Espace de discussion et de compréhension CF-parents et parents-CF

15 Août 2023
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@Destiel Mok´

Je suis d’accord avec la phrase de Marguerite Duras mais je ne pense pas qu’elle l’ai dit dans le sens où je la comprends.

Je peux comprendre ce que tu veux dire mais personnellement je trouve sa phrase très violente envers les CF.

Parce qu'elle dit quand même....:

"Ce n'est pas possible de ne pas avoir d'enfants"
==> bonjour l'injonction à la reproduction... Si, c'est possible, et cela peut même être voulu. La maternité ou la paternité n'a rien d'obligatoire. Je ne vais pas imposer à quelqu'un de ne pas avoir d'enfants, je ne juge pas les parents, et je suis sincèrement heureuse quand un de mes proches m'annonce qu'iel va être parent.e. A l'inverse, j'aimerais qu'on lâche un peu les CF avec ce genre de phrases qui nous pointent du doigt pour montrer une anormalité supposé.e.

"C'est comme si on ignorait la moitié du monde, au moins" ==> là encore, il y a quelque chose de nauséabond car cela peut mener très loin. On peut aimer et comprendre les enfants, sans en avoir à soi. Le terme "ignorer" laisserait presqu'entendre qu'on méprise les enfants, qu'on ne les regarde pas, qu'on n'est pas sensible à leur sort...:rockon: C'est aussi oublier que certains parents sont maltraitants et dysfonctionnels, ou que le lien qui se crée avec "leur" enfant ne va pas forcément changer leur vision du monde ou l'attitude qu'ils ont avec les autres enfants.
 

Raccoon_Jesus

It's not you, it's me. I have standards
27 Janvier 2014
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Je crois qu'il faut avoir des enfants. Ce n'est pas possible de ne pas avoir d'enfants, c'est comme si on ignorait la moitié du monde, au moins
Partie verte : Là, je ne suis pas d'accord. Si Marguerite Duras parlait seulement d'elle, elle aurait tourné la phrase autrement.

Partie bleue : on ne va pas chipoter pour savoir si on loupe la moitié du monde ou 60% ou le tiers mais oui, je suis d'accord. On ignore une partie du monde (de la vie) quand on est CF tout comme on en ignore aussi une autre quand on est parents. Beaucoup de nos choix ou de nos modes de vie nous font ignorer une partie du monde (de la vie).
C'est comme ça et c'est inévitable. Quand on ouvre une porte, il arrive qu'on en ferme une autre, parfois indéfiniment ou parfois non et si c'est ce dernier cas, ça peut être trop tard pour des choses.
 
5 Avril 2012
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Marseille
Alors par contre, l’idée qu’en étant CF on découvre une moitié du monde inaccessible aux parents, j’ai un peu de mal à comprendre.
Enfin je vois bien le propos théorique, et je veux bien qu’il y ait des gens qui font des trucs de fifous, une vie d’aventures infaisables avec des enfants, tout ça.
Mais enfin l’extrême majorité des gens autour de moi qui n’ont pas d’enfants, ils continuent juste de faire pareil qu’avant :shifty:
(Alors je dis toooout de suite que je ne trouve pas ça nul / sans intérêt / ou je ne sais quoi de négatif, mais rien d’inédit qui justifie une telle expression:shifty:)
 

Kettricken

Hate is always foolish. Love is always wise
13 Avril 2011
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@Trouscaillon quand mon fils avait 18 mois, et que donc on était très loin d'avoir des nuits complètes, il y a des soirs où j'allais dormir en espérant que ça serait une se réveillerait et où je devrais le garder 2h à bras pour le rendormir (il a fait des insomnies de 2-3h au milieu de nuit entre ses 1 ans et 2 ans et demi. Pas tous les soirs, dieu merci. A 2 ans ça n'était que 8
20% des nuits. Tout ça pour repartir sur des réveils de 5min toutes les heures à ses 3 ans) parce que sinon il me manquerait :shifty:
J'avais totalement conscience que c'était une sorte de syndrome de Stockholm, peut-être manière d'accepter la situation, mais ça n'était pas moi ce que je ressentais.
D'ailleurs, la poignée de dernière fois où c'est arrivé, j'ai pris systématiquement une photo en me disant que c'était peut-être la dernière fois. Et qu'un jour ça me manquerait peut-être.
 
