@Ocytocine. l'origine sur le fait de tromper est lié à la difficulté de la Madz postante de quitter son compagnon . Je t'invite à relire les post de la page 638 à l'actuel.
Il fut un temps où il y avait des dus et ca s'appelait le devoir conjugal (le terme devoir étant fort parlant), mais effectivement depuis 1992, il n'y a plus aucune obligation sur le plan intime/sexuel.Je me demande : qu'est-ce qui est dû, dans une relation de couple (s'il y a des dus, déjà) ?
Si @Juda Bricot c'est justement le grand débat sur la pensée même de songer à tromper l'autre qui a déclenché cette vague de pages assez impressionante faut l'admettre.@Lord Griffith Mais enfait je crois que personne n'a reproché le fait d'en parler et éventuellement envisger des solutions alternatives.
(dis moi si tu ne veux pas être citée)@Mistipuce
Et c'est pas le débat le plus long que j'ai pu voir.
Mais je suis désolée, ça me hérisse cette ingérence dans la vie privée et cette liberté de juger sous prétexte que VOUS ça vous ferait mal que votre partenaire vous trahisse
@Lord Griffith
Personnellement, je trouve qu'il y a certaines situations complexes d'infidélité où je n'irai pas juger la personne. Des cas de maladie, de situations familiales très compliquées, etc.
Ce qui m'a interpellée dans la discussion présente, c'etait justement le coté (selon moi) ironique et auto-centré du post initial : "mon partenaire est égoïste de me refuser du sexe" alors que ce n'est pas moins égoïste d'en demander
J'aurais préféré lire "la libido de mon partenaire et la mienne ne sont pas accordées, j'en souffre et j'en viens meme parfois a envisager l'infidélité meme si j'ai conscience que c'est mal". Mais d'attaquer son partenaire pour une différence de libido comme s'il avait fait quelque chose de mal et qu'il lui devait du sexe, pour moi, c'est immoral et très immature.
Je n'ai vu personne dire que qui que ce soit était une horrible personne de manière absolue pour toujours ici, en fait. D'ailleurs, j'ai même répondu à @Lord Griffith, qui avait peur que ça soit le cas, en lui signifiant qu'il n'y avait pas lieu de qualifier de monstre une personne infidèle (ou voulant l'être), se limitant qu'à ce simple état de fait.Ce n'est pas pareil de dire "Si tu me faisais ça, à moi, qui t'ai exprimé clairement ce que je pensais de cet acte, ce serait horrible et je ne te le pardonnerais pas" ou de dire "Je te conseillerais de plutôt parler posément à ton copain avant de faire quelque chose que tu pourrais regretter" et de dire "Si tu fais ça, tu es une horrible personne de manière absolue pour