Je m'en veux de penser ça, mais je n'ai aucune empathie envers mon patron, apparemment gravement malade 
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Je m'en veux de penser ça mais...
- Initiateur de la discussion Ipsie
- Date de début
@Chouette-Culotte je confesse que j'ai eu l'attitude dont tu parles et n'en suis pas fière ( me réjouir que d'anciens harceleur n'aillent pas bien ou le souhaiter) mais surtout parce que je n'ai pas "mis derrière moi" ce traumatisme, et aussi que je vis dans la terreur "qu'ils aient eu raison" quand ils me disaient que j'aurais une vie minable, sans personne qui m'aime, etc. Par ailleurs, sans rien souhaiter ou mousser, j'ai eu une expérience il y a 8 ans:
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parfois d'être serveuse les gens nous prennent pour leur boniche 
et leur gosse c'est des rois " sa viande est trop froide " après " c'est trop chaud " normal ça a été réchauffé
et leur gosse c'est des rois " sa viande est trop froide " après " c'est trop chaud " normal ça a été réchauffé
Je déteste les travaux de groupes aussi parce que j'ai tendance à vouloir tout diriger. C'est vraiment affreux, 90% des projets de groupe que j'ai fait durant mes études me semblaient tellement mal organisés que ça me stressait affreusement... J'avais qu'une seule envie, tout mettre à plat et repartir "sur de bonnes bases" (les miennes évidement 
). Je suis une grosse frappée de l'organisation.
Du coup, pour éviter d'imposer mon caractère pénible à mes collègues, et pour me préserver un peu, je me mettais toujours en retrait. Je vous jure que je faisais tous les efforts du monde pour m'adapter, mais mon côté dictateur ne se laisse pas museler si facilement. Je préférais encore me désinvestir (et mes collègues aussi, je pense, bien que je ne leur ai jamais posé la question).
). Je suis une grosse frappée de l'organisation. Du coup, pour éviter d'imposer mon caractère pénible à mes collègues, et pour me préserver un peu, je me mettais toujours en retrait. Je vous jure que je faisais tous les efforts du monde pour m'adapter, mais mon côté dictateur ne se laisse pas museler si facilement. Je préférais encore me désinvestir (et mes collègues aussi, je pense, bien que je ne leur ai jamais posé la question).
les travaux de groupe = prise de tête les 3/4 du temps
ou il faut vraiment être un groupe soudé ou chacun bosse
ou il faut vraiment être un groupe soudé ou chacun bosse
Quand je lis vos histoires de travaux de groupe et que je compare aux miens, je suis rassurée, je suis pas la seule qui trouve que c'est l'horreur (je croyais que j'étais vraiment une inadaptée pour ne pas savoir travailler en groupe !). Le pire, je crois, c'est quand ce sont des groupes imposés...Quand on choisit, je prends mon groupe de pote qui est comme moi (très relax par rapport aux études, pas du genre à me faire venir 5x à 8h du mat' à la fac alors que j'habite à 30 km de là et que les réseaux sociaux c'est pas mal pratique pour discuter) mais quand c'est imposé... Je tombe toujours sur les filles qui refusent de travailler online, qui habitent au centre-ville (donc qui sont à la fac en 5 minutes et ne comprennent pas que j'essaie d'éviter d'aller à la fac les jours où je n'ai pas cours because l'essence c'est cher) et qui n'ont que leurs études dans la vie (j'ai 4 soirs/semaine où j'ai des activités sportives dans lesquelles je suis très très investie + des compétitions certains week-end + mon copain que j'aimerais voir plus qu'une fois par mois dans l'idéal). Ca finit souvent par elles qui prennent ça pour un non-investissement total dans le travail alors que dans la majorité des cas, je finis ce que j'ai à faire minimum 1 mois avant de rendre le travail (et souvent, le jour avant la remise du travail, elles commencent à finir la mise en page et c'est bibi qui doit se taper la relecture de leur partie à 2h du mat' alors qu'on avait 3 mois pour faire le travail !)
PS: J'ai l'air de faire une généralisation mais je parle juste des cas que j'ai rencontré lors des 1000 travaux de groupe qu'on a eu depuis 3 ans, cas qui se reproduisaient plus ou moins de la même manière à chaque fois malgré des "collègues" différents.
PS: J'ai l'air de faire une généralisation mais je parle juste des cas que j'ai rencontré lors des 1000 travaux de groupe qu'on a eu depuis 3 ans, cas qui se reproduisaient plus ou moins de la même manière à chaque fois malgré des "collègues" différents.
Puisqu'on est sur le suejt des travaux de groupe: en général j'ai eu de la chance je bossais avec des gens qui étaient quand même assez sérieux et on fournissai un quantité de travail a peu près égale. Mais je comprends pas l'interet des travaux de groupe en soit. C'est pour apprendre a se coordonné, s'organiser ? Soyons sérieux deux secondes : celui/celle qui est sérieu.x.se savent faire ça iels n'ont pas besoin de travaux de groupe, et ceuxlles qu'en foutent pas une ça les réveillera pas plus puisqu'iels ont quelqu'un.e qui bossera à leur place. Donc sérieux quel est l'interet ...