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Réactions : Myrtille Desbois

Kettricken

Hate is always foolish. Love is always wise
13 Avril 2011
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@Théodora- je crois que ça ça dépend aussi pas mal de l'âge auquel tu as tes enfants. Je suis tombé enceinte quand j'avais 35 ans, j'avais déjà eu l'occasion de faire plein de choses de ma vie, que je n'ai pas fait pour la plupart
Par contre, comme je le disais plus haut, je crois qu'une chose qu'on expérimente pas quand on devient pas c'est comment notre relation avec notre partenaire évolue lorsqu'on fait le choix de poursuivre la vie simplement tous les deux ensemble.
Ainsi peut-être que d'autres aspects non matériels de vie qui changent quand on fait ce choix conscient, et que je ne peux pas imaginer puisque ce n'est pas le choix que j'ai fait
 
7 Septembre 2011
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Paris
@Théodora- je dirais que le simple fait de ne pas avoir à penser à quelqu'un d'autre en permanence, c'est un monde que je ne connais pas. Mon esprit sera toujours "encombré par eux", il faudra toujours que je les considère comme une priorité même sur certains trucs qui sont particulièrement vitaux pour moi. Parce qu'ils n'ont pas demandé à être là, et que je leur dois de les mettre en premier (et cette idée me convient, c'est simplement factuel).

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Par ailleurs, je pense que supposer que les CF font la même chose que nous quand on n'avait pas encore d'enfants, c'est oublier la variable temps qui passe. Le fait de ne pas vouloir d'enfant, ce n'est pas quelque chose qui empêche de murir. Ce qu'on faisait quand on ne les avait pas, ce ne sont plus des choses que l'on fera forcément 10 ans plus tard. Objectivement, je vois des amis sans enfants faire des choses que la jeunesse ne m'aurait pas permis de faire avant, et que je ne peux pas faire aujourd'hui, alors que j'ai des enfants.

Les enfants, c'est pas un truc en plus dans un monde unique, c'est un univers un peu parallèle.

@Trouscaillon mais tellement, mais c'est pire puisqu'on y va volontairement dès le départ. Au point que même si je refuse de croire à l'instinct maternel, des fois tu te demandes quand même par quel truchement magique, tu peux les adorer à ce point, même quand ils te cassent les pieds, et la sensation que tu as quand tu leur fais des câlins, ça sort d'où ça. C'est très égotique comme truc.
 
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5 Avril 2012
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Marseille
@Destiel Mok´
Je comprends que le fait de ne pas avoir d’enfant, ça permet de d’explorer plus loin certains aspects, mais :

1/ Tu sais ce qu’est « ne penser qu’à toi », tu l’as fait avant d’avoir des enfants. Enfin personnellement, c’est ce que j’ai vécu jusqu’à 30 ans. Si je poussais le bouchon, je dirais même que c’est de passer sur un autre mode qui m’a permis de conscientiser cette liberté passée. Je ne me rendais pas compte d’à quel point je faisais ce que je veux et d’à quel point je n’avais que moi à penser. Je le savais, mais je ne ressentais pas autant cette liberté que je la ressens aujourd’hui (ne serait-ce que quand je fais un voyage en train seule, 2h de TGV sans enfants je plane d’allégresse et je savoure chaque minute en mode extatique:yawn:). D’ailleurs je me souviens des « déjà parents » qui me disaient plus jeune de « profiter de ma liberté », de ne pas faire trop vite d’enfants… A la fois je comprenais intellectuellement ce qu’ils voulaient dire, et en même temps ça n’est qu’en perdant cette liberté que j’ai mesuré ce qu’elle signifiait.
Donc je dirais que non seulement, j’ai la sensation que de n’avoir la responsabilité que de soi n’est pas du tout une chose qui m’est inconnue, mais en plus que je le mesure mieux encore que si je n’avais jamais expérimenté autre chose.
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2) Sur le temps qui passe et le fait d’utiliser autrement sa liberté quand on vieillit, ben, je vais revenir encore là-dessus, mais nos enfants ne seront pas dans nos pattes longtemps. Que la responsabilité soit à vie c’est certain, mais la charge de travail quotidienne liée aux enfants c’est quelques années. Enfin personnellement j’ai bien l’intention de retrouver de l’espace pour mes propres passions, pour voyager, explorer mes centres d’intérêt, avoir des projets personnels d’une certaine envergure d’ici une dizaine d’années et y aller crescendo ensuite :shifty:
Alors clairement, quand on est CF et qu’on ne connait pas cette « pause » de nos activités persos au milieu de la vie, on peut aller plus loin, mais de là à dire que c’est un monde qu’on ne connaitra jamais, je ne suis pas du tout d’accord, et si je me trompe ne me le dites pas j’ai trop de projets qui me font vibrer pour ma deuxième partie de vie :yawn:
 
