@PetitPomelo
Mais c'est des chiffres connus depuis des années. Y'a des enquêtes depuis des lustres sur ça.
Pardon mais je trouve ça surréaliste de préférer le complotisme sur un sujet bien connu et étudié depuis des années.
Au final je tombais juste quand je parlais déni
"Il a fallu attendre 2016 pour que les HSH ne soient plus exclus À VIE du don. Depuis que ça a été fait, le nombre de dons contaminés n'a pas augmenté" ... peut-être justement car t'a ce délai qui est pas le même?
Aussi: c'est une mesure de précaution. On fait des études et on avise ensuite. C'est pas en 2 ans que tu peux tirer des conclusions définitives.
"c'est comme quand on trouve un moyen de détecter beaucoup plus facilement une maladie, on va avoir un pic de personnes touchées par la maladie, ça voudra pas dire qu'il y a plus de gens malades qu'avant mais qu'il y a plus de gens pour lequels on a pu le détecter"
Bien sûr que ce type de chose existe mais c'est pas le cas ici
"Et je ne dis pas non plus que la censure et le manque d'education sur ces sujets sont les seules causes de la hausse mais ça me paraît quand même une sacré base en voyant les réponses aux sondages qui ont été fait (le nombre de gens qui pensaient qu'on pouvait soigner le VIH à l'heure actuelle, par exemple)"
Mais quels sondages? Auprès de HSH.
Oui c'est multifactoriel mais non c'est pas uniquement lié aux raisons lambdas (qui jouent aussi).
Pêle-mêle:
- Prévalence très élevée depuis des années donc plus de risque de contamination, même si statistiquement les HSH se protègent plus
- statistiquement un multipartenariat plus important que chez les non-HSH (donc multiplication du risque)
- plus grande fragilité des muqueuses anales (facilité la transmission)
- plus de conduite à risques spécifiques (cf par exemple le "chemsex", sexe sous drogues injectables) et pour certaines personnespde conduitescà risquesrtout court (pas de port du préservatif), qui peut être lié à l'homophobie (dépréciation de soi et de sa sexualité, etc). Globalement les gays sont statistiquement plus sujets aux addictions (alcool, etc) et j'y vois un lien clair avec l'homophobie
- un certain ras-le-bol du préservatif (qui poussé à l'extrême à donner la création de la communauté bareback), qui essaye d'être contré avec le Truvada depuis qu'il est autorisé en France
- la sérophobie ambiante, liée aux clichés, qui existe chez une partie des mecs : "cherche un mec clean"... en regardant l'apparence... qui prend soin de lui? Vu comme non-séropositif...)
- le dépistage peut faire peur (pas envie de savoir) or les séropositifs sous traitement sont non-contaminants
- etc
- je rajouteraisa ussi le déni de la réalité: si t'es persuadé, en tant que gay, d'avoir autant de risques que les autres (hétéros) alors ça peut poser problème pour des conduites à risques "lambda"
J'avais bien édite mon post mais oui c'est un peu frustrant de parler avec quelqu'un qui ne connait pas le sujet, qui ne connait pas les chiffres mais qui fait quand même des affirmations pour dénier cette réalité.
Mais vu que tu sembles privilégier les théories du complot sur ce sujet je vais m'arrêter là, puisque açdonne l'impression que n'est ni moi, ni les faits et analyses de VIH.org qui te feront accepter la réalité.
Mais c'est des chiffres connus depuis des années. Y'a des enquêtes depuis des lustres sur ça.
Pardon mais je trouve ça surréaliste de préférer le complotisme sur un sujet bien connu et étudié depuis des années.
Au final je tombais juste quand je parlais déni
"Il a fallu attendre 2016 pour que les HSH ne soient plus exclus À VIE du don. Depuis que ça a été fait, le nombre de dons contaminés n'a pas augmenté" ... peut-être justement car t'a ce délai qui est pas le même?
Aussi: c'est une mesure de précaution. On fait des études et on avise ensuite. C'est pas en 2 ans que tu peux tirer des conclusions définitives.
"c'est comme quand on trouve un moyen de détecter beaucoup plus facilement une maladie, on va avoir un pic de personnes touchées par la maladie, ça voudra pas dire qu'il y a plus de gens malades qu'avant mais qu'il y a plus de gens pour lequels on a pu le détecter"
Bien sûr que ce type de chose existe mais c'est pas le cas ici
"Et je ne dis pas non plus que la censure et le manque d'education sur ces sujets sont les seules causes de la hausse mais ça me paraît quand même une sacré base en voyant les réponses aux sondages qui ont été fait (le nombre de gens qui pensaient qu'on pouvait soigner le VIH à l'heure actuelle, par exemple)"
Mais quels sondages? Auprès de HSH.
Oui c'est multifactoriel mais non c'est pas uniquement lié aux raisons lambdas (qui jouent aussi).
Pêle-mêle:
- Prévalence très élevée depuis des années donc plus de risque de contamination, même si statistiquement les HSH se protègent plus
- statistiquement un multipartenariat plus important que chez les non-HSH (donc multiplication du risque)
- plus grande fragilité des muqueuses anales (facilité la transmission)
- plus de conduite à risques spécifiques (cf par exemple le "chemsex", sexe sous drogues injectables) et pour certaines personnespde conduitescà risquesrtout court (pas de port du préservatif), qui peut être lié à l'homophobie (dépréciation de soi et de sa sexualité, etc). Globalement les gays sont statistiquement plus sujets aux addictions (alcool, etc) et j'y vois un lien clair avec l'homophobie
- un certain ras-le-bol du préservatif (qui poussé à l'extrême à donner la création de la communauté bareback), qui essaye d'être contré avec le Truvada depuis qu'il est autorisé en France
- la sérophobie ambiante, liée aux clichés, qui existe chez une partie des mecs : "cherche un mec clean"... en regardant l'apparence... qui prend soin de lui? Vu comme non-séropositif...)
- le dépistage peut faire peur (pas envie de savoir) or les séropositifs sous traitement sont non-contaminants
- etc
- je rajouteraisa ussi le déni de la réalité: si t'es persuadé, en tant que gay, d'avoir autant de risques que les autres (hétéros) alors ça peut poser problème pour des conduites à risques "lambda"
J'avais bien édite mon post mais oui c'est un peu frustrant de parler avec quelqu'un qui ne connait pas le sujet, qui ne connait pas les chiffres mais qui fait quand même des affirmations pour dénier cette réalité.
Mais vu que tu sembles privilégier les théories du complot sur ce sujet je vais m'arrêter là, puisque açdonne l'impression que n'est ni moi, ni les faits et analyses de VIH.org qui te feront accepter la réalité.