J'aime Madmoizelle pour ce genre d'articles ! Merci pour ton témoignage, j'espère en tout cas que tu trouveras les moyens de t'épanouir sans trop subir cette fichue dépression.
Chez moi, je n'appelle pas ça une dépression, bien que je connaisse la définition et les symptômes, mais c'est une question de principe qui me permet de m'accrocher. Au fond, je sais que c'est une dépression mais je préfère croire que l'enfance que j'ai eu m'as donné une forme qui n'est pas adaptée au système dans lequel je vis, je ne rentre pas dans la boîte pour le moment.
Si je n'ai pas admis l'idée du mot "dépression", j'ai admis celle d'aller voir une psy. La aussi, par peur de regarder l'évidence, je ne dit pas "ma psy" à mon entourage mais "la Madeleine" ( petite ref à Proust, en passant).
Je ne prendrai pas de médicaments, je ne le veux pas. J'aimerai pouvoir dire que j'ai sorti la tête de l'eau à la seule force de mes bras. Parfois, le crops craque. L'angoisse , l'air qui manque, les tremblements, les plaques d'urticaire qui pointent le bout de leur nez, les vomissements et autres mésaventures nocturnes. Mais, pour en avoir déjà pris quelques mois, mon corps ne supporte pas l'état dans lequel les antidépresseurs le mette, et je voudrais régler ce problème mère /fille que je rencontre et qui concerne tellement de jeunes filles et de femmes. En plus des moments difficiles que j'ai vécu avec les hommes dans ma vie, je crois que c'est une façon de vivre que je dois trouver et non un moyen de calmer mon corps par des molécules que je ne connait pas personnellement
Je dis ça, mais j'ai deux amies qui sont sous traitement et c'est tant mieux pour elles. Notamment l'un d'elles qui a deux enfants et doit pouvoir "sauver les apparences" pour des bébés de 2 et 4 ans.c'est leurs situation, leur contexte... Comme l'une des Mad a dit, chacun est différent et aborde ces douloureuses périodes de la façon la plus adapté à leur personnalité et de l'ampleur de ses souffrances. Malheureusement, nous trouveront toujours bien plus malheureuses que nous, et les gens qui se permettent de juger les autres sur leur capacité à gérer leur émotions sont de profonds idiots.
A toutes celles qui traversent ces instant durs, je vous souhaite très bon courage !
Chez moi, je n'appelle pas ça une dépression, bien que je connaisse la définition et les symptômes, mais c'est une question de principe qui me permet de m'accrocher. Au fond, je sais que c'est une dépression mais je préfère croire que l'enfance que j'ai eu m'as donné une forme qui n'est pas adaptée au système dans lequel je vis, je ne rentre pas dans la boîte pour le moment.
Si je n'ai pas admis l'idée du mot "dépression", j'ai admis celle d'aller voir une psy. La aussi, par peur de regarder l'évidence, je ne dit pas "ma psy" à mon entourage mais "la Madeleine" ( petite ref à Proust, en passant).
Je ne prendrai pas de médicaments, je ne le veux pas. J'aimerai pouvoir dire que j'ai sorti la tête de l'eau à la seule force de mes bras. Parfois, le crops craque. L'angoisse , l'air qui manque, les tremblements, les plaques d'urticaire qui pointent le bout de leur nez, les vomissements et autres mésaventures nocturnes. Mais, pour en avoir déjà pris quelques mois, mon corps ne supporte pas l'état dans lequel les antidépresseurs le mette, et je voudrais régler ce problème mère /fille que je rencontre et qui concerne tellement de jeunes filles et de femmes. En plus des moments difficiles que j'ai vécu avec les hommes dans ma vie, je crois que c'est une façon de vivre que je dois trouver et non un moyen de calmer mon corps par des molécules que je ne connait pas personnellement
Je dis ça, mais j'ai deux amies qui sont sous traitement et c'est tant mieux pour elles. Notamment l'un d'elles qui a deux enfants et doit pouvoir "sauver les apparences" pour des bébés de 2 et 4 ans.c'est leurs situation, leur contexte... Comme l'une des Mad a dit, chacun est différent et aborde ces douloureuses périodes de la façon la plus adapté à leur personnalité et de l'ampleur de ses souffrances. Malheureusement, nous trouveront toujours bien plus malheureuses que nous, et les gens qui se permettent de juger les autres sur leur capacité à gérer leur émotions sont de profonds idiots.
A toutes celles qui traversent ces instant durs, je vous souhaite très bon courage !