Un rhume et une IVG c'est en tout point comparable?
Ce que vous ne semblez pas comprendre, c'est la mise en danger récurrente. Rappelez-nous quel est le rôle premier d'un médecin ou d'un personnel soignant autre, et envers un patient? Son approche est différente forcément de celui d'une personne "extérieure", surtout en période de travail.
Si avorter était anodin, ça se ferait tout seul avec un kit à la maison.
Il y a la partie "visible" de l'IVG mais aussi les traces moins visibles qu'elle(s) laisse(nt) sur/dans l'organisme et aux conséquences possibles lourdes, à ne pas confondre avec la pression publique liée à ce sujet sous le prétexte détourné de "mon corps, mon choix". Parce que pour ce dernier cas-là, en toute logique ne demandez jamais l'avis de personne quelle qu'elle soit concernant la santé, le corps: c'est intrusif quoi qu'il arrive.
De plus, les critiques c'est désagréable, mais que souligne-t-on le plus en général (n'importe qui dans n'importe quel spé)? Ce qui ne fonctionne pas ou mal, que ce soit du côté du doc mais aussi de la patiente afin de résoudre les problèmes.
Il y a une relation soignant-soignée à ne pas négliger et où tous les 2 ont un rôle essentiel et ne peuvent se substituer à l'autre!! Feriez-vous confiance à un professionnel qui ne vous écoute pas et se plaint, puis vous critique? Non. Eh bien c'est sensé être valable dans l'autre sens aussi. Nous sommes juste humains, et ne pas être écouté-e alors que l'on vient nous demander conseils/aides, on se sent très c*ns et c'est plutôt désagréable. Et au cumul des consultations ça devient agaçant.
Les échanges, la communication sont primordiaux: le prisme de l'IVG (ou l'objet d'une autre consultation) n'est pas vu de la même manière en tant que soignée qu'en tant que soignant-e, c'est à ne pas zapper.
Et les soignants respecteront toujours les choix du patient (s'il est autonome) et veilleront toujours à son mieux-être.
Voilà
Ce que vous ne semblez pas comprendre, c'est la mise en danger récurrente. Rappelez-nous quel est le rôle premier d'un médecin ou d'un personnel soignant autre, et envers un patient? Son approche est différente forcément de celui d'une personne "extérieure", surtout en période de travail.
Si avorter était anodin, ça se ferait tout seul avec un kit à la maison.
Il y a la partie "visible" de l'IVG mais aussi les traces moins visibles qu'elle(s) laisse(nt) sur/dans l'organisme et aux conséquences possibles lourdes, à ne pas confondre avec la pression publique liée à ce sujet sous le prétexte détourné de "mon corps, mon choix". Parce que pour ce dernier cas-là, en toute logique ne demandez jamais l'avis de personne quelle qu'elle soit concernant la santé, le corps: c'est intrusif quoi qu'il arrive.
De plus, les critiques c'est désagréable, mais que souligne-t-on le plus en général (n'importe qui dans n'importe quel spé)? Ce qui ne fonctionne pas ou mal, que ce soit du côté du doc mais aussi de la patiente afin de résoudre les problèmes.
Il y a une relation soignant-soignée à ne pas négliger et où tous les 2 ont un rôle essentiel et ne peuvent se substituer à l'autre!! Feriez-vous confiance à un professionnel qui ne vous écoute pas et se plaint, puis vous critique? Non. Eh bien c'est sensé être valable dans l'autre sens aussi. Nous sommes juste humains, et ne pas être écouté-e alors que l'on vient nous demander conseils/aides, on se sent très c*ns et c'est plutôt désagréable. Et au cumul des consultations ça devient agaçant.
Les échanges, la communication sont primordiaux: le prisme de l'IVG (ou l'objet d'une autre consultation) n'est pas vu de la même manière en tant que soignée qu'en tant que soignant-e, c'est à ne pas zapper.
Et les soignants respecteront toujours les choix du patient (s'il est autonome) et veilleront toujours à son mieux-être.
Voilà