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Réactions : Leah P. et Aesma

Kettricken

Hate is always foolish. Love is always wise
13 Avril 2011
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@Théodora- Un autre truc que je ne connaitrai jamais du fait que je ne serai jamais dans la position de quelqu'un qui SAIT qu'il n'aura jamais d'enfant (surtout quand l'âge d'en avoir est passé) : l'impression que même si la situation mondiale est très triste, je n'ai pas personnellement besoin de me tracasser de ce qui arrivera dans 70 ans

Attention, je ne dis pas que tous les CF se tapent de l'état du monde, au contraire.
Mais je suis convaincue que si je n'avais pas d'enfants, je serai moins angoissée par la situation (je l'étais moins avant d'être parent).
Et qu'avec l'âge viendrait une sorte de détachement un peu triste. Je serais désolée de l'état du monde, peut-être que je serais inquiète pour mon filleul ou mes neveux/nièces, mais je m'autoriserai à me détacher.
Toujours faire de mon mieux, mais me dire que moi j'aurais été majoritairement épargnée, et que donc je peux aussi profiter (de manière écolo, je parle pas de faire des voyages en avion ou autre) de la beauté qui reste dans le monde avant de le quitter

Je pense qu'on ne peut pas à la fois dire qu'avoir des enfants est quelque chose de si transformateur, et dire que ne pas en avoir n'impacte pas
Et je pense qu'il faut faire une énorme différence entre ne pas avoir d'enfant dans la vingtaine/trentaine, et ne pas en avoir plus tard, quand on SAIT que la fenêtre pour en avoir est fermée

Ce qu'on peut faire matériellement sans enfant, effectrivement je l'ai expérimenté une bonne partie de ma vie adulte. Et je pense sincèrement que si je n'avais pas eu d'enfant, je n'aurai pas fait les choses très différemment. La seule chose est que si j'avais enfin eu une idée de reconversion, je l'aurais peut-être suivie plus facilement. Et j'aurais peut-être pas acheté de maison.
Mazis à mon avis, la différence principale serait psychologique. Ni toi ni moi (ni la plupart des gens ici) ne savons ce que c'est d'avoir 50 ans et de ne pas avoir d'enfants. De vivre cette fin de vie pour soi sans devoir se soucier de ce que fais la génération d'après. Sans avoir cette tension que eux aussi s'en sorte.
Je ne peux que l'imaginer, mais je pense que c'est très différent
Et que peut-être aussi ça laisse plus d'espace pour d'autres choses. Peut-être plus le temps pour faire évoluer son couple si on le veut, ou d'accueillir de nouvelles personnes dans sa vie (perso, j'ai plus le temps d'ajouter de nouveaux amis)
Pouvoir aussi peut-être plus prendre son temps
J'en sais rien, j'imagine
Mais autant je sais ce que c'est d'avoir 30 ans sans enfant, autant je pense pouvoir imaginer ce que c'est d'avoir 40 ans sans enfant, autant je suis convainue que je ne sais pas ce que c'est d'en avoir 50-60 et de ne pas avoir d'enfant
 
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28 Juin 2011
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@Théodora-

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C'est un peu réducteur à mon avis de réduire l'énorme charge que sont des enfants à la période couches et biberon. Certes, les enfants grandissent, mais je pense que ça reste une charge mentale importante au long terme que de gérer des enfants (école, devoirs, rdv médicaux, activités sportives, loisirs) s'occuper de leur bien être (et les inquiétudes qui vont), gérer les complications qui peuvent survenir (maladie, accident, phases difficiles, conflits parents-enfants ou dans la fratrie) et que malgré tout même avoir des adolescents, ça prend beaucoup de temps et ça demande d'organiser en grande partie son emploi du temps autour de ses enfants. Et puis, beaucoup de jeunes partent vers l'âge de 18 ans de la maison, mais ce n'est pas forcément le cas et je pense qu'en tant que parents on n'arrête jamais de se préoccuper de ses enfants. Donc ça a clairement un impact transformateur sur sa vie personnelle, son couple et ses loisirs sur environ une vingtaine d'années, voire plus.

