@MorganeGirly : Je fais la même chose aussi ! (Et je soupçonne ma mère de le faire également
)
Je pense que chantonner est un réflexe assez classique pour s'apaiser. On chante bien des berceuses aux enfants, après tout ! Et puis dans mon cas, ça me permet aussi de me sortir de ma pensée, de me recentrer sur mon corps.
Mais en tout cas, c'est très intéressant, je n'y avais jamais réfléchi et ton message m'a fait prendre conscience de ça ! Dans mon cas c'est plutôt des "hmm hmm hmm" ou "tu tu tu" sur différentes notes qu'un "lalala"
, j'essayais d'être plus attentive la prochaine fois que ça m'arrivera.
)Je pense que chantonner est un réflexe assez classique pour s'apaiser. On chante bien des berceuses aux enfants, après tout ! Et puis dans mon cas, ça me permet aussi de me sortir de ma pensée, de me recentrer sur mon corps.
Mais en tout cas, c'est très intéressant, je n'y avais jamais réfléchi et ton message m'a fait prendre conscience de ça ! Dans mon cas c'est plutôt des "hmm hmm hmm" ou "tu tu tu" sur différentes notes qu'un "lalala"
, j'essayais d'être plus attentive la prochaine fois que ça m'arrivera.
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Les souvenirs plus "impactants" ou "préoccupants", mon cerveau ne cherche pas à les balayer par une petite chanson en général il me semble 
), et je fais un métier très physique et salissant et qui ne me passionne pas du tout pourtant. Les choses qui m'épanouissent le plus ce sont l'engagement bénévole et militant/le fait d'avoir un impact positif dans la vie des autres, ma relation avec mon copain et ma famille, mais aussi le fait de vivre dans un joli cadre (je ne me rendais pas compte à quel point cela comptait pour moi avant), la nature et la découverte de nouveaux paysages, ma pratique religieuse, avoir des moments de sociabilité/faire la fête de temps en temps,... C'est un équilibre global. Avant, je pratiquais un métier-passion (dans l'accueil des personnes migrantes) qui m'apportait énormément de reconnaissance (de la part des bénéficiaires, des collègues/cheffes et des partenaires mais pas du tout au niveau du salaire) et énormément de pression et de responsabilités, mais j'étais beaucoup moins bien dans ma peau (après, c'était aussi dû à la précarité économique et à plein d'autres facteurs). Je pense, comme