne me forme pas pour le métier dont je rêve et ne m'apprend pas ce que je veux.
-waldorf;4820888 a dit :
@Rowenna : si tes études actuelles ne te plaisent pas, arrêtes les, ça ne sert à rien de continuer, ça ne fera que te dégouter encore plus. A ta place je me réorienterais dans quelque chose j'aime vraiment, quitte à devoir passer encore quelques années en tant qu'étudiante avec tout ce que ça implique. Mais au moins ensuite tu pourras exercer le métier que tu veux et tu seras beaucoup plus épanouie.
Merci pour ta réponse

.
Oui je vois les choses comme toi... Mais tout mon entourage me le déconseille

. En tout cas c'est un soulagement de lire ton message.
vic-odine;4820880 a dit :
@
Rowenna : ça marche
Merci beaucoup
leech;4820893 a dit :
@
Rowenna Est-ce que ce dans quoi tu souhaiterais te réorienter impliques nécessairement de faire 5 années d'études ? Peut-être y a-t-il une formation plus courte et professionnalisatante ?
Après je te dirais également de suivre ce que tu veux vraiment faire. Il faut aussi voir si financièrement parlant ça sera possible pour toi. Au delà d'un certains nombres d'années il n'est plus possible d'avoir des bourses donc ça handicape quand même pas mal.
Courage dans ton choix en tout cas
Oui parce que j'aimerais faire de la recherche ou écrire des articles, et il n'y a pas de formation professionnalisante en sciences humaines.
Pour la bourse je ne l'ai eue qu'une seule année en 4 ans d'études j'ai de la marge non ?

En plus je pourrai bosser pendant ma licence, un 25h semaine serait jouable. Pour le master je ne sais pas.
Merci pour ta réponse et ton avis

.
C'est fou quand même, quand j'en parle à mon entourage "adulte" (assistantes sociales et psy compris) c'est "ah ben nan continue l'histoire de l'art pour avoir un master, comme ça c'est bouclé, il faut aller au bout et c'est important" mais si je maintiens que c'est quelque chose que je refuse de tout mon être, de toute mes forces, j'ai carrément fait un burn-out à force de me forcer à faire ce qui ne me plaît pas, de me brider.
Mais quand j'en parle à des gens de ma génération le discours est tout autre et je me sens vachement rassurée, je n'ai plus cette image de petite fille qui ne sait pas ce qu'elle veut, égoïste qu'on me balance à la figure.