Je ne pense pas qu'on reprend juste sa vie où elle était une fois que les enfants sont majeurs et je peux tout à fait comprendre l'épanouissement que l'on peut retirer en ayant des enfants mais ce n'est pas juste une parenthèse. Avoir des enfants changent beaucoup de dynamiques, que ce soit au niveau de des amitiés, de la vie amoureuse ou encore au niveau pro. Donc je ne comprends pas trop cette idée qu'avoir des enfants, c'est juste un à-côté. A mon avis, être parent ou être CF, ce sont des existences très différentes, et on ne pas simplement affirmer que parce qu'on n'avait pas d'enfants pendant sa vingtaine, on connaît l'expérience que c'est que d'être CF. Simplement, parce qu'en tant que CF, on évolue aussi. Ma vie de la vingtaine n'est pas la même que ma vie actuelle et je suis persuadée que ma vie sera différente également dans 10 ans. La vie de CF ce n'est pas rester bloqué dans une faille spatio-temporelle!

On ne fait pas le même usage des libertés que l'on a à 20 ans qu'à 30 ans etc. L'absence de contraintes liées aux enfants sur le long terme permet également de murir des projets, des envies que l'on avait pas forcément à 20 ans. C'est aussi plus de flexibilité pour changer de cap, notamment parce qu'on a moins de contraintes financières, avoir des enfants, dans un budget, ça fait partie des coûts incompressibles. Etre CF, ce n'est pas simplement une vie "sans" enfants mais d'autres alternatives et possibilités. Ca a d'ailleurs ma manière d'envisager les choses: je serai probablement aussi heureuse en ayant des enfants, mais je le suis aussi en étant CF, mais pour des raisons très différentes, que dans les deux cas ma vie serait très différente. Je pense que c'est aussi l'exemple de personnes CF qui sont nettement plus âgées et leur parcours de vie inspirants dans mon entourage qui m'a rassuré par rapport au discours qui est souvent tenu (et tu c'est également ce que j'ai pu lire dans tes propos) que ne pas avoir d'enfants c'est forcément faire à un vide, notamment lorsque l'on vieillit. Evidemment, ce n'est pas parce que l'on a pas d'enfants que l'on va écrire 20 livres, voyager trois fois autour du monde et parler 5 langues. Et d'ailleurs, je ne pense pas que les CF doivent prouver qu'ils ont fait bon usage de leurs temps par rapport aux parents, l'important c'est de vivre la vie qui leur plaise.

En plus, pour autant qu'on apprécie les enfants, comme dans mon cas, c'est très enrichissant indirectement que de voir les enfants de mes amis grandir, et j'ai beaucoup d'affection pour eux et j'aime beaucoup d'ailleurs les échanges que j'ai avec mes amis parents. On se comprend et je fais de mon mieux pour leur apporter du soutien quand ils en ont besoin dans leur parentalité.

Ce qui m'amène aux propos de @Kettricken je ne pense pas que ne pas avoir d'enfants empêche se se soucier des autres, de l'état de la planète, parce que sinon les parents seraient tous des écolos convaincus, ce qui est loin d'être le cas. Le détachement dont tu parles je pense plus que c'est une manière de certaines personnes de se protéger de choses sur lesquelles ils ne pensent avoir aucun impact et se sentent dépassés. On peut très bien se soucier de personnes vivant à l'autre bout du monde sans avoir de liens directs, parce que l'on est conscient de partager une humanité avec eux. Par exemple, je suis choquée de ce qui se passe à Gaza ou au Soudan, même si je en connais pas personnellement les personnes qui meurent dans ces combats. Mais je fais le choix de me renseigner, de lire et d'apprendre pour ne pas rester dans l'ignorance, dans ma bulle et j'espère ne pas perdre ceci en vieillissant! Il y a aussi également des parents qui sont très déconnectés de ce que vit notre génération actuelle. J'ai beaucoup d'amis qui ont des parents qui soient ne comprennent pas leurs difficultés dans le monde d'aujourd'hui "parce que de leur temps blablabla" ou encore ont même oublié les difficultés de la parentalité et ne comprennent pas que leurs enfants qui sont devenus parents soient fatigués etc.
 
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