Voici la participation de @Patagato
Je vais à Poudllard
(sur l'air de Aux Champs Elysées, de Joe Dassin)
J’me baladais en gare King Cross, le cœur ouvert à rien du tout
J’avais envie d’jeter des sorts à n’importe qui
N’importe qui, et te voilà, voyageant avec ton chat
Il suffisait que tu me parles pour devenir un rat
Refrain:
Je vais à Poudlard, Je vais à Poudlard
Chaque premier du mois d’septembre, c’est comme ça tous les ans,
Je suis toujours de mauvais poils quand j’vais à Poudlard.
Et un chariot, voie neuf trois quart me voilà Sur le quai de la gare
Prêt à monter sans entrain dans le train
Alors je les ai renversés, les premières années déboussolées
Et j’ai enfin réussi à m’installer
Reffrain:
Je vais à Poudlard, Je vais à Poudlard
Chaque premier du mois d’septembre, c’est comme ça tous les ans,
Je suis toujours de mauvais poils quand j’vais à Poudlard.
Dans le train, j’ai enchanté, des crapauds en araignées
Il fallait bien que je m’occupe pendant le trajet
On est arrivé presque tous entier, il fallait plus que l’superflu
Des carrosses ensorcelés, un laïus sans fin
(sur l'air de Aux Champs Elysées, de Joe Dassin)
J’me baladais en gare King Cross, le cœur ouvert à rien du tout
J’avais envie d’jeter des sorts à n’importe qui
N’importe qui, et te voilà, voyageant avec ton chat
Il suffisait que tu me parles pour devenir un rat
Refrain:
Je vais à Poudlard, Je vais à Poudlard
Chaque premier du mois d’septembre, c’est comme ça tous les ans,
Je suis toujours de mauvais poils quand j’vais à Poudlard.
Et un chariot, voie neuf trois quart me voilà Sur le quai de la gare
Prêt à monter sans entrain dans le train
Alors je les ai renversés, les premières années déboussolées
Et j’ai enfin réussi à m’installer
Reffrain:
Je vais à Poudlard, Je vais à Poudlard
Chaque premier du mois d’septembre, c’est comme ça tous les ans,
Je suis toujours de mauvais poils quand j’vais à Poudlard.
Dans le train, j’ai enchanté, des crapauds en araignées
Il fallait bien que je m’occupe pendant le trajet
On est arrivé presque tous entier, il fallait plus que l’superflu
Des carrosses ensorcelés, un laïus sans fin