je vais sans doute apporter un témoignage contradictoire, mais devant cette ovation aux médicaments je me permet de réagir parce que non.
J'ai aussi été dépressive, j'avais tout doucement commencer à déprimer un été et puis on m'avait dit "vas voir un psychiatre, toussa". Bilan de la consultation : somniferes et anxyolitiques, on se revoit dans quinze jours pour t'en prescrire d'autres, bisous bisous!
Cela a duré des mois, des mois ou grâce à cette panacée médicamenteuse j'ai eu des problèmes de mémoire, j'ai passé ma vie à dormir et à être totalement apathique.. Plus je prenais de médicaments moins ça allait, du coup ma psy me rajoutait régulièrement des doses plus fortes, jusqu'au moment ou j'ai eu le droit au fameux dépakote (préconisé pour les epileptiques ou bipolaires, you made bro'?) bwef tout cela a finit en tentative de suicide (à coup de médicaments, bisous la psy qui entre temps c'était barrée avec la certitude que j'étais quelqu'un de très stable now).
Donc on pourrait dire que j'ai juste pas eu de bol mais malheureusement je me suis donc retrouvée en centre deux mois. Avec pleins d'autres infirmiers / psychiatres hihi. Déjà pendant ma journée à l'hopital on a fait que me droguer, dès que je me réveillais on me redroguait. ça a duré deux jours à la suite de quoi on m'a transféré dans un centre provisoire ou à la place de me droguer, un psychiatre m'a dit que mes anciens médocs étaient très mauvais, qu'on m'en donnait de nouveaux. paralysie musculaire, langue gonflée, visage tordu et imbougeable, yepee. Après j'ai testé à peu près la totale, changeant régulièrement pendant 1 mois et demi d'hospitalisation. Jusqu'au jour ou j'ai dis merde parce que je sentais que j'étais pas dans mon état normal.
Résultat, j'en suis sortie deux semaines après et désormais dès que je la sens guetter, je me débrouille très bien toute seule sans ces horreurs pour la tenir à distance
J'ai aussi été dépressive, j'avais tout doucement commencer à déprimer un été et puis on m'avait dit "vas voir un psychiatre, toussa". Bilan de la consultation : somniferes et anxyolitiques, on se revoit dans quinze jours pour t'en prescrire d'autres, bisous bisous!
Cela a duré des mois, des mois ou grâce à cette panacée médicamenteuse j'ai eu des problèmes de mémoire, j'ai passé ma vie à dormir et à être totalement apathique.. Plus je prenais de médicaments moins ça allait, du coup ma psy me rajoutait régulièrement des doses plus fortes, jusqu'au moment ou j'ai eu le droit au fameux dépakote (préconisé pour les epileptiques ou bipolaires, you made bro'?) bwef tout cela a finit en tentative de suicide (à coup de médicaments, bisous la psy qui entre temps c'était barrée avec la certitude que j'étais quelqu'un de très stable now).
Donc on pourrait dire que j'ai juste pas eu de bol mais malheureusement je me suis donc retrouvée en centre deux mois. Avec pleins d'autres infirmiers / psychiatres hihi. Déjà pendant ma journée à l'hopital on a fait que me droguer, dès que je me réveillais on me redroguait. ça a duré deux jours à la suite de quoi on m'a transféré dans un centre provisoire ou à la place de me droguer, un psychiatre m'a dit que mes anciens médocs étaient très mauvais, qu'on m'en donnait de nouveaux. paralysie musculaire, langue gonflée, visage tordu et imbougeable, yepee. Après j'ai testé à peu près la totale, changeant régulièrement pendant 1 mois et demi d'hospitalisation. Jusqu'au jour ou j'ai dis merde parce que je sentais que j'étais pas dans mon état normal.
Résultat, j'en suis sortie deux semaines après et désormais dès que je la sens guetter, je me débrouille très bien toute seule sans ces horreurs pour la tenir à distance