Je m'en veux de penser ça mais...

[pikalovescoke]

Je ne supporte pas quand on me dit d'être prudente dans mon couple, de pas acheter directement car "on sait jamais, vous avez jamais vécu ensemble". Alors OK, on a jamais vécu ensemble, mais on est ensemble depuis 9 ans, je pense que même sans vivre ensemble, on peut dire qu'on se connaît déjà très bien et qu'on sait se supporter. Je sais bien que lui comme moi, on est pas du genre à s'énerver pour des trucs bêtes comme la couleur des murs, des chaussettes qui traînent ou le choix d'un balai à brosse
Ca fait vraiment comme si on ne peut pas connaître quelqu'un avant de vivre avec.

Et, au pire, ça pourra pas être pire que de supporter mon frère et mes parents au quotidien, ça va être du repos de vivre avec la personne que j'ai choisi

 

[skippy01]

@Yoonishan

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[Ada or ardor]

Je "m'en veux de penser ça", mais je suis trop contente que mon frère et mes neveux soient partis de chez moi . En plus c'est mon jour de congé alors comment vous dire que je suis au milieu de mon lit à danser tout en sirotant du café. Libre, je suis libre !

 

[Nastja]

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[Alexy]

Je suis entièrement d'accord avec les mads plus haut qui ne supportent pas les démarcheurs.
Je trouve que c'est dommage que leur façon de faire nous exaspère autant alors qu'à la base ça part d'une bonne intention.

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[Chat-au-Chocolat]

Spoiler: Démarcheurs

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[Nastja]

@Chat-au-Chocolat
Ils arrêtent aussi les costards cravates. Je les vois plusieurs fois par semaine devant une station du 8ème assez fréquentée par des cadres.

Il me semble que l'argent qui est donné ne va pas directement aux personnes démunies mais dans des frais administratifs et des salaires. Enfin tous les dons ponctuels de 5-10-20€ servent pour de la logistique de bureaux.
Et je crois que ces organismes sont très riches et ils n'ont pas vraiment besoin des dons du public. Les dons du public c'est purement commercial dans le but de faire des bénéfices. Je crois que l'argent utilisé pour les aides est très réglementé.
Enfin je ne sais pas trop comment ça marche mais pas mal de personnes m'avaient mise en garde.

 

[Clèves]

@skärgård Je te rejoins un peu, perso j'ai du mal avec le fait de chercher la petite bête pour tout ce qui relève des univers fictionnels puisqu'ils sont fondés sur l'imaginaire, il y a forcément des choses qu'on doit accepter en tant que lecteur pour que l'illusion de la lecture (ou du visionnage) fonctionne. Pour moi, ce n'est pas pareil que des véritables incohérences, là où, oui, il y a réellement un point dans le récit qui est mal fichu. Mais j'arrive pas trop à expliquer la différence Enfin pour moi elle existe en tout cas

 

[skippy01]

Je fais partie de ces personnes qui cherchent «la petite bête». En fait, dès qu'une œuvre ne respecte plus sa propre cohérence interne, ça me torture l'esprit et je ressens le besoin d'y trouver de la cohérence là où il ne semble plus y en avoir. Même si c'est rare que ça aille jusqu'à me faire détester l'œuvre en question, je ne peux pas m'en empêcher.

 

[Nastja]

Je m'en veux de penser ça mais j'ai du mal à héberger des potes chez moi.
C'est petit chez moi (16m2) et une copine me demande si je peux l'héberger 3 nuits.
Vraiment ça me met mal à l'aise parce que j'ai besoin d'être seule quelques heures et qu'avec ce type de surface c'est impossible. J'ai également l'impression de ne pas être chez moi.
Si j'avais un grand appartement ça ne me dérangerait pas trop mais là c'est assez contraignant. Parfois je n'ai pas envie de cuisiner ou pas trop envie de ranger.
Le truc c'est qu'elle doit venir régulièrement pour son travail et elle me demande à chaque fois, ce que je comprends (l'hôtel c'est pas donné) mais moi ça me stresse en fait.
Et je m'en veux de penser ça car je ne devrais pas penser ça d'une pote, au contraire je devrais être trop contente
C'est aussi pour cette raison que j'essaye de ne pas trop partir en vacances avec des potes ou alors avec des gens très indépendants. Je suis partie avec des potes à l'étranger et chacun faisait sa vie. Parfois on se retrouvait pour certaines activités et parfois chacun allait à son aise. Et c'était une auberge de jeunesse donc même si la chambre était petite en fait on pouvait sortir dans la "salle commune" ou dans la cour. Bref on était pas les uns sur les autres constamment. C'est ça qui me stresse beaucoup.

 

[Rosenrot_]

Je fais partie de ces personnes qui cherchent «la petite bête». En fait, dès qu'une œuvre ne respecte plus sa propre cohérence interne, ça me torture l'esprit et je ressens le besoin d'y trouver de la cohérence là où il ne semble plus y en avoir. Même si c'est rare que ça aille jusqu'à me faire détester l'œuvre en question, je ne peux pas m'en empêcher.

Pour le coup, je crois que @skärgård ne parle pas tant d'incohérences au sein de l'univers du livre, mais d'incohérences avec le notre. Je vois totalement ce dont elle parle en mentionnant la forêt interdite, c'est des commentaires du genre "quand on y pense, à Poudlard on envoie des enfants de 11 ans risquer LEUR VIE dans la forêt interdite pour les punir de s'être baladés dans les couloirs la nuit " (idem pour le Tournoi des Trois Sorciers qui fait s'affronter des mineurs dans des épreuves dangereuses, et ce genre de trucs). Et bon, c'est marrant la première fois pour en plaisanter, mais au bout d'un moment, je comprend pas trop l'utilité du procédé et je trouve effectivement que ça tue tout l'intérêt de la fiction. Oui, tout ce qui se passe dans ces livres est too much et dangereux, blablabla, c'est… le propre de tous les livres jeunesse où les protagonistes enfants/ados vivent des péripéties incroyables. L'histoire ne fonctionne pas si on ne tord pas un petit peu les règles morales et si on envoie pas des enfants à ce qui serait leur mort certaine dans notre monde, mais n'est qu'une épreuve à surmonter grâce à leur astuce et le pouvoir de l'amitié ou que sais-je dans la fiction.
C'est tout à fait normal de rechercher des histoires plus réalistes à l'âge adulte et c'est bien pour ça que ce n'est pas le public visé par Harry Potter. C'est dommage de vouloir l'analyser par le même prisme qu'une œuvre pour adultes.

 

[Clèves]

Oui, tout ce qui se passe dans ces livres est too much et dangereux, blablabla, c'est… le propre de tous les livres jeunesse où les protagonistes enfants/ados vivent des péripéties incroyables.

C'est d'autant plus vrai pour les tous premiers tomes d'Harry Potter où il y a vraiment un côté Club des Cinq avec la bande d'écoliers qui résout énigmes et affaires mystérieuses à la place des adultes (genre dans la Chambre des secrets où personne sauf Hermione avait capté le coup du basilic ). Ça s'estompe par la suite quand le ton devient plus mature.