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Membre supprimé 276733
Guest
Je n'ai pas dit que tous les voleurs étaient comme ça. Il faut se replacer dans le contexte de la conversation pour mieux saisir mon message.
J'entrais dans le cadre d'un comparaison avec les QUELQUES personnes qui ne se sentent obligés de s'adonner au sexe en public parce qu'ils n'ont nulle part où aller (évoqués par d'autres personnes). Du coup, je parlais des QUELQUES violeurs potentiels qui se sentent obligés de s'adonner au viol parce qu'ils n'ont... nulle part où fourrer leur pénis, si je puis employer cette maladroite formulation.
J'ai bien précisé à la fin de mon message que ce n'était pas un fonctionnement à prendre en compte pour les violeurs qui veulent juste violer, et là j'incluais les autres modes de fonctionnement... Mais dans le cadre de cette comparaison, ça me semblait logique de me tourner vers le petit groupe qui pourrait se dire avoir des "circonstances atténuantes", quand bien même ça n'est pas le cas. Petit groupe comparé à petit groupe au sein d'un type de comportement beaucoup plus vaste, quoi.
Et je pense qu'un violeur qui sait qu'il ne devrait pas violer, ça existe. Il y a un pas énorme entre embrasser des seins et violer quelqu'un en cachette, et même si dans les deux cas un consentement est bafoué, la limite du premier peut sembler plus flou à certains que celle du deuxième : il ne me semble quand même pas impensable de se dire, même pour un homme, que le viol est considéré comme une "mauvaise chose" sociétalement parlant (ce qui ne veut pas dire qu'on ne peut pas, en tant que violeur, trouver cela aberrant, trop restrictif, abusif ou, que sais-je, mais juste qu'on a conscience que c'est criminel).
Quant à culpabiliser les victimes, j'ai quand même bien précisé (et c'était même le BUT de mon intervention de base !) que, même dans ce cas, ça n'est ni pardonnable ni justifiable ! Je ne dis pas que c'est de la faute des victimes de ne pas être consentantes, bon sang !
Je vais arrêter d'intervenir, je crois. Je suis incapable de me faire comprendre, ça m'épuise et ma confiance en moi déjà bien trop basse ne fait qu'en pâtir. Je me déteste tellement, parfois...
Edit : Quand je dis qu'il y a une différence entre embrasser des seins sans consentement et violer, je ne cherche pas à le minimiser le premier acte. Je veux seulement dire que des gens auront plutôt tendance à trouver naturel le premier que le deuxième.
J'entrais dans le cadre d'un comparaison avec les QUELQUES personnes qui ne se sentent obligés de s'adonner au sexe en public parce qu'ils n'ont nulle part où aller (évoqués par d'autres personnes). Du coup, je parlais des QUELQUES violeurs potentiels qui se sentent obligés de s'adonner au viol parce qu'ils n'ont... nulle part où fourrer leur pénis, si je puis employer cette maladroite formulation.
J'ai bien précisé à la fin de mon message que ce n'était pas un fonctionnement à prendre en compte pour les violeurs qui veulent juste violer, et là j'incluais les autres modes de fonctionnement... Mais dans le cadre de cette comparaison, ça me semblait logique de me tourner vers le petit groupe qui pourrait se dire avoir des "circonstances atténuantes", quand bien même ça n'est pas le cas. Petit groupe comparé à petit groupe au sein d'un type de comportement beaucoup plus vaste, quoi.
Et je pense qu'un violeur qui sait qu'il ne devrait pas violer, ça existe. Il y a un pas énorme entre embrasser des seins et violer quelqu'un en cachette, et même si dans les deux cas un consentement est bafoué, la limite du premier peut sembler plus flou à certains que celle du deuxième : il ne me semble quand même pas impensable de se dire, même pour un homme, que le viol est considéré comme une "mauvaise chose" sociétalement parlant (ce qui ne veut pas dire qu'on ne peut pas, en tant que violeur, trouver cela aberrant, trop restrictif, abusif ou, que sais-je, mais juste qu'on a conscience que c'est criminel).
Quant à culpabiliser les victimes, j'ai quand même bien précisé (et c'était même le BUT de mon intervention de base !) que, même dans ce cas, ça n'est ni pardonnable ni justifiable ! Je ne dis pas que c'est de la faute des victimes de ne pas être consentantes, bon sang !
Je vais arrêter d'intervenir, je crois. Je suis incapable de me faire comprendre, ça m'épuise et ma confiance en moi déjà bien trop basse ne fait qu'en pâtir. Je me déteste tellement, parfois...
Edit : Quand je dis qu'il y a une différence entre embrasser des seins sans consentement et violer, je ne cherche pas à le minimiser le premier acte. Je veux seulement dire que des gens auront plutôt tendance à trouver naturel le premier que le deuxième.