Je me sens bête en vous lisant, parce que généralement, j'aime bien les travaux en groupe. Après dans mon cas ça a toujours été des binômes / trinômes (j'ai rarement dépassé les groupes de 4), et en vous lisant je me dis que j'ai eu beaucoup de chance car ça s'est quasiment toujours bien passé.Je me suis vachement épanouie dans les projets en groupe, ma créativité est boostée, je travaille plus rapidement, je gagne en confiance en moi et puis c'est toujours agréable de se sentir soutenue. Genre, quand je repense à mon projet de diplôme, ça a été du pur bonheur de le concevoir et le réaliser avec une très bonne amie de promo
. Mais je viens d'une filière artistique, alors c'est peut-être plus simple !
Je me sens chanceuse car tous mes travaux de groupe ce sont bien passés ! 
Pour le bac j'ai eu de la chance de le faire ave mes meilleures copines de l'époque, on avait reçu un très bonne note.
Au bts on était toujours deux, et là aussi, ça c'est toujours bien passé.
En licence, on était 5, mais on communiquait beaucoup donc jamais de soucis. Il fallait faire des projets toutes les semaines, mais au bout d'un mois on avait un équilibre. Et chaque personne avait le droit une fois de ne pas bosser
Pourtant, j'ai fait marketing, gestion et licence de management.
Pour le bac j'ai eu de la chance de le faire ave mes meilleures copines de l'époque, on avait reçu un très bonne note.
Au bts on était toujours deux, et là aussi, ça c'est toujours bien passé.
En licence, on était 5, mais on communiquait beaucoup donc jamais de soucis. Il fallait faire des projets toutes les semaines, mais au bout d'un mois on avait un équilibre. Et chaque personne avait le droit une fois de ne pas bosser
Pourtant, j'ai fait marketing, gestion et licence de management.
Je m'en veux de penser ça, mais un pote (appelons le Y) m'étouffe beaucoup trop et met un peu le malaise.
J'ai l'impression qu'il a le béguin pour moi, ou qu'il s'est beaucoup trop prit d'affection pour moi. Sauf que ce n'est pas réciproque.
(ma famille et Mr Pipou pense aussi qu'il a crush sur moi)
(je précise qu'il a la trentaine, donc ça n'aide absolument pas)
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J'ai l'impression qu'il a le béguin pour moi, ou qu'il s'est beaucoup trop prit d'affection pour moi. Sauf que ce n'est pas réciproque.
(ma famille et Mr Pipou pense aussi qu'il a crush sur moi)(je précise qu'il a la trentaine, donc ça n'aide absolument pas)
Je m'en veux de penser ça (et je m'en veux de vous avoir sans doute déjà évoqué mes rapports pas évidents au taf avec mon équipe de collègues, je radote) mais...
ça commence à me gonfler sévère les inégalités de traitement au travail.
Je le remarque surtout vis-)-vis d'une de mes collègues. En gros: elle se trouve actuellement dans une situation très difficile (matérielle + affective), et oui il y a de quoi compatir. Mais a) c'est aussi une situation qu'elle s'est créée elle-même; et b) cela ne devrait pas l'autoriser à être si désagréable avec les autres, qui ne sont pour rien dans ces soucis. Tout le monde s'apitoie sur elle à fond, on lui passe tout (sautes d'humeur et relâchement dans le travail inclus)...
De mon côté je suis en dépression depuis deux bons mois, en thérapie et suivi médicamenteux. Mon chef et l'équipe sont informés, il a fallu que je les avertisse parce que je suis un traitement qui fait planer à fond, d'où étourderies et boulettes répétées récemment. Je ne voulais pas qu'on impute ça à une incompétence chronique, mais qu'on capte que je ne suis pas dans mon état normal et même si ça ne justifie pas tout et n'importe quoi, au moins ça peut expliquer. Sauf qu'on me parle mal dès que je fais un tout petit truc de travers, qu'on m'envoie chier à tout bout de champ et qu'on commence à m'exclure petit à petit de l'équipe (qui au fur et à mesure sont tous devenus potes entre eux). Bref ça me gave, j'ai l'impression qu'avec elle on veut bien tout accepter, mais que moi petite apprentie pas du tout de leur milieu social on ne me pardonnera pas la moindre maladresse.
ça commence à me gonfler sévère les inégalités de traitement au travail.
Je le remarque surtout vis-)-vis d'une de mes collègues. En gros: elle se trouve actuellement dans une situation très difficile (matérielle + affective), et oui il y a de quoi compatir. Mais a) c'est aussi une situation qu'elle s'est créée elle-même; et b) cela ne devrait pas l'autoriser à être si désagréable avec les autres, qui ne sont pour rien dans ces soucis. Tout le monde s'apitoie sur elle à fond, on lui passe tout (sautes d'humeur et relâchement dans le travail inclus)...
De mon côté je suis en dépression depuis deux bons mois, en thérapie et suivi médicamenteux. Mon chef et l'équipe sont informés, il a fallu que je les avertisse parce que je suis un traitement qui fait planer à fond, d'où étourderies et boulettes répétées récemment. Je ne voulais pas qu'on impute ça à une incompétence chronique, mais qu'on capte que je ne suis pas dans mon état normal et même si ça ne justifie pas tout et n'importe quoi, au moins ça peut expliquer. Sauf qu'on me parle mal dès que je fais un tout petit truc de travers, qu'on m'envoie chier à tout bout de champ et qu'on commence à m'exclure petit à petit de l'équipe (qui au fur et à mesure sont tous devenus potes entre eux). Bref ça me gave, j'ai l'impression qu'avec elle on veut bien tout accepter, mais que moi petite apprentie pas du tout de leur milieu social on ne me pardonnera pas la moindre maladresse